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Days like these est à forum sans contexte, se passant dans une ville réelle du nom de Fort Myers, en Floride. Baignée sous le soleil une grande partie de l'année, ambiance caliente, détente, propice aux vacances réussis et aux soirées fantasmagorique, venez vous y prélasser sans prise de texte. Forum qui ne se veut pas grand, mais avec une communauté, et des membres qui se sentent bien. Pas délaissé comme sur la plupart des forums. Peu de contrainte, que de la détente et du fun.
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-  CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. -

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(#) CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. { Jeu 23 Avr - 16:26 }
Céleste Applewhite feat Blake Lively
naissance : Non seulement, on t'a taquinée sur ton jour de naissance, mais en plus de cela, il faut rajouter une couche sur ton âge ! En effet, tu viens de souffler tes trente-et-une bougies cette année et tout le monde te fait la remarque... Te met en garde contre cette fameuse crise existentielle, comme on dit... Comme quoi, tu commences à te faire vieille, dans ce monde qui croule son tes pas... Mais tu t'en moques dans le fond. Ce cap, tu le passes haut la main ! Voyant le jour un vingt-quatre décembre, au soir, on t'a beaucoup charrié durant ta préface d'adolescence. Te nommant, ainsi, le petit flocon. Ou encore, la petite mère Noël... Ce n'est point cela qui t'a braqué et t'empêcher de vivre, cependant. Au contraire ! Ton premier jour, tu l'as vu, ou plutôt, aperçue, entre tes yeux mi-clos, à Vienne, en Autriche. L'hiver s'était paraît de son doux manteau blanc, qui surplombait, ainsi, toute la ville au demeurant. Le doux écho, provenant des quelques chorales, fusaient, à travers les vitraux du rathaus. Une odeur enivrante de bretzel, de würst, ainsi que de vin chaud, se mêler... Se laisser emporter, par la brise incertaine et glacée. Quelques éclats de rires cristallins, de bruits sourds, fracassants, venant se nicher, au gré d'un pâle carrelage de fraîcheur, que procurait la patinoire. Les flammes vacillantes, sur quelques murs délabrés, qui attisaient le regard vitreux de certaines petites gens, cherchant à se protéger. S'emmitoufler dans leur chaud duvet. Alors que toi, tu ne pensais qu'à te nourrir. Sentir le doux parfum enivrant et naturel de ta mère. Dormir dans le creux de ses bras, de surcroît...

origines, nationalités : Forêts verdoyantes, feuille rouge écarlate et cramoisie, se laissant guider, par la brise incertaine et glacée. Folklores celtiques. Corps enchanteurs, tournant de leurs démarches, gracieusement, dansantes, autour de ces mystérieux rochers, que sont ces sombres menhirs. Arrachant, quelques frissons, qui parcourent l'échine, de certaines petites gens, dont le regard intrigué, s'évertue, à s'attarder... Village de pavés. Cornemuses envoûtantes. Kilt, tartans, prônant, fièrement, sur ces doux Écossais, tels des étendards, élancés. Aberdeen. Tu as ces origines, de par le biais de ta mère. Et tu dois le reconnaître, ce pays est cher à ton cœur. Dès que l'occasion s'y présente, tu ne peux t'empêcher d'y retourner. De parcourir ses belles contrées. Mais, tu conserves, avant tout, ta double nationalité autrichienne, ainsi qu'américaine !

statut civil, orientation : Cela t'es déjà arrivé de partager le lit d'une femme ou deux, par curiosité. Mais c'est surtout la gante masculine, qui te fait vibrer. En effet, il n'y a rien de tel, qu'une bonne paire de bras pour t'enlacer. Te protéger de tout, contre vents et marrés. Un torse bien musclé. Une démarche gracieusement féline. Un doux rictus à faire fondre sur place. Un parfum enivrant. Un rire cristallin, qui te fait faillir. Défaillir, et dont tu ne te lasses guère d'entendre, à longueur de journée, de temps. Une carrure magnifiquement élancée, athlétique. Oui, tout ça, ça te fais baver. Tu resteras toujours, une éternelle hétérosexuelle. Quant à ton statut civil... La promesse solennelle, irréfutable, de le protéger, envers et contre tous. Contre vents et marrées. Les mains, à jamais, liées. Si, jadis, tu as eu de forts sentiments, sincères, de surcroît, à l'égard de ton cher Montgomery. Que tout ce qui t'entourait, t'avait semblé abstrait, indigne de tout intérêt. Qu'il n'y avait eu, que, ton bel apollon, a la carrure, magnifiquement, gracieuse, élancée. Athlétique, qui avait compté, c'était, bel et bien, ce qu'il subsistait. Tu avais souhaité, de toute ton âme meurtrie, esseulée, pouvoir le combler. Sur tous les plans, les fronts nivelés. Avec lui, ton monde avait retrouvé un but existentiel - il avait retrouvé de sa saveur, de sa splendeur. De son éclat. Dans une douce torpeur irréelle. Une magique atmosphère, coincée dans la stratosphère. Une demande en mariage rêvassé, depuis maintes années. Au relent divin, d'un romantisme sans faille, incontesté. Voilà, qu'aurait pu, ainsi, continuer, votre joli conte de fée. Mais, aussitôt, qu'il n'était apparut, à tes orbes bleutés, il s'évapora, pourtant si tôt, dans les brumes de la nuit, de l'amertume. La mélancolie sidérée, hébétée. Meurtrie, ternie. Imploser, colorer, de son amère odeur de rouille... Le souci, avec les relations amoureuses, c'est que l'on croit, encore et toujours, que certaines, en sont si fortes, qu'elles pourront résister à tout. Mais ce n'est point vrai... La confiance qui s'étiole, la lassitude. Les mauvais choix, les soleils trompeurs, de la séduction. La voix chaude, des sales cons. Les longues jambes galbées, des sales connes. Les injustices complices, du destin : tout concourt à tuer l'amour... Dans ce genre de combat inégal, les chances de victoire sont minces et tiennent plus de l'exception, que de la règle... Votre parfaite idylle, c'était, manifestement, brisée. Se fissurant, irrémédiablement. Comme ton âme... En mille et un éclat... Peu à peu, au fil du temps, plus, tu avais, le malheur de le blesser. Le froisser, bien malgré toi. Même si cela, n'en avait guère était, tes intentions, dans le fond... La raison, l'avait fui, sans contritions. Te ruant de bleus, de coups, que, sans nul cesse, tant bien que mal, tu encaisses. Tu avais était, si naïvement, berner. Tu devais, à tout prix, le payer. L'enivrer, dans une folle passion, reliée qu'à ses propres désirs ardents, brûlants. Égoïste, insensible... L'idée d'un divorce, t'as maintes fois, effleurer, ton esprit ébranlé. Un ballon noir, ce dernier t'avait vendu. Te clouant, inéluctablement, les pieds. Te raccrochant, à tes sombres pensées... Tu aurais pu, il est vrai... Mais tu te savais, pertinemment, parfaitement, qu'il te le ferait, à même regretter... De plus, il te tient sous sa coupe, finançant les opérations incalculables. À un prix, fort coûteux, de ta mère. Sans que tu ne saches guère, si cela en a, réellement, ses effets bénéfiques... Te menaçant, dans la volée, si tu devais le fuir, à sa vue empourprée... Après cela, tu ne fusses plus jamais la même... Tu t'éloignais de lui, ne remplissant tes engagements, tes obligations, de femme aimante, mariée. Sans nul doute plausible, que cela constituer, à te tromper, qui sait ? Tu n'avais su le tolérer, le supporter. Les disputes s'enchaînaient, tels les crimes volages, d'un cleptomane. Un illustre forcené. Il n'avait de cesse, que de te le rappeler. Sans quoi, son lancinant courroux s'abattrait, comme une plaie. Le mauvais karma, se retournant, contre ton être, ta frêle silhouette. Cependant, que tu demeurais circoncîmes, incomprise... L'idée de fonder une famille, à présent, te tétanise. Tu restes de marbre. Aussi raide qu'un simple piquet, une vulgaire planche de bois. Tu ne veux guère de cela... Te sentir, davantage, prisonnière, de tes paroisses de verres. Ton boudoir, qui ne font que se renverser. Se resserrer, comme un étau, sur toi. Tu adores les enfants, oui. Mais ce n'est, certainement point, avec lui, que tu en as envie... Le souci, c'est que, tu es effrayée, telle une chouette, prise dans les phares d'une voiture. Une cage d'acier. Tu ne peux le lui divulguer, d'emblée, sans prendre risque, qu'il ne te gifle, violemment. Effroyable méfait... Rien que pour augmenter son plaisir, il serait bien capable, d'abuser de toi, sur votre lit gelé... Alors, en retrait. À la lisière de son inconscient, tu te risques à prendre, encore et toujours, la pilule. Bien, qu'une partie de toi-même, te haïssait, tout autant... Toutefois, tu ne peux en faire autrement... Tu te sens dépassée, par les événements. Cet homme allait te faire courir à ta perte, sur-le-champ. Game Over.
situation financière : £££££, tu es très riche. Extra-riche. Trop riche... En liant tes délicates mains, tes doigts de fées, parfaitement, manucurés. À ton cher mari, vous partagez, à vous deux, sa fortune. Bien, que, si tu en viens à le quitter, le contrat de mariage, stipulera, que tu n'auras plus guère, le moindre petit centime, en poche. Tout croulera, sur les ponts gelés. Tout sourire, trépassés. Tu tentes de t'émanciper, de ce côté. De mettre, soigneusement, en retrait. À l'abri des regards indiscrets, de l'argent, mis sur un compte anonyme. D'une décision ultime, tu te le devais. Ta profession, se veut, d'y contribuer, il est vrai. Toutefois, même si tu aimes, particulièrement, le fait, de te faire plaisir - d'en procurer, tout autant, envers tes proches, ton entourage, tu sais rester humble, discrète, de ton être, de ta frêle silhouette. La vantardise, tu la proscris.

occupation : Rêvant tutus, chaussons. Danse gracieuse, sur un air de Tchaïkovski. Tu te complaisais à l'idée de devenir une étoile montante, au sein de grands ballets. Et ce, depuis toute petite. Malencontreusement pour toi, ton rêve ne put se réaliser, étant donné que vers l'âge de tes dix-neuf ans, tu vécu, subit un grave accident de voiture, qui faillit te coûter la vie. C'est ta jambe droite, qui empâtait sur la douleur et qui manqua de te l'a faire perdre, pratiquement... De ce sombre rappel, il ne te reste qu'une simple cicatrice refermée. Qui, parfois, en dépit de l'humidité... Signe alarmant, qu'une averse va déferler, dans la volée... Qui te cause, instinctivement, quelque lancinantes douleurs, aussi éphémères, tel le doux vol mélodieux d'un papillon. Te faisant, quelques fois, clopiner, trottiner. Jambe légèrement foulée, comme la patte d'un sauvage animal errant, à travers les méandres de la mélancolie. Marécage boueux de la folie. Ton merveilleux mari s'amuse à tes dépens. Te nommant gentiment, la « Docteur House » des temps modernes - s'amusant à t'offrir, comme chaque année, une canne a l'esthétisme étonnant, parfois romantique, raffinée. Épurée, en périodes hivernales. Bien que cela ne part guère d'une mauvaise intention, toutefois, tu ne pusses t'empêcher de serrer les dents d'amertume. De désarroi certain. Comme à l'accoutumé. Avant même de les ranger. Les condamnés dans le grenier. Prenant, mordant machinalement la poussière, il est vrai... À la suite de cet événement traumatisant, tu devais, logiquement, te choisir une autre vocation... Te voulant une personne un peu romanesque, bohème. Élégante éloquence, tu te surpris, toi-même, à te diriger dans l'art artisanal, de tout métier. Depuis quelques années désormais, tu fais équipe avec un ami d'enfance. Vous avez monté, ensemble, votre propre société. Lui est un architecte intérieur de maison. Toi, tu t'es revendiqué comme designer d'intérieur, en chef. Cet attrait de ta personnalité n'a toujours eu de gage, de cesse, que de t'y bercer. Tu t'es toujours montrer minutieuse, observatrice. Anticipant le besoin, le désir, des petites gens. Tu souhaites ardemment que tout demeure parfait, au demeurant. Au risque de te faire passer pour quelqu'un de superficiel, il est vrai... Toutefois, chez toi, le design, la beauté... Le physique, passe, compte avant tout. Particulièrement chez les gens. Pour preuve, tu ne cesses de surveiller d'un bon œil, ton bien-aimé. À un point tel, qu'il ne t'envoie balader... Vous avez rencontré de nombreux obstacles, avec ton acolyte... Des bons, des mauvais... Il t'arrive de faire dans l'événementiel, également. Mais, ce que tu adules, par-dessus tout, c'est de marier l'ancienneté, l'authenticité, avec la modernité. Tu es très respecté, demander sur le marché. Pour le bonheur de tes clients luxueux, tu combles le moindre de leurs fantasmes, sans regarder à la dépense, tout autant. Ainsi, avec eux, tu peux te le permettre. Te lâcher. Sous les médisances de ton mari, de ton cher Montgomery, cela te met davantage du beurre dans les épinards. Tu t'épanouis. À mesure qu'il se montre vert de jalousie... Il ne souhaite que tu perces. Te laisse guider, baigner, dans le prônant succès. Mais tu l'ignores irrévocablement. Promptement, sachant, que davantage, il te maudit... Tu le contraries... Et tu souris, encore et toujours, telle une belle idiote balafrée... Depuis peu, ton charmant associé, t'as gentiment proposer des télés transmissions. Des diffusions, pour vos projets en constructions. Cela te charme, d'une certaine manière. Cependant, tu hésites... Tu doutes que derrière le rideau teinté de la scène, se dévoile la supercherie de ta sombre mascarade, que demeure ta vie salvatrice. O combien destructrice... Que soit révélé, finalement, tes sentiments inavoués. Alors, tu ne fais que reporter l'échéance, un peu plus encore. Autant que faire se peut... Lui précisant que, sur l'instant, tu as d'autres chats à fouetter...

situation familiale : Niveau famille, cela se veut des plus complexes... Bien que tu t'entendais parfaitement, avec tes aimants parents. Que vous étiez liés, soudés, à jamais. Quoi qu'il en fusse, tu as, hélas, perdu ton père biologique, il y a quelques longues années, déjà... Quant à ta mère... Elle se veut semi-mourante, dans un des hôpitaux, très réputés de Vienne. Ne pouvant plus guère bouger... S'étant réduit, bien malgré elle, dans le silence, le plus total, le plus complet. Assise dans ce fauteuil roulant, à longueur de temps. Irrémédiablement, paralysée... C'est ainsi, qu'elle restera, jusqu'à son dernier souffle de vie certaine... Toi, tu passais tes journées, à ses côtés, il est vrai... Tu ne pouvais, déjà, faire grand-chose, pour elle, à ton plus grand regret... Simplement à lui parler, lui tenir compagnie. Payer ses opérations, ses frais médicaux, que, finalement, ton mari, s'attelle à cette tâche, désormais... Bien que tu l'aimes plus que de raison, que tu serais prête à tout, pour elle, même si elle n'en demeure plus, réellement, consciente, tu n'as plus eu l'occasion de la retrouver. Croiser, une fois de plus, son regard vitreux... Non point, parce que tu ne le veux plus... Mais, d'une certaine manière, tu as tout quittée... Tout plaquée, pour Montgomery. Et, cette part de cette effroyable stipulante, en fait partie, depuis qu'il t'a passé la bague au doigt... Qui plus est, tu restes, quelque peu, traumatisée, par les établissements médicaux... Moins, tu as, a passé, là-bas, mieux tu te portes !

à fort myers depuis : Cela va faire, pratiquement, six ans, que tu vis, aux côtés de ton cher mari, à Fort Myers. Bien malgré toi, tu as su, bel et bien, te fondre dans la masse. T'intégrer, de surcroît. Bien que, dans le fond, tu te sentiras toujours mieux, chez toi. À Vienne, ou, encore, à Aberdeen.
©️ FROZEN-LOVE.
30 ans.
France, pays du fromage, du pain et du béret.
Via bazzart, en fait. ^^
Personnage inventé.

onetwo
HONNETE : Tu es d'une franchise incomparable. Peut-être, est-ce pour cette raison, que cela te cause certains tours. Qu'ils soient bons ou mauvais, d'ailleurs... Tu sais que tu dois, parfois, te lier la langue, afin de t'éviter quelques tourments. Parce que tu te sais parfaitement, que, parfois, les mots peuvent être de nature bien profonde. Bien trop cruelle et pesante. Bien trop blessante. Tu as déjà essayé, à maintes reprises, de te contenir. De garder tout cela, dans le fin fond de ta mémoire. De ton esprit esseulé. Parfois même brisé. Tu tentes, vainement, de les chasser. De les envoyer valser, dans les méandres de l'oubli. Tu aimerais pouvoir te changer cet attrait. Réussir à te démêler, de ces situations maladroites, étroites. Etourdissantes, qui te mettent souvent dans l'embarras. Tu voudrais te demeurait, à jamais, au silence. En particulier, quand cela fait souffrir les gens de ton entourage, tes proches. Tu te maudis, dans ces moments-là. Ces instants fugaces. Tu aimerais, souhaiterais, pouvoir te gifler. Te remettre sur le droit chemin, alors que la raison te fuit, sans contritions. Mais rien y fait... Tu dis et révéleras toujours la vérité - la vérité et rien qu'elle. Parce que, dans le fond, c'est tout ce que tu peux véritablement contrôler. Parce que c'est tout ce que tu peux offrir, dans ces moments passagers. Parce que, pour toi. Ta frêle silhouette, tu ne peux supporter qu'on te ment. Quand bien même, cela peut être pour te protéger, contre vents et marrés...  DISCRETE : La discrétion, ça te connaît. Ca te parle ! Tu as toujours vécu cela, au demeurant. Depuis ta plus tendre enfance, tu as appris à bien maîtriser tes émotions. Tes sentiments. Certains penseront, certainement, que tu n'es qu'un robot sans vie. Une poupée de chiffon. Une coquille vide, dénuée de sens, d'expressions. Tel un pantin désarticuler, territ dans l'ombre. Délaisser par son créateur, les jeunes visiteurs. Usé, bafoué, délaissé des environs. Crépuscule vacillant où se perdent les illusions. Pilule amère, qu'on te croit avoir avalée, sans la moindre petite hésitation, depuis maintes années, tu sais démontrais que tu es humaine. Que toi aussi, tu as des sentiments. Seulement, tu tentes à tout prix, de ne point faire trop étalage de ta vie privée. Parce que tu te doutes, pertinemment, que si tu te mets à parler, tu crains, secrètement, que les autres viennent jaser derrière ton dos. Te poignardant de leurs lames effilées. Aiguisées. Remontant la clef, qui est sagement, soigneusement loger, en ton être. Dans ta frêle silhouette... En revanche, quand on te révèle un secret. D'autant plus s'il est de la plus haute importance, tu restes aussi muette qu'une carpe ! Même sous la torture, tu ne révéleras jamais ce que ton voisin t'as avouer, un peu plus tôt. La trahison est tout bonnement, tout simplement banni de ton vocabulaire.  LOYALE : Tu as toujours été et resteras, à jamais, loyale. Fidèle. Que ce soit au sein de ta vie professionnelle, autant que de ta vie privée. En particulier, quand il s'agit de tes proches. Tu es l'âme incarnée, damnée, qui écoute la voix de ta conscience. Qui te pousse à rester sur le droit chemin. Bien que cela soit, parfois, complexe. Que toutes tentations te poussent à t'écarter. Te délester de ce poids qu'est la sagesse, tu ne peux... Ne veux plus guère, rester dans l'ombre. Prisonnière de ses paroisses de verres, qui ne font que se resserraient. Se refermant sur toi, jusqu'à ce que tu suffoques. Manquer d'air, à bien des égards. Et que les écarts de ta vie, te poussent à sauter dans le vide. Savoir avoir de quoi te raccrocher. Restant sur le bas-côté. Jusqu'à ce que tu deviennes plus qu'un simple et futile amas de poussière et que l'essentiel t'échapperas toujours de tes petits doigts de fées... La vie, ta famille, t'a, bel et bien, appris la limite du bien et du mal. Tu as appris de tes erreurs et t'es engagée, solennellement, à ne plus les reproduire. Les répéter. Tu sais ce que tu veux, quand tu le désires... Ce qu'il faut faire et ne pas faire... Parce que tu te sais, pertinemment, que si tu cèdes à la moindre tentation... Si tu as une quelconque hésitation, tu seras perdue, à jamais, dans les méandres de l'oubli. Egarée, telle une âme en peine. Errant dans les contrées, sans trêves, ni repos. Comme une brebis. Un fantôme, prisonnier de ces boulets. Ses chaînes d'acier, que tu te contenteras de porter. De traîner, pour l'éternité. Parce que tu sais que tu t'en voudrais que trop, si tu venais à commettre l'irréparable. Que la cupidité, l'égoïsme, t'aveugle. T'enveloppes de son manteau de fumée. Que tu te laisses guider par ton étourderie. Par la fourberie, la morsure du serpent. Fieffée filouterie... Tu le sais, que tôt ou tard, si tu baisses la garde. Si tu n'y prêtes plus guère attention. Que tu laisses tomber les armes, ton erreur commise jadis, s'abattra sur toi, telle une plaie. Le karma se retournera vers toi, tu le sais. Alors, tu respires un grand coup et tu fais face à la situation. Aussi inconfortable, intimidante, soit-elle. Aussi étroite, délicate, qu'une fleur sauvage, bien que fragile à la fois... Tu affrontes tes propres démons. Tu restes toi-même, quoi qu'il arrive. Tu te bats, jusqu'à ton dernier souffle de vie. Tu restes fidèle, quoi qu'il arrive. En particulier, quand il s'agit de tes proches.  JALOUSE : Tu as cette fâcheuse manie d'être jalouse. Aussi bien en amour, qu'en amitié... Tu es du genre à trop vouloir t'attacher aux autres. A leur être loyal, fidèle, qui plus est. Mais, si tu as bien des qualités, celui-ci est vite rattrapé par ta maladie verte. Petite bête, que tu cherches sans arrêt, pour toi, tu tiens à garder l'exclusivité. Tu dirais point, que tu désires être le centre d'intérêt, de tous ceux et celles qui croisent ta route. Non, tu as horreur de ce genre de choses, à dire vrai. Te regarder le nombril, est abstrait, indigne de ton intérêt, mais, le fait, que tu n'aies guère les personnes que tu aimes, autour de ton être, de ta frêle silhouette, t'effraie quelque peu... Tu ne saurais dire réellement pourquoi, mais, l'absence d'un être cher et tant aimer, t'es insupportable. Insurmontable. Surtout, lorsqu'il s'agit de ton meilleur ami d'enfance... Dans le cas contraire, tu ne peux accepter l'absence d'abandon. Si ce n'est qu'elle emplit ton horizon... Eternel chamboulement, cruelle conception. Tu as, pourtant, tout fait pour écouter la voix de la sagesse, de la raison. Abysse infernal, désillusions néfastes, d'où perle l'essence écarlate à l'amère odeur de rouille. Rien n'y a fait cependant, quand le sépulcre est tout ce qui te reste. Que la mélancolie t'enveloppe de son manteau de fumée. Que tu tentes le tout, pour prendre tes distances. Digérer, avaler, ce voluptueux poison - poison du serpent, qui coule inlassablement dans tes veines, quelque chose te ramènes, toujours, à la raison. Il s'agit de quelqu'un d'important, parfois. Qui t'est cher à ton âme esseulée, brisée. Il te tend la main, te remontant, t'étreignant, tendrement. Te sortant, ainsi, de ton trou noir et béant. Mais, tu auras beau essayer de calmer la douleur. Faire taire, chasser. Balayer d'un simple geste, d'un simple revers de main, les affres de la jalousie, qui te pousse, encore et toujours, à foncer dans le tas, tête baissée. Qui te consume de la tête aux pieds, en vain... Cette jalousie maladive et incessante. Vérité troublante, aura toujours raison de toi. Faisant disparaître à jamais, dans les brumes de l'horizon, tes qualités, sur l'instant présent. Tout ceci, de toi, cela en dépend... Il n'est qu'à tes risques et périls, de vouloir te brûler tes petites ailes de fée... Ou non...  DOUCE : Tu es d'une douceur incomparable, indescriptible. Cela a toujours été ainsi avec toi. C'est plus fort que toi... L'air serein, prône sur les fins traits de ton visage pâle, blafard. Tu portes constamment, ce masque de l'indifférence. Eternellement, ce masque de la déférence. Tu le portes sur ton être, ta frêle silhouette, tel un bouclier de protection. Parce que, dans le fond, tu crains de le montrer. De le divulguer au monde entier, tout en prenant le risque énorme, de te brûler tes ailes fragiles et délicates. Parce que, pour toi, cela résonne comme une marque de faiblesse... Alors, tu restes de marbre. Aussi droite qu'un piquet. Aussi raide qu'une planche de bois, quoi qu'il advienne. Quoi qu'il se passe... Tu restes aussi belle, aussi froide, tel un pâle matin de printemps, qui frissonne encore, sous un hiver de glace. Un hiver tenace. Seul ton meilleur ami d'enfance, sait ce qui se trame, dans les fins fonds de ton boudoir. Dans les fins fonds, de ton âme perdue, esseulée. Damnée. Et, quelques personnes proches, qui peuvent être dignes de ta confiance...  COMPREHENSIVE : Il est dans ta nature, de vouloir, à tout prix, te mettre à la place des autres, les comprendre. Que ce soit autant, de ta vie privée, personnelle, que professionnelle. Tu te sais parfaitement, que cela est un point essentiel, élémentaire, pour mieux prendre du recul. Mieux saisir le point de vue de ton prochain. C'est, sans nul doute, pour cette raison, que tu sais anticiper l'envie. Le besoin vital et irrépressible de tes proches. Tu sais mettre tes problèmes, tes émotions de côté. Tu les ranges, gentiment, soigneusement, dans un recoin de ton esprit torturé, esseulé, et tu tentes, désespérément, d'aider. De conseiller, du mieux que tu le peux, toutes les personnes qui se sont approchés, alors, de toi. De ton être, qui se veut, dans ces moments-là, se trouver confiant. Assurant, droit et serein. La seule, l'unique personne, qui t'es le plus proche, et qui, généralement, arrive à te percer. A lire en toi, comme dans un livre ouvert, c'est : Cooper. Avec lui, tu auras beau tout faire, tout tenter, pour enfouir toutes tes angoisses, tes envies. Tout ton stress, ta mélancolie, rien y fera, cependant. Tu ne peux te permettre de te cacher, constamment, derrière un masque - masque de l'indifférence. Masque de la déférence, qui t'incombe, dans ces instants-présents... Tu ne pourras jamais, te cacher derrière des faux rires. Des faux-semblants. Il a pris, des petits morceaux de toi. Mais, si petits, que tu n'as su faire attention... L'instant d'avant, tu étais toi-même... La Ivy, que tu t'étais toujours connue, mieux que quiconque, certainement. Mais, la seconde suivante, tu te méconnaissais, totalement. Irrévocablement. Dans un monde de chimère, monde de misère, que tu méconnais, tu n'arrives à te défaire de cette sombre calomnie, apogée. Une existence entière, dévouer à la mélancolie. Aux blasphèmes...  DIPLOMATIQUE : Pour toi, il est totalement évident, que la diplomatie s'impose. Que la bonne justice, règne en maître, sur cette vie terrestre, bien cruelle. Bien, trop sombre, pénible et amère, qui ne fait que broyer les plus faibles, sur son chemin... Tu préfères méditer. Bien réfléchir, avant d'agir. Quitte a persuader, engager les pourparlers. Hisser le drapeau blanc. Entériner, sur le moment, la hache de guerre, plutôt que de la confronter. Tu te sais, sans nul doute, que tu n'es point douée, pour ce genre de choses. User de la force, de la violence, est un point de divergence, que tu redoutes follement, hardiment. Tu préfères de loin, essayer de trouver un bon compromis, plutôt que de foncer tête baissée, dans la mêlée. En revanche, s'il on abuse de trop, de ta bonté, ton indulgence... Qu'on trahit ta confiance, ta bien aisance. Qu'on te vole, te dérobe, dans la foulée, ton innocence, ta plussoyance, alors tu n'hésites plus... Tu décides d'ignorer, d'écarter, cette personne, de mauvaise augure. Sombre présage, qui inaugure ta toile étoilée. Ternie par les ombres, de ce triste passé. Tu sors les griffes. Tu serres les poings, alors que tes dents grincent, dans un semblant d'amertume. Et, l'air renfrogner, ta grise mine, arborerait ta connivence... La rancune fait place à la mélancolie, à la douleur. Aux ténèbres, qui t'engloutissent. Se dérobant sous tes pas. Derrière ton tracé, où se mêlent les démons, tapis dans l'ombre. Sortant de leurs tristes rochers...  TRAVAILLEUSE : Le travail, le travail... Encore et toujours le boulot... Pour toi, c'est un élément clef, qui t'es important, capital, pour te sentir à l'aise, bien dans ta peau. Peut-être, parce que tu aimes ce que tu fais. Ce que tu créées. Parce que tu t'es toujours connu comme cela : motivée, confiante. Assurante, qui plus est. Tu as toujours réussi ce que tu entreprenais. Quelque soit le doute, la difficulté de la situation. Du métier - quelque soit la filière. La branche que tu prends, le succès, tu connais. Tu apprécies cela, d'ailleurs !  CREATIVE : Tu as l'air d'être née sous une bonne et belle étoile, faut croire. Quelque soit le domaine - que ce soit de l'art, de la littérature. Des petits plats mijoter, préparer avec amour, pour sa famille... Tout te sourit ! Tu n'éprouves aucune difficulté, complexité, à obtenir ce que tu souhaites, de ton travail, tant escompter, imaginer. On pourrait te donner n'importe quelle tâche à faire, c'était comme si c'était fait, déjà réaliser ! Il te suffit juste de claquer des doigts. De secouer ta petite baguette magique et voilà que tout est ordonné. Bien soigner, bien organiser. Tu es un petit prodige et tu aimes cela. Une véritable Raiponce, quoi !  PROTECTRICE : Tu ne saurais, réellement, pourquoi... Mais, dans le fond, tu as ce besoin irrépressible, de vouloir protéger le monde, de ces vastes et terribles dangers. En particulier, pour les personnes qui se trouvent être des plus chères et importantes, à tes yeux. Tu prends soin d'elles, comme si ton existence, tout entière, est rivée sur elles. Tu serais prête à tout, pour faire leurs bonheurs. Quitte à te sacrifier, s'il le fallait. Ton âme esseulée, torturée, bien que loyale. Ta petite vie, pour le moins banale, insignifiante, bancale, à cesser de tourner, autour de son axe. Le souffle te manque, dans ces conditions. Parés de désillusions, seul ceux que tu aimes, t'es destinés. Peu importe le devenir de cet univers, que tu méconnais, que tu voudrais oublier et purger de ta peine... Peut importe le devenir de ce monde de chimère. Monde de misère, tu seras toujours prête à te battre pour eux. Quoi qu'il advienne. Envers et contre tous. Contre vents et marrés.  NAÏVE : Si toutefois, tu as tous ces défauts, autant que ces qualités. Qu'ils font partie intégrante, de ta personnalité, tu as, cependant, ce trait, cet attrait, de simplette, de naïveté, en toi. En effet, tu peux avoir totalement confiance, en ton être. En ta frêle silhouette. Surtout, au sein de ton travail, tu n'as, cependant, aucun mal à douter de tout, en amour, en amitié. Peut-être, as-tu peur de ne point être à la hauteur, des êtres qui te sont chers. Peut-être, vis-tu, inconditionnellement, dans leurs ombres. Sans nul doute, es-tu effrayée, à l'idée même que tu ne leur suffis plus guère... Il te suffit, qu'on t'implante une idée sombre et saugrenue, dans ton esprit torturé et voilà que tu doutes de toi. De ton histoire avec elle. De tout... Cela te vaut bien, quelques vilains tours. Quelques vilains tourments même, qui rôdent, sans détour, à la lisière de ton inconscient...  NEVROSEE : Tu as toujours ce don d'être névrosée. Mélancolique... Si tu n'es guère du genre à vouloir le divulguer, montrer ton état de faiblesse aux autres, cependant, tu restes blottie, seule dans ton coin. Tu te mets en boule. Tu te couches sur le bas-côté, en position de fœtus et tu ne fais plus le moindre mouvement. Tu joues à la morte, de cette façon. Tu n'es, dans ce cas-là, plus qu'une coquille vide, dénuée du moindre sentiments, de la moindre émotion. Tu n'es plus qu'une banale poupée de chiffon... Cela t'est bien souvent pénible. Voir, insupportable. Tu détestes, parfois, cet aspect de ta personnalité. Mais, c'est plus fort que toi... Tu le portes, inlassablement, comme un bouclier. Comme si la mélancolie, était tout ce qui te restait, en ce vaste monde... Tu ne changeras jamais... Tu es, et resteras, une sorte de Meredith Grey...
Que représente Fort-Myers pour toi ? T'y sens-tu bien ou à contrario, pas particulièrement bien ?
À tes débuts, tu n'avais guère saisi l'essence même de ces quelques douces paroles censées... Ton cher et tendre mari, ayant vécu une bonne partie de son enfance, ici-même... Vivant paisiblement, son rêve de gamin, son âge d'or... Fraîchement, installé, dans les bordures, de la Floride même, en compagnie de sa famille... Ces écumes de vagues, de mousses, étincelants. Brillants de mille feux - en mille et un éclat. Ce sinueux marécage de sable, inlassablement, enchevêtrait. Virevoltant, bien souvent... Se laissant emporter, par la brise incertaine et chaude... Une carrière prometteuse, florissante... Source même, s'étant posée, dans la capitale océanique. C'est ici, que, lui, se voit terminer sa vie... Au fond de ton être, de ta frêle silhouette, pourtant, tu demeurais circoncîmes, interdite. Septique. Sans nul doute plausible, que tu as eu fort bien du mal, à t'y intégrer. À te sentir à ta place constante, dans ce petit bout du monde, où tu t'y méconnaissais... Il t'a fallu un bon moment, pour trouver tes marques, tes repères, il est vrai. Toutefois, désormais, tu t'y sens pratiquement comme chez toi. Tu le certifiais... Tu ne troquerais, pour rien au monde, ce bout de paradis fugace. Invétéré. Du moins, ton brave Montgomery n'a de cesse de te le rappeler... Ici, vous avez de nombreux contacts, des somptueux projets, à, plus ou moins réalisés. Concrétisés. Néanmoins, fonder une famille... Finir sur le chemin de bois soufflé, le ponton ciselé... Les cheveux grisonnants, filasses, voulant s'échapper, furibonds, derrière ton tracé... Tourbillonnant dans la brume de la nuit acculée, tu l'ignores totalement... Comme tout le monde, tu ne sais de quoi l'avenir sera fait... Tu vis, tout bonnement, au jour le jour. Savourant, tant bien que mal, l'instant présent. Ainsi, c'est tout ce qui subsiste. Le reste, pour le moment, n'est qu'abstrait, indigne de tout intérêt. C'est bien connu, chacun trouve sa voix,  son bonheur intense... Quoi qu'il en fusse, on s'y complait.
৩ Céleste Applewhite. Anciennement, de son nom de jeune fille : Wittelsbach ৩ trente et un ans ৩ Née à Vienne, en Autriche, et a vécu, une bonne partie de sa vie, là-bas ৩ Elle est enfant unique. Mais, était très proche, fusionnelle, de ses parents, cependant ৩ Sa famille n'a jamais rouler sur l'or. Ils n'étaient guère riches, certes. Mais, n'étaient pas à plaindre, non plus ৩ Sa mère est Écossaise, c'est pourquoi, avec sa famille, elle passait, chaque année, durant les vacances d'été, et visiter, presque, toutes les régions. Du moins, jusqu'à ce que son état de santé se détériore... ৩ Désormais, sa mère subit d'importantes opérations, pour survivre. Financer, par le mari, de la douce blonde. Quant à son père, il est mort, lorsqu'elle fut âgée de quinze ans ৩ Cela paraît d'autant plus étrange, il est vrai, mais Ivy n'a jamais été une grande frileuse. Au contraire, à moins de zéro - un degré, vous pouvez la voir se balader en robe légère. Comme si c'était la canicule. Cela lui a valu, parfois, pour certaines gens, de la regarder, avec les yeux écarquillés. Toutefois, en été, à plus de vingt-quatre degrés, cela devient intolérable, pour elle. Cette dernière n'arrive à supporter la chaleur. Si elle s'écoutait, elle s'enfermerait dans un frigidaire ! C'est une Jon Snow dans l'âme, cette petite ৩ On l'a beaucoup charriée, durant sa préface d'adolescence, parce que la demoiselle est née la veille de Noël. D'où le fait qu'on la surnommait, tout le temps, la « Mère Noël » tout bonnement... Pour autant, ce n'est guère ce genre de choses qui blessait cette dernière. Bien au contraire ! ৩ Ses autres surnoms sont : Ivy, Fleur empoisonnée, Celi. Petit ange, tigresse. Ainsi, qu'exceptionnellement, Docteur House ou encore Bijou, auprès de son époux. Bien qu'elle ne l'aime point spécialement... ৩ Depuis toute petite, elle adore, tout ce qui touche à l'artistique, ainsi qu'à la danse. Principalement, sur du classique. Ou bien, la valse. Valeurs Autrichiennes, oblige ! Par ailleurs, depuis toute petite, elle s'y adonnait volontiers. C'était son rêve, sa passion, incontesté ৩ Elle n'a jamais eu beaucoup d'amis, car, dans le fond, ils la trouvaient étrange... ৩ Vers l'âge de l'adolescence, alors que la blondinette sortait de la salle de danse, en compagnie de sa meilleure amie, de l'époque, afin de la sauver, alors que la demoiselle ne regardait la route, pour traverser... Voyant une voiture débouler de nulle part, Céleste, se décida à la sauver, in-extrémiste. Malheureusement, c'est elle, qui, naturellement, en pris le coup. L'impact ৩ Elle fut sauvée, certes, mais dû subir de nombreuses opérations. Surtout, en ce qui concerne sa jambe droite, afin de ne point la perdre ৩ Aujourd'hui, encore, il ne lui reste qu'une sombre cicatrice, qui lui procure, quelques douleurs, lorsque l'humidité, la pluie, menace de poindre ৩ À cause de cela, il lui arrive, par moment, de boiter, même. Mais, cela ne reste que passager... ৩ Son cher Montgomery s'en moque, s'amuse à ses dépens, concernant ce fait. Un peu, comme Hugh Laurie, dans la série, chaque année, en période de fête, il lui offre des cannes, de toute sorte. Pourtant, ils finissent, bien rapidement, au grenier de leur immense demeure...  ৩ A la suite de cet événement traumatisant, la jeune Autrichienne, s'est trouvé une autre vocation, concernant son métier... Elle est décoratrice d'intérieur, en chef ৩ Elle est très minutieuse, observatrice, et tente toujours, d'anticiper le désir, le besoin des gens ৩ C'est avec son meilleur ami d'enfance et partenaire de danse qu'elle a perdu sa virginité, lorsqu'elle fut adolescente. Afin que cela ne tombe point sur le premier venu, qui aurait pusse, dans l'éventualité, l'a blessée... Malgré le fait qu'il soit gay ৩ Au risque de paraître arrogante, surfaite. Totalement clichée, Céleste est très porté sur le physique des petites gens. Il faut que tout soit parfait. C'est d'ailleurs un attrait, un atout, de sa personnalité, que son mari déteste... Il lui porte, déjà, peu d'estime, d'affection à son égard, certes. Mais cela, il en est incroyable... Cela le rend totalement fou - fou à lier. Pourtant, il se veut dans l'obligation de s'entretenir. Elle y veille bien au grain... ৩ A ses heures perdues, la douce blonde s'est portée volontaire, depuis trois ans, environ, en tant que professeur de danse classique. Pour ainsi, apprendre certains pas de danse, de mouvement, à un jeune groupe d'enfants. Elle en compte, à peu près, une quinzaine, depuis. Pour Ivy, elle les considère, un peu, comme sa famille. Ses propres enfants, d'une certaine manière. Elle sera toujours présente, pour ces charmantes demoiselles. Quoi qu'il lui en coûte. Par ailleurs, elle se donne à cœur joie, de les chouchouter, leur faire plaisir. Au grand désarroi de sa dite, douce et tendre moitié... ৩ Les cours, se déroulent, généralement, tous les jeudis, vers dix-sept heures trente - dix-huit heures. Hors vacances scolaires, évidemment ৩ Le mercredi, elle se procure un moment de détente, tout en donnant des cours pour adultes, de yoga, afin de décompresser ৩ Lors d'événements, de soirées de gala... Surtout, depuis son tragique accident, Ivy n'est du genre à vouloir se déhancher sur la piste de danse. C'est pourquoi, elle refuse, décline, catégoriquement, toute proposition, qu'il soit. Y compris, son mari... En réalité, elle craint de trébucher. De déchirer ses robes, dans la volée. De faire tomber le serveur, qui renverserait son plateau, sur quelques convives, avant de tomber, lourdement au sol. Se blessant, tout autant... Oui, elle le sait, sciemment, qu'elle deviendrait, bien rapidement, maladroite... Ironique, l'image... N'est-ce pas ? ৩ Malgré le tempérament de son mari, Céleste désirerait fonder une famille, un jour. Mais, certainement point, avec lui... En réalité, elle lui cache, depuis plusieurs années, déjà, qu'elle est encore sous pilule... Toutefois, elle ne pourrait supporter l'idée même, qu'il s'en prenne à leur enfant, si c'est une fille. Et, qu'il en fasse un monstre, comme lui, si c'est un garçon. Elle en a parfaitement, conscience, que c'est malsain, de lui faire cela. De n'autoriser, un tel bonheur. Ne serait-ce que pour cette dernière. Elle s'en veut, terriblement, par ailleurs. Mais elle ne pourrait se le pardonner, de ne pouvoir protéger sa propre chair. Son sang, de son sang, dans le cas contraire... ৩ Toutefois, si cela s'avérait, arriver, un jour. Dans un monde meilleur, qui sait... Si cela demeurait une fille, elle voudrait l'appeler Camélia, ou bien, Padmé. Non, ce n'est point, pour la référence à « Star Wars. » Loin de là... Ce prénom, signifie, en réalité : « Fleur de Lotus. » En raison, que, c'est l'une de ses fleurs favorites. Et, John, si c'est un garçon. Car, elle voue un culte particulier, pour les poètes, tels que John Keats, ou encore, John Clare ৩ Cela fait, désormais, cinq années, consécutives. Presque, six, qu'elle vit, avec son époux, à Fort Myers ৩ Ivy n'aime guère parler de sa famille, son passé. Encore moins, ce que lui fait subir son époux. Par conséquent, peu de personnes, sont, réellement, au courant de tout cela. Elle demeure mystérieuse, auprès des autres. De toute manière, elle n'a guère d'autre choix, que d'agir, comme cela... ৩ Malgré tout, sous cette apparence trompeuse, la douce blonde, est avenante, bienveillante. À l'écoute, protectrice. Un brin glamour, fragile, même. Disons, qu'il faut, réellement, l'analyser. Rentrer, dans son cercle d'amis, pour le remarquer ৩ Céleste se revendique, totalement, polyglotte ! En effet, elle sait, pertinemment, parler : Le gaélique écossais. L'italien. Sa langue d'origine, naturellement. L'anglais, ainsi, que le mandarin ! Dernièrement, elle sait, même, mise aux langages des signes ! ৩ Après chaque relation sexuelle, elle ne saurait expliquer cela, mais, irrémédiablement, des fourmilles, vinrent la chatouiller, la titiller, inlassablement, durant quelques longues minutes, durant, sur ses petits pieds... Si, a la base, cela l'a gênée, désormais, cela lui est, parfaitement, indifférent, il est vrai... Elle attend, juste, que cela passe, tout simplement... ৩ Son point faible ? Les tendres baisers dans le cou. Si un homme, a le malheur, de le faire... Même si, elle tente, vainement, de lui démontrer, que cette demoiselle, ne le désire point. Qu'elle ne veut de cela, avec lui. Lui céder, ainsi, dans les bras. En revanche, son corps s'exprime. En dit tout autrement ! ৩ Amoureusement, elle est une femme délicate, fragile. Romantique, bohème. Elle aime, particulièrement, qu'on lui accorde de l'attention, de l'affection. Qu'on prenne du temps, pour la choyer, prendre soin d'elle. Mais, sexuellement, c'est un tout autre genre... Hormis l'idée, qu'elle ne soit ainsi, avec son mari. Qu'elle ne lui montre sa véritable nature... En revanche, de ce côté, c'est une femme fatale. Une fille sauvage, assez brutale. Elle aime infliger, de doux tourments. Tels que des griffures, des morsures. Des suçons, qui font bien mal, qui sont assez énormes, sur le moment... Elle aime soumettre les hommes, à sa volonté ferme. À ses moindres désirs. Elle les mattes, à sa manière. Toutefois, si ces derniers, se trouvent, parfaitement, à la hauteur de ses espérances, elle n'hésite guère à leur montrer, leur faire savoir, qu'ils peuvent, également, la dominer, de temps en temps. Par ailleurs, elle apprécie, dans de rares moments, que ce soit doux, affectueux, tout autant ! ৩ Elle ne sait pourquoi, également, mais... Elle aime le faire dans des endroits insolites. Elle trouve ça bien plus dangereux, bien qu'excitant, à l'idée de se faire démasquer ! Même, si, il est vrai, que cela, celle-ci, le regretterait, amèrement, aux orbes ténébreux, de Montgomery ৩ Attention : toutefois, elle n'est point dépendante, addict, à cela ! Seulement, elle considère, que les relations sexuelles, doivent rester, avant tout, une partie de plaisir, d'amusement, si possible. Mais, surtout, consentant ৩ Elle a un esprit assez félin, pervers, par ailleurs... Les petits jeux, avec les menottes, le fouet, elle ne manque pas de les sortir ! Encore faudrait-il trouver le bel apollon, qui saurait consentir à cela... ৩ Son moment favori ? Se détendre, autour d'un bon bain brûlant. Dans les bras musclés, d'un homme doux, bon.

৩ Céleste, quand on lui pose une question. Surtout, quand il s'agit de son mari, elle tente de rester neutre. En particulier, quand cela devient embarrassant... ৩ Elle est très protectrice envers ses proches et son entourage ৩ Elle est également possessive, jalouse. Aussi bien en amitié qu'en amour ৩ Elle est du genre compréhensive et tente toujours, de se mettre à la place des autres, pour essayer de saisir leur point de vue ৩ On peut lui faire confiance, et même sous la torture, la jeune demoiselle ne crachera le morceau ৩ Par contre, même si elle n'est pas du genre à étaler ses problèmes et sa vie privée, on peut facilement la faire céder, en lui donnant du chocolat ৩ Contrairement à son mari, elle adore la cuisine mexicaine. Et, davantage, italienne ৩ Elle a une belle petite collection de vinyles, ainsi que de Penny Dreadful ৩ Céleste est une maniaque de la propreté ৩ Elle à une peur bleue des poupées de porcelaines, depuis toute petite ৩ Elle raffole des glaces à la vanille, avec de la sauce chocolat par-dessus. Des glaces à la rose, a la poire. Ou encore, a la mangue ৩ Elle raffole des shamallows chocolatés, des fraises aux chocolats et les litchis ৩ Quand elle se sent triste, elle ne peut s'empêcher de boire du chocolat, suivi de crème chantilly. Et d'une petite touche de cannelle ৩ Elle mange toujours les dragibus noirs, en premier, car, ce sont ses préférés ৩ Elle écoute de tout, mais a une préférence pour le jazz ৩ Cette dernière est allergique à l'ananas, et dès qu'elle sent qu'il y en a, ses yeux gonfles comme des balles de tennis ৩ Ses desserts préférés sont le cheesecake, la crème brûlée. La tarte citron-meringuée, ainsi que le crumble ৩ Elle déteste les champignons ৩ Celle-ci adore s'endormir avec le bruit de la pluie. Ça la berce ৩ Quand elle est gravement souffrante, elle ne peut s'empêcher de regarder « Singing in the rain » , « Hello Dolly » ou, encore, « Age of Adaline. » Étrangement, ce sont des films qui l'aide à se sentir mieux ৩ Si vous désirez marquer des points. Tenter de la séduire, en l'invitant, par exemple, au cinéma, misez, plutôt, sur des films d'épouvante, de science-fiction. Ou encore, de comédies musicales. Et, surtout, épargnez-lui, les cinématographies, sur la guerre, les drames. Ou pire encore, les comédies romantiques. Surtout cela... Vous auriez le malheur, qu'elle vous gifle d'emblée, avant même de fuir, en toute hâte. Les romances, dans ce genre, elle trouve cela surfait, niais à souhait. D'autant plus, que, la réalité, ne se présente guère comme cela. Croyez-le ou non, elle a déjà un vécu ! ৩ Elle adore les animaux et serait tout à fait prête à les défendre, contre la maltraitance ৩ Quand un être proche, un ami, ou, ne serait-ce, qu'une simple connaissance, à envie d'en savoir un peu plus, a son sujet. Du moins, en amour, celle-ci a tendance à se braquer. Voulant, quelques-fois, s'enfuir, dans la hâte. Voir, à devenir un poil agressif. En bref, elle est toujours en train de se refermer, comme une huître - toujours sur la défensive. Elle finit par s'en vouloir à force, de tout gâcher. Elle pourrait bien avouer la vérité, oui... Le souci qui l'incombe, c'est que la blondinette n'aime guère aborder le sujet. Ne serait-ce qu'un simple souvenir, de ce sombre et triste passé. Elle souhaiterait, sincèrement, qu'il disparaisse, à jamais, dans les méandres de l'oubli... ৩ C'est une fan, inconditionnelle, des compositions florales. Par ailleurs, si elle en met, que ce soit dans son cabinet, chez les clients. Chez elle, par exemple, cela varie, en fonction, de ses humeurs, son ressenti. Ses sentiments. Ou, tout simplement, pour faire savoir, ce que cela signifie... Faire saisir, à la personne, à qui elle en offre, par plaisir, ce que qu'elle ressent, à l'égard d'un proche, d'une personne, après sa première rencontre, sa chute. L'effet, qu'elle lui fait... Parmi ses favorites, se trouvent : la rose rouge. Pour elle, cela signifie, naturellement, la passion. Pour éveiller le désir, chez l'être aimé. La blanche, pour la pureté, l'innocence. Le lys blanc, pour démontrer, ce qu'elle désire... En particulier, la relation amoureuse, qu'elle demeure chaste. La primevère, pour transmettre, ainsi, avec grâce et délicatesse, les premiers frissons amoureux. Moins téméraire, le lilas, lance une invitation, plus subtile, à découvrir les joies de son amour. Son parfum enchanteur, saura amadouer la personne convoitée, pour lui suggérer une relation fidèle et durable. Autre éloge, de son corps, l'amaryllis ne manque point de générosité et sait déployer ses plus beaux atouts, pour se montrer irrésistible. L'objectif érotique, est, ici, clairement affiché et c'est avec une certaine assurance, que la fleur s'impose : "Ne me résiste pas !" En matière de conquête, les fleurs ne sont avares, en compliments... La glycine, délivre un message, sans équivoque, pour Grace : "Tu me céderas, de gré ou de force !" En cas de coup de foudre ou si l'être convoité, est un homme, la conquête sera confiée au gerbera. Relativement récente, dans le paysage végétal, cette fleur gaie et moderne, ensoleille la quête amoureuse : "Tu illumines ma vie !" La tulipe : très proche, de la symbolique, de la rose. Avec ses pétales rouges, la tulipe, transmet ses sentiments, avec beaucoup de naturel et un soupçon d'érotisme : "Sois à moi !" L'aveu d'infidélité, est, quant à lui, attribué à la frivole ancolie. Associée à la folie, depuis le Moyen Âge, cette fleur volage, aux couleurs mélancoliques, traduit le mensonge et l'inconstance : "Bien malgré moi, j'ai perdu la raison !" Le colchique : dans le registre, des larmes, ainsi, que de la jalousie... Si vous vous y connaissez, ne serait-ce qu'un peu. Que vous avez la main verte, il vous sera inutile, de lui poser la question, connaître son ressenti, son émoi. Les fleurs, converseront, diront tout, à sa place ! ৩ Ses planètes : venus, ainsi que le soleil. Traits de personnalités, qui, lui correspondent, à la perfection, elle trouve ৩ Sa pierre précieuse, favorite ? La pierre de lune. C'est, par ailleurs, ce que constitue sa bague de fiançailles. Si, toutefois, son mari, était dans le style surfait, luxueux, des alliances... Désirait, ardemment, fièrement, que la douce blonde, est un caillou, prenant, une majorité de son doigt délicat... Elle a réussi, néanmoins, à combiner. Négocier l'idée, d'y insérer, sa pierre adulée, incruster de petits diamants, scintillant, dans le firmament, à ses double côtés. Ainsi, cela constitue le glamour, le singulier. Illustre symbole de fidélité. Mensonge discret, se reflétant, inlassablement, à ses orbes bleutés... ৩ Elle raffole, tout ce qui touche, a la cérémonie de « Dias De Los Muertos. »


Dernière édition par Ivy-Céleste Applewhite le Jeu 23 Avr - 19:40, édité 1 fois
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CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. Empty
(#) Re: CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. { Jeu 23 Avr - 16:27 }
PART I : PROLOGUE. I wish the world, was beautiful, as my dreams.
    « Le vent est à l'est, la brume se lève. Quelque chose se prépare et arrivera, tôt ou tard. Je ne saurais dire ce qui nous attends. Mais ce qui va se produire, est arriver avant... »





    CHAPITRE PREMIER : NOS ÉTOILES CONTRAIRES.

    « POURQUOI, CROIT-ON, QUE, DERRIÈRE UN BEAU VISAGE, SE CACHE, OBLIGATOIREMENT, UNE BELLE ÂME ? »


    De ta démarche, gracieusement, dansante, tu ouvrais, délicatement, la poignée, de cette porte, aux paroisses de verres, fort bien soignées. Aux designs raffinés. T'engouffrant, ainsi, dans la brise glacée, bien décidée à trottiner, pour rentrer, dans les moulures de ta demeure, quelque peu, délabrée. Lui donnant, un air, affreusement, glauque, lugubre, qui se situer, non loin, de cet amphithéâtre. Ce bâtiment, où tu te devais d'y côtoyer, bien malgré toi, certaines petites gens. De prêter une attention, toute particulière, à ces nombreux camarades, ne cessant de déblatérer, leurs sombres souvenirs, leurs accidents. Infortune trépassée, tu n'aimais point cela, pour autant... Cela ne partait guère d'une mauvaise intention, mais, ce groupe de soutien, tu n'en avais cure, dans le fond... Cela ne pouvait soulager ta douleur lancinante, irascible, qui te transperçait de ses piques de glaces, à longueur de journée. À chaque seconde, qui s'égrenaient, à travers ce sablier, qui marque votre temps, votre apogée. Tu n'aimais guère étaler ta misérable existence, le moindre de tes sentiments. Comme si cela allait la changer, irrémédiablement... Tu avais dû lutter, avec tes maigres forces, pour résister. Montrer, que tu demeurais une battante, il est vrai. Comme tous ceux, qui répondaient présent, dans ce groupe, tu étais une rescapée. Mais tu avais payé le prix, tout autant... Ta carrière de danseuse, tu devais la chasser, la balayer, à jamais, d'un simple revers de main, un regard inanimé. Ce rêve inassouvi, n'était plus guère, qu'un sombre rappel, de ce que ton avenir radieux, t'avais promis. Il venait de trépasser, dans les méandres de l'oubli... Tu ne savais plus que faire... Tu ne te sentais plus à ta place constante, dans ce monde de misère, monde de chimère, dans lequel tu te méconnais. Tu déambules, tel un zombi. Le sol se dérobant sous tes pas. Sous ton regard médusé, incompris, tout te semblait abstrait, indigne de ton intérêt. Tu semblais avoir perdu tout semblant de raison, d'espoir incontesté. Ils te fuyaient, sans la moindre contrition... Tu ne pouvais t'empêcher de serrer les dents d'amertume, de regret. L'animateur de ce groupe, n'était guère rude, grossier. Mais voir le bon côté de la chose. Continuer à avancer, souriant tels des idiots balafrés, ce n'était point pour toi. Tu le certifiais... Ces programmes, qu'ils vous donnaient, en main propre, à chaque séance... Ces blancs papiers, tu en serais, bel et bien, capable, de les lui faire bouffer. Nous sommes tous dans le cœur de Jésus... Mon œil, ouais ! Il devait, réellement, songer, à avoir une vie sociale, lui ! La fumette, ce n'était vraiment pas pour ce dernier ! Le peu de matière grise, qu'il avait... Sciemment, il les grillait. Cela n'en demeurait, que plus navrant... L'avantage à cela, c'est qu'il y avait un jeune homme, fort séduisant, avec qui, vous vous amusiez, à ses dépens. Tu ne le connaissais guère, plus que de raison. Mais, à sa manière, bien à lui, tu le trouvais charmant. « Céleste Wittelsbach, attend ! » S'époumoner, dont, le beau brun, d'une voix, qui se voulait un peu trop criarde, à ton goût. T'emboîtant, ainsi, le pas. Se prenant, presque, la porte blindée, sur son doux visage envoûtant, des plus pénétrants, qui t'arracher un petit rire cristallin, de tes lèvres, légèrement, rosées. Daignant, finalement, te retourner. Te mettant à sa hauteur, pour le toiser. « J'ignorais l'idée, que tu avais un sérieux penchant pour Patrick, très cher ! » Consentais-tu, à lui souffler, d'une voix douce, mélodieuse. De plus suaves, en lui adressant un mignon petit rictus, pour le moins, amusée de la situation. Il est vrai, que, si ce n'était l'organisateur, dont, tu aimais, tout particulièrement, charrier, le beau britannique, n'en demeurait que ta cible de prédilection. Davantage, parce que tu te savais, parfaitement, qu'il pouvait, parfois, démarrer au quart de tour. Au moins, tu ne saurais restais prostrée, en retrait. Ce beau brun, ténébreux, avait un puissant impact, sur ton être, ta frêle silhouette. Il te décontenançait. Bien plus, que tu ne l'avouais... « J'admets, je ne me lasserai jamais, de sa voix de crécelle, nous dire, que nous sommes tous dans le cœur de Jésus. » Rétorquait-il, en retour. Tout autant enjoué, amusé. Jouant, dont, de ses petits doigts calleux, rugueux, avec son livre de poche, qu'il ne quittait jamais, à bien des égards - livre, qui se trouvait être son porte bonheur, son favori. Cet objet, qui avait piqué, maintes fois, ta curiosité. Sans toutefois, oser lui souffler, lui demander, ce qu'il contenait... « Totalement ! » Achevais-tu, en laissant, échapper, une fois de plus, un léger rire cristallin. Levant, ainsi, les bras en l'air, pour approuver cette prière de groupe. Bien, que donner l'air d'une possédée, il est vrai. Tu tournais, ainsi, les talons. Traînant des pieds, lui retournant, d'un léger signe de main, pour lui montrer que tu le verrais prochainement. Comme à l'accoutumé. « Céleste Wittelsbach... » Te soufflait-il, presque, dans un murmure. T'arrachant, quelques doux frissons, qui parcouraient ton échine. C'était étrange... À ses fines lèvres, ton nom paraissait plus tendre, plus suave. Comme neuf. Ton cœur se mit à cogner, tambouriner, dans ta cage thoracique. Menaçant, presque, d'imploser. Colorer les feuilles, de son amère odeur de rouille... À mesure, que tu levais un sourcil, intriguée à l'idée, qu'il te retenait. Te barrer, sans ménagement, instinctivement, ton tortueux tracé. Se postant devant ton être, ta frêle silhouette. Cependant, que tu n'osais guère soutenir l'intensité, de son doux regard envoûtant, pénétrant. « Je suis heureux de faire ta connaissance. » - « De même, Monsieur Applewhite ! » Tu te sentais, quelque peu, embarrassée. Intimidée, de la situation, dans laquelle il vous mettait. Tu n'avais guère pour habitude, qu'on vient à ta rencontre. Encore moins, qu'on puisse t'accorder, davantage, d'attention. Que l'on puisse t'avouer cela. Toi-même, tu te savais pertinemment, que tu avais changé, irrévocablement, depuis ton accident. Tu t'étais refermé, telle une huître. Tu t'étais, réduite, à jamais, au silence - silence, qui n'était troublés, que par vos respirations lentes, régulières et presque unies... « Je peux te revoir ? » Te demandait-il, on ne peut plus indécis. D'un ton, qui trahissait sa certaine quiétude, qu'il te portait, sous ton regard stupéfait. Interdit. Qui, pourtant, te troubler, te toucher. Tu approuvais d'un léger signe de tête. « Naturellement ! » Haussais-tu, tes frêles épaules. Passant tes doigts délicats, dans tes cheveux furibonds. Blonds, comme les blés. Signe, que tu te sentais, davantage, embarrassée. Bien, que tu ne cessais de sourire, telle une idiote balafrée... « Demain ? » Te proposait, dont, Montgomery, d'une voix douce, circoncise. Guettant ta réaction. Alors, que tu réprimais un nouvel éclat de rire. Te sentant rougir, comme une pivoine. « Attention... Tu risquerais de te faire passer pour un impatient ! » - « C'est bien pour cela, que j'ai dit demain ! À dire vrai, j'ai, déjà, envie de te revoir. Là, maintenant... Mais je vais m'obliger à attendre toute la nuit. Ainsi, qu'une bonne partie, de la journée, de demain... » A ces quelques douces paroles, qui se montrèrent, d'une beauté, d'une douceur irréelle. Qui aurait pu faire tomber n'importe quelle demoiselle, sur-le-champ. Dans ses bras, irrémédiablement, pour lui voler un doux baiser langoureux, passionné. Toi, en revanche, tu te figeais, telle une statue de pierre. Te sentant aussi raide, qu'un vulgaire piquet, une simple planche de bois. Tu réprimais, presque, de lever, tes orbes bleutés, au ciel... « Je ne blague pas... » Insistait ce dernier. Lisant, dont, en ton être, ta frêle silhouette, comme dans un livre ouvert. À mesure, que tu te mordais, doucement, ta lèvre inférieure. Tentant, vainement, de trouver une parade, une raison, pour te défiler. Non point, qu'il ne t'intéressait guère ! Mais, toi, tu n'étais ce genre de fille facile, frivole, qui se donne, irrévocablement, corps et âme, envers le premier venu. Encore moins, quand il pouvait s'agir d'un bel homme, comme lui, à qui, pouvait être dû, sans ménagement. Tu valais bien mieux que cela. « Tu ne me connais même pas... » Bon... Tu n'allais guère te comporter, aussi froidement, te braquer... Tu concevais, que ce dernier, ne te laissait point indifférente, dans le fond. Toutefois, si le bel apollon, a la carrure, magnifiquement, élancée, athlétique, demeurait, sincèrement, intéressé, alors, il prendrait peine, à prendre, un peu, de son mal, en patience... Tu te décidais, dont, à lui emprunter son livre, des mains, délicatement, à mesure que tu le vis ouvrir la bouche. Sans nul doute plausible, pour placer quelques douces paroles sensées... « Et, si je t'appelais, quand j'ai fini ça ? » Lui proposais-je, d'une voix douce, mélodieuse. Le coupant, dont, dans son élan. Levant, légèrement, gracieusement, son roman. Cependant, que tu remarquais, ses sourcils froncés d'incompréhension. Se sentant, quelque peu, septique, intrigué. « Tu n'as pas mon numéro... » Te retournait-il. Te soufflait-il, presque, dans un murmure. Néanmoins, qu'il t'imitait, en haussant ses épaules carrées, à son tour. « Je te soupçonne, fortement, de l'avoir écrit, dans ce livre. » Consentais-tu, à lui confesser, instinctivement. T'amusant à pointer du doigt, la couverture azurée. À mesure, que tu le vis, dont, se fendre, d'un mignon petit rictus, béat, qui n'avait d'égale, qu'à sa beauté, persistante. Troublante. « Et tu oses dire, qu'on ne se connaît pas... » En effet, tu devais te l'admettre... Pour le peu, que vous aviez échangés. Conversés, dans la volée, étrangement, vous aviez l'air de vous compléter. Un peu, comme une pièce de puzzle, s'emboîtant, parfaitement. Une toile étoilée, scintillant, inlassablement, dans le firmament. « Laisse-moi lire ceci et je te promets, que tu ne le regretteras pas, très cher ! Mais en attendant... » Tu achevais cela. T'interrompais, promptement. Laissant ces doux mots, en suspens, au gré du vent - virevoltant, dans la mélasse brise glacée. Serrant, délicatement, le roman, contre tes frêles bras, ta poitrine. Le fuyant, doucement. Disparaissant, ainsi, à sa vue enchantée. Souriant, telle une idiote balafrée. Visiblement, amusée...





    CHAPITRE DEUX : PARCE QUE JE T'AIME.

    « JAMAIS, IL N'AVAIT EU LE COURAGE DE LUI AVOUER SON AMOUR... CERTAINS JOURS, IL PENSAIT, QU'ELLE ETAIT AMOUREUSE DE LUI. MAIS COMMENT EN ÊTRE CERTAIN ? SURTOUT, IL NE SE SENTAIT PAS DE TAILLE, A SUPPORTER UN REFUS... »


    De son fin tissu, d'un blanc immaculé, le charmant serveur, vous déversez, délicatement. D'un regard animé, tendre. De son doux regard chaleureux, empourprée, lié à la chaleur écrasante, pour le moins, étouffante, de la salle de restaurant, le fin breuvage pétillant, dans les flûtes, aux reflets cristallisés, chatoyants. À mesure, que, tu le toisais, t'attarder, sur chaque détail. Visiblement fascinée, obnubilait, de par ses gestes gracieux. Fort contentieux, assuré. Néanmoins, que tu ne remarquais, le regard noir, que ton cher Montgomery, lui adressait. Tu lui exprimais ta gratitude, d'un léger signe de tête. Lui retournant un mignon petit rictus, de tes lèvres, d'un rouge vermeille, cependant, que le beau brun, se racler, sciemment, la gorge, afin de lui démontrer, que cela en était de trop. Qu'il en avait, déjà, suffisamment, fait, ainsi. Désirant, ardemment, que ce pauvre malheureux, disparaisse, à sa vue enchantée. Sombrant, dans les méandres de l'oubli. Tel, qu'il savait si bien le faire, quand ces clients se sentaient, quelque peu, contrariés, de par sa présence. Tu le vis, dont poser, soigneusement, la bouteille, aux teintes de jades. Reflétant, dans les douces lumières tamisées. Avant même, de tourner les talons. S'affairant à ses quelques tâches ménagères. Répondants, aux moindres désirs inassouvis, de ses quelques petites gens... Au fond de ton être, de ta frêle silhouette, tu te sentais, pour le moins, embarrassée, pour lui. Prise, d'une pitié certaine. Tu aurais souhaité, de toute ton âme, pouvoir lui présenter tes plus plates, sincères excuses, à l'égard de ton ami, qui s'était voulu rustre, froid. Distant, à son intention. Mais, avant même que tu ne pusses t'exécuter, le bel apollon, à la carrure, magnifiquement, élancée, athlétique, te couper, déjà, l'herbe sous le pied. Te ramenant, à sa volonté. À la réalité, que, parfois, encore, tu te méconnais... « A cette magnifique soirée, dont tu me fais grâce, de par ton charme, ta beauté. » Portait-il, ainsi, son toast, de sa voix, douce, mélodieuse. Suave. Trinquant, délicatement, son verre, contre le tien. Néanmoins, que tu l'imitais, soigneusement. Lui adressant un charmant petit rictus. Ton cœur cognait, tambourinait, dans ta cage thoracique. Au point d'imploser. Colorer les murs, de son amère odeur de rouille. Tu en aurais, pratiquement, chasser, balayer, d'un simple regard inanimé. D'un doux revers de main, cette sombre médisance, à l'égard du serveur. Tout te semblait abstrait, indigne de ton intérêt. Il n'y avait, que ton charmant Montgomery, qui comptait, désormais. « Bien au contraire, c'est toi, qui l'embellis. Ne la rends que, davantage, éblouissante. Magique. » Lui soufflais-tu, presque dans un murmure. Aussi léger, qu'une simple brisée glacée. Te sentant, dont rougir, tel une pivoine. Il ne cesserait, jamais, de te surprendre. De te complimenter, te flatter, sous ton regard tendre, hébété, il est vrai. Tu trempais tes lèvres, dans le fin breuvage, à mesure que les orbes caramélisés, de ton séduisant ami, ne cessait, de te contempler. T'admirer, avec douceur. D'une tendresse infinie. S'y noyant, irrévocablement. « Je suis amoureux de toi, Céleste Wittelsbach. » Consentait-il, de ce ton doux, troublant. Serein, emprunt de velours. À mesure, que, tu manquais, pratiquement, de t'étouffer... Tu avais remarqué, depuis un certain temps, que, ce dernier, n'avait eu de cesse, que de t'aborder. Te charmer, comme il se le devait. Restant, avant toute chose, attentionné, romantique. Et, bien, que tu ne pouvais t'empêcher, de réprouver, les mêmes forts sentiments, à son égard, tu demeurais, quelque peu, pantoise, interdite. Ne voulant guère, pour autant, céder. Lui tomber dans les bras. Tu ne savais guère pourquoi... Mais, au fond de ton être, de ta frêle silhouette, ton instinct, te dictait, de les chasser. Les envoyer, dans les méandres de l'oubli. Sans nul doute plausible, que tu allais, amèrement, le regretter, dans le cas contraire. De cela, tu le certifiais... Tu posais, dont ta coupe, sur le blanc drapé. Bien plus, lourdement. Brusquement, que tu ne te le devais. Le toisant, intensément. Ne sachant guère, comment l'interrompre. Troubler, ce doux moment. « Et je sais que l'amour, n'est qu'un cri, dans le vide, que l'oubli est inévitable. Inéluctable. Que, nous sommes tous condamnés... Qu'un jour viendra, où, tout ce que nous avons fait, retournera à la poussière. Je sais, aussi, que le soleil, avalera la seule terre, que nous n’aurons jamais... Et je suis amoureux de toi. » Achevait-il, dont, toujours sur ce même timbre de voix, envoutante. Plus, que troublante, qui, sans crier gare, ne faisait que te renverser, sur le bas-côté. Tout semblant de raison, te fuyait, sans contrition. Tu ne savais comment riposter, l'arrêter... Tu te sentais, des plus ébahit, stupéfaite. Telle une chouette effrayée, prise dans les phares, d'une cage d'acier, tu ne savais plus guère, quoi ajouter. Les mots restés coincés, dans le fin fond de ta trachée - tu étais abasourdi, ébahit, de la violence de sentiments inavoués. Tout semblait te contredire, te mettre en garde. Quelques doux frissons, parcouraient le long de ton échine. Tu ne pouvais faire cela, il est vrai. Mais, bien malgré toi, tu te sentais éreintée. Malgré ses quelques défauts, son caractère, fort bien trempé, tu devais te l'avouer, tu l'aimais. Il te complétait. L'ascenseur émotionnel, le cœur en flammes, tu ne savais point raisonner... « Moi aussi... Je suis amoureuse de toi. » Consentais-tu, finalement, à lui révéler. Lui retournant, un mignon petit rictus. Te risquant à lui prendre, délicatement, sa main calleuse, rugueuse. Jouant, fébrilement, avec ses doigts. Tu pourrais, tout simplement, savourer, l'instant. Te sentir bien, heureuse. Épanouie, comme jamais. Mais, au fond de toi, tu ne saurais dire pour quelle raison, mais la peur, t'engendrait, t'engouffrer. T'enveloppant, de son manteau de fumée. Cette troublante vérité, discrètement, dissimulée, jusqu'à présent, tu allais, amèrement, le payer, sous ton regard incompris. Naïf, médusé...





    CHAPITRE TROIS : LE TEMPS DES MIRACLES.

    « SI PARFOIS, ON NE CROIT, CE QUE L'ON VOIT, IL Y A D'AUTRES FOIS, OU LES CHOSES LES PLUS IMPORTANTES, AU MONDE, SONT CELLES QUE L'ON NE VOIT PAS. »


    [size=11]Tu errais. Déambuler au côté de ta moitié, sur le chemin. Les rues de pavés. Laissant ton esprit esseulé, parfois même, brisé, voguait, se laisser emporter vers d'autres rivages. De vastes horizons. Oui, tu errais, tel un zombi. Mais tu ne répondais, guère présente, pour autant... Cependant que, celui que tu aimais, vous arrêtez, soudainement, sous tes orbes étonnés. Tu le toisais, alors qu'il te faisait face. Voulant absolument rester, dans ton champ de vision. Tu lui adressais, dont un regard navré, à mesure que tu comprenais, que tu n'avais guère écouté, ce qu'il venait de te révéler... Il s'enquit de ton état, sentant une certaine quiétude, pour toi, néanmoins, que tu lui adressais un doux, mignon, petit rictus. Te sentant touchée, de son intention, qu'il avait à ton égard. Tu approuvais d'un léger signe de la tête, alors, que, tu masquais ton écart de conduite, en reportant toute ton attention, sur le bel apollon. Lui demandant, gentiment, de bien vouloir se répéter. Espérant, ardemment, de toute ton âme, qu'il ne serait guère lassé. Une ébauche de sourire, vint dont, peindre ses douces lèvres, pulpeuses à souhaits, cependant, qu'il avait l'air amusé de la situation. « Je disais, que, j'ai fait une petite folie... » Tu fronçais les sourcils, dans un semblant d'incompréhension. Ne saisissant, point, l'essence même, de ces quelques paroles censées... Tu ouvrais, dont, la bouche, à ton tour, à mesure, que, ton séduisant, ténébreux, Montgomery, te devançais. Sachant, lisant en ton être, comme dans un livre ouvert. « Je t'ai acheté un cadeau. » Tu penchais la tête, légèrement de côté. Te sentant lasse, il est vrai... Prenant un air désespéré. Bien que ce dernier avait de délicates attentions. Que tu avais toujours apprécié ces louables efforts. Aussi incommensurables, fussent-ils, tu n'avais jamais aimé, cependant, qu'on t'offre quelques présents. En particulier, quand il s'agissait du beau brun. « Monty... » Lui soufflais-tu, presque dans un murmure, à mesure que tu laissais un soupir, aussi léger qu'une simple brise glacée, s'échapper, de tes lèvres, légèrement, rosées. Ton bel ange te coupait, net, dans ton élan. Plaçant une main devant les fins traits de ton visage troublant, pénétrant. Laissant tes paroles, tes différents, s'évanouirent, dans les fines brumes de la nuit. « Je sais... Tu vas me dire, que, je n'aurais pas dû. Que tu n'aimes pas qu'on te fasse ça, mais, si je l'ai fait, c'est parce que je me doute, que cela va te plaire... » Se justifiait-il, d'une voix douce, mélodieuse. Suave. Sortant, dont, de la poche de son épais manteau, un petit papier cadeau, qu'il te tendait, délicatement, de sa main rugueuse. Calleuse. Daignant prendre patience, sagement, afin que tu t'exécutes. Que tu pusses l'ouvrir, au demeurant. « Bon, je veux bien faire un effort, parce que c'est toi. Mais aussi, parce qu'il ne reste plus que quelques minutes, avant la nouvelle année ! » Lui rétorquais-tu, sagement, néanmoins, qu'une mignonne petite moue, arborait, ton visage de poupée. Prenant, délicatement, de tes petits doigts de fées, l'emballage doré, qui scintillait dans le firmament. « C'est trop aimable de ta part ! » Achevait, ton bien-aimé, d'un timbre, se voulant, avant toute chose, douce. Rassurante. Laissant échapper un léger rire cristallin. Un petit rictus vint s'élargir, davantage, quand tu remarquais qu'il se moquait. S'amuser, gentiment, à tes dépens. Alors, que tu prenais, finalement, le paquet. Lui faisant le plaisir, sous ses iris chatoyants. Impatientes, de l'ouvrir. « Oh, une boite ! T'as raison, c'est vrai que tu ne pouvais me faire plus plaisir, que cela, amour ! » Achevais-tu, d'une voix amusée, cristalline. Espérant, dont, au passage, que l'élu de ton cœur, mordrait à l'hameçon. Le beau brun, levait, ainsi, ses billes caramélisées, au ciel, se mordant la lèvre inférieure, pour s'empêcher de glousser. L'étouffant, dans la brise incertaine, gelée. T'imitant dans tes gestes : secouant la tête, frénétiquement. « Plus sérieusement... Ouvre-le, bijou. » - « A tes ordres, chef ! » Consentais-tu, à scander, d'un ton, qui se voulait, un peu trop criard, à ton goût... Bien que tu ouvrisses, finalement, l'écrin de velours... Tu aperçus, ainsi, le contenu... Une bague scintillante. Brillant, en mille et un éclat. À mesure, que tu restais sonnée, pantoise. Le temps de quelques longs instants durant, les mots restés coincés, dans le fin fond de ta trachée. Tu ne savais que dire, comment riposter... « Montgomery, c'est... » Tu n'eusses, guère le temps, de terminer, que tes grands yeux opaques s'écarquillèrent. Se changèrent, presque, en soucoupes. Néanmoins, que tu les posais sur les siens, qui te sondèrent, tendrement. Brulant, d'une certaine passion. Alors, que son doux visage envoûtant, pénétrant, rayonnait de bonheur. « Une bague... De mariage ? Oui. » Soulignait-il, aussitôt, d'un timbre, qui se voulait, toujours, aussi doux, rassurant. Sur l'instant présent, tu songeais, sans nul doute, que ce dernier, te jouais quelques vilains tours. Qu'il s'amusait, à tes dépens... Tu l'observais, silencieusement. Comme pour y déceler une légère touche de perversion. En vain... Le bel homme, à la carrure, magnifiquement, élancée, athlétique, semblait sérieuse. Se préparant, certainement... Psychologiquement, à te faire cette demande, que tu avais tant attendu, durant maintes années. De nombreux moments. « Ça fait un moment que j'y pensais. Que je voulais te demander en mariage. Mais, avec tout ce qui s'est produit, dernièrement... J'avoue ne pas avoir trouvé le bon moment... » Il se risquait, à continuer, dans sa lancée. À demander ta main, en toute bonne volonté. Mais, avant même que celui-ci n'arrive jusqu'au bout, tu lui coupais net, l'herbe sous le pied, sous ses iris chatoyants, éberlués. Quitte à rompre le charme. La magie, du moment, incontesté... « Attends, je... Je pensais, que... Tu n'étais pas encore prêt, pour ça... Que c'était trop tôt, pour toi... » - « Je sais... J'ai eu tort... » A ces quelques douces paroles censées, qui avaient sonnées, pourtant, sincères, de surcroît, tu fronçais les sourcils, dans un semblant d'incompréhension. Toisant ton bien-aimé. Cependant, qu'il venait de piquer, ta curiosité... Bien que dans le fond, tu te sentais, quelque peu, touchée, tu n'arrivais, point, à saisir l'essence même, de tout ceci... De ce que cette demande en résultait. Pourquoi diantre, ton petit ami s'était, ainsi, raviser ? Se décider, à sauter, désormais ? Le vague sentiment incertain... L'immense sensation, que quelque chose clochait. Le tourmentait... Tu ouvrais, la bouche. Te risquer, à lui souffler, si c'était, bel et bien, ce qu'il désirait. Que, s'il eut, un désobligeant méfait, qui le tourmentait, le torturait, ton bel ange, pourrait tout aussi bien se confesser, à ton égard. Irrémédiablement, tu le protégerais, contre vents et marrées. Mais tu n'eusses la peine nécessaire, de le questionner, que, ce dernier, déjà, te devançais... « Tu as été gentille, patiente... Tu as, tellement, sacrifié, pour moi. Pour nous, et... Je n'ai jamais été assez reconnaissant, envers toi... Ces derniers temps, je me suis conduit, comme un parfait imbécile, avec toi. Et tu ne t'es jamais plainte. Tu as toujours tout supporté, et... » Il marquait, alors, une légère pause. Inspirant, soufflant un bon coup, avant de mettre un genou, à terre, à mesure que le moment irréfutable, inéluctable, s'écoulait, sciemment. Alors, que ton rythme cardiaque, accélérait. S'emballait, sensiblement. Ton âme cognait, tambourinait, dans ta cage thoracique, inlassablement. Tu souriais, telle une idiote balafrée. Chassant, irrévocablement, tes sombres pensées, de ton esprit esseulé. Sombrant, virevoltant, dans les méandres de l'oubli. Te laissant un brin de répit. Un doux moment éphémère, tel le vole d'un papillon. Coincé, à jamais, dans la stratosphère. « Et, surtout, en cette période de fêtes, tu m'as fait comprendre, que... Qu'on attend tous Noël ou le jour de l'an, avec impatience. Qu'il y a une raison à cela... Et, dans le fond, ce n'est pas tant les réunions de familles, les retrouvailles. Ou même le plaisir de déguster un délicieux lait de poule. Ni le baiser inattendu, sous la branche de gui... » A ces quelques douces paroles soufflées. Tu ne pusses, t'empêcher de laisser, s'échapper, un charmant, tendre petit rictus, de tes lèvres rosées. Visiblement, amusée. Lui prêtant, une attention, toute particulière. Le laissant, ainsi, continuer, dans sa trajectoire, sa lancée. « Ni même le cadeau, que nous offrira un être cher, qui justifie toute cette impatience. Non... Nous avons hâte de voir arriver la saison de Noël, parce que nous savons, aussi, que c'est, surtout : le temps des miracles. Et, mon miracle, c'est toi. » Achevait-il, sans ménagement, d'une voix, se voulant, distincte, indécise, pour autant. Certains frissons, parcouraient ton échine. Ta respiration hachée, se coupait, instinctivement... « Alors... Céleste Wittelsbach, veux-tu devenir ma femme ? » Consentait-il, à te demander, finalement. Se sentant penaud... Comme si le beau brun était effrayé à l'idée, que tu puisses le lui refuser. Le repousser. Il n'en était rien, toutefois... Tu sentais les larmes poindre, jusqu'à tes orbes bleutés, à mesure que tu approuvais, d'un léger signe de la tête. Souriant, encore et toujours, telle une idiote balafrée. « Oui, naturellement ! Je le veux. Je te veux ! » Soufflais-tu, émue. Presque dans un murmure, alors qu'une bulle aux couleurs chatoyantes, semblait vous couper de tout. De cette joute lasse, qui est votre monde de chimère. Votre monde de misère, dans lequel, parfois, vous vous méconnaissiez. Existence salvatrice, qui ne fait que broyer les plus faibles, derrière son tortueux tracé... Ta belle moitié, te retournait, dont un mignon petit rictus, pour le moins radieux, avant même de sortir l'alliance, du coffret, pour te la passer, à ton petit doigt délicat. Tu te laissais guider, cependant que certaines larmes de joie, perlées, le long de tes douces joues nacrées. Mourant, sur ton cou, calfeutrer. Néanmoins, que, le séduisant anglais, se relevait, gracieusement. S'approchant de ton être, de ta frêle silhouette. T'entourant, te serrant, dans ses bras musclés... Tu te laissais, dont glisser dans son étreinte. Savourant l'instant présent. Bien que cela, te parut, étrangement, s'écoulait. S'égrenait... Le bel apollon, à la carrure, magnifiquement, élancée, athlétique, posait, dont sa main rugueuse. Calleuse, sous ton menton, tandis que l'autre, essuyait, affectueusement. Tendrement, tes quelques larmes. « Je t'aime. » Te retournait-il, finalement, à mesure que, de doux frissons, t'envahir, une fois de plus. Alors, que tu ne cessais, encore et toujours, de sourire, comme une sombre idiote. Tu posais ta main délicate, sur la sienne, avant même de sentir ses lèvres, pulpeuses à souhaits, scellées, les tiennes. Ainsi, ton monde, retrouver de sa saveur. De sa splendeur, de son éclat.


Dernière édition par Céleste Applewhite le Jeu 23 Avr - 23:03, édité 2 fois
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(#) Re: CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. { Jeu 23 Avr - 16:27 }
PART II : ET MAINTENANT ?Our love broke my heart, and stopped yours.
CHAPITRE QUATRE : L'AMANTE ÉPLORÉE, FEMME INDIGNÉE.

« MAIS LA PASSION EST COMME UNE DROGUE : EN CONNAÎTRE LES EFFETS RAVAGEURS, N'A JAMAIS EMPÊCHÉ PERSONNE, DE CONTINUER À SE DÉTRUIRE, APRÈS AVOIR MIS SON DOIGT DANS L'ENGRENAGE... »


Tu laissais s'échapper un soupir, de tes lèvres rosées, aussi léger qu'une simple brise gelée. Retirant, gracieusement, ta veste, fort bien taillée, soignée. La jetant, sur le fauteuil cuivré, dans la volée. Néanmoins, que, tu te dirigeais, instinctivement, pour le moins, machinalement, vers le dressing, se trouvant, non loin, de votre lit conjugal, lorsque, quelques frissons, parcouraient le long de ton échine... Tu manquais, presque, d'avoir un sombre sursaut. Te sentant, quelque peu, effrayée, à l'idée de voir l'ombre fantomatique, de ton mari, qui se changer, également, de son côté. Préparant certaines affaires personnelles, qu'il posait, brusquement, dans sa petite malle de voyage. À mesure, que son doux regard envoûtant, interdit, se poser sur le tien. « Que fais-tu ? » Te risquais-tu, à lui demander. Lui souffler, d'un murmure. Cependant, que Montgomery, s'affairer, s'atteler, davantage, à sa tâche. Visiblement, contrarié, par cette question, qui, lui parure, à ses orbes caramélisés, des plus absurdes, superflus, il est vrai... Serrant les dents d'amertume. « Je prépare mon départ. » Te retournait-il, d'un ton sec, cassant. Le voyant secoué, distant. Te prenant, irrévocablement, pour une imbécile, au demeurant... Tu fronçais les sourcils, dans un semblant d'incompréhension. Néanmoins, que tu tentais, vainement, de savoir, ce qu'il lui prenait, d'agir de la sorte, à ton égard... Quelle mouche le piquait ? Tu n'avais rien fait de plus... Pour une fois, tu ne l'avais guère provoqué... « Mais... Ton avion ne décolle, que dans cinq heures... » Rétorquais-tu. Lui soulignais-tu, d'une voix douce, hébétée. À mesure, que tu le vis soupirer, à son tour. Daignant, ainsi, te toiser. Ne prenant point, la peine nécessaire, de plier, soigneusement, ses vêtements de soies. Ses magnifiques costumes, trois pièces. Comme s'il ne s'agissait-là, que de vulgaire objets, à valser. Alors, que tu ne savais guère pour quelle raison apparente, le beau brun, a la carrure élancée, athlétique, s'apprêtait à fuir, sur-le-champ. Disparaissant, ainsi, à ta vue enchantée. Bien qu'il eût, bel et bien, du temps, pour souffler. « Je prends de l'avance. Il risque d'y avoir de la circulation... » Se risquait-il, finalement, à te retourner, d'un ton, qui se voulait, étrangement, serein. Bien, que l'on pouvait y déceler, une légère pointe d'indifférence, à ton intention. Comme si tu venais, bien malgré toi, de l'importuner - comme si, tu venais de commettre, quelques médisances. Désobligeant méfait. Tu l'imitais, une fois de plus, laissant s'échapper, un nouveau, petit soupir, sombre. Contrarié. « Ah, je vois... Tu préfères aller voir ta pute, avant de t'en aller... » Mauvaise idée... Tu n'aurais jamais dû le lui balancer. Remuant, une fois encore, le couteau dans la plaie... Tu ne pouvais trouver mieux, que de le confronter. Lui rappeler sa fourberie, son infidélité. Tu lui en voulais, tu l'admettais. Tu aimais ton époux, oui. Mais, tout autant, tu le haïssais... Fieffée filouterie... Cela était déjà bien suffisant, que de tenter, vainement, de fermer tes paupières, sur tes orbes ténébreuses. D'autant plus, qu'il prenait malin plaisir, à continuer. Te tourmentant, bien plus, qu'il ne le devrait... Rompant, ainsi, sans ménagement, le sceau... Cette promesse, que vous aviez partagée, en ce jour si radieux, éblouissant. Ensoleiller. Moment attendrissant, particulier, qui s'était terni, de son acte déplacer. Amour de jeunesse meurtri, sous ton doux regard attristé, médusé... Au fond de ton être, de ta frêle silhouette, tu ne savais point, pourquoi tu restais, si sagement, prostrée, à ses côtés. À le soutenir, comme à l'accoutumé. Le protégeant, contre vents et marrés. Quand, lui, de son côté, n'avait cure, de tes sentiments inavoués... « Béryl. Elle s'appelle Béryl. Et, encore une fois, ce n'est pas une prostituée... » Ramenait-il, sur le tapis. Véhément. Cependant, que ton âme, se briser. Se fissurer, dans une fine poudre de diamant. En mille et un éclat. Avais-tu, réellement, envie, de connaître, davantage, les détails ? Cela l'amuser, de te faire remarquer, qu'elle te remplaçait, à sa manière ? Le combler, sur tous les plans, apparemment ? Si ce dernier avait une préférence pour elle, désirait, ardemment, follement, se retrouver dans ses frêles bras, que cela tienne ! Être loin de lui, c'était tout ce qui pourrait t'importer. De cela, tu le certifiais. Tu méritais d'être heureuse, épanouie - tu méritais, bien mieux, que tout. Bien plus que lui. De tourner la page. De voir de plus grands horizons, d'autres rivages. Te laissant guider, vers le lointain. Le large... Tu ouvrais, dont la bouche. Sûrement, pour placer, quelques paroles censées. Des mots acerbes, suturés. Reflétant, miroitant, dans le fin fond, de ton esprit embrouillé, esseulé. Mais tu te ravisais, finalement... Ils restaient coincés, dans ta trachée... Pourquoi diantre, tu te complairais, à continuer, dans ta lancée ? Si ce n'est l'idée, de trahir, ta souffrance irascible, permanente. Désillusions amères, imminentes ? Pique de glaces, qui te transperçaient. Te perforer le cœur, à longueur de journée. De temps ? Ce n'était rien de plus, qu'une ombre. Une simple pensée, que tu croyais, encore, aimer... Tu lui tournais les talons. Te risquant, quelque peu, à sortir, de votre chambre parentale, conjugale. Mais, sans que tu n'eusses t'exécuter, le bel apollon, te rattraper, irrémédiablement. Posant, tendrement, sa main rugueuse, calleuse, sur une de tes frêles épaules. La descendant, effleurant, ta peau de nacre. Prenant, tout autant, ta main. Remarquant, dont, que tu ne portais plus guère ton alliance... « Tu ne la portes plus... » Achevait-il, blessé. Fronçant les sourcils. Se sentant, on ne peut plus, ahurit, stupéfait. Jouant, fébrilement, avec tes petits doigts de fées. Déplaçant, affectueusement, ta chevelure, aux reflets de geai. Dorée, sur le bas-côté. Te déposant de légers baisers furtifs, sur ton cou délicat. Tu sifflais de contrariété, d'amertume. Telle une vile créature de la nuit, un serpent, entre tes dents, parfaitement, alignées. Ne te sentant guère d'humeur, à te laisser bercer, dans le creux de ses bras musclés. À t'attendrir, à mesure, que tu te sentais froissée, de par sa conduite. Son effroyable impudence. « Si tu tiens tant, à ce qu'elle prône, fièrement, sur un annulaire, t'as qu'à la lui passer ! » Consentais-tu, à lui rétorquais, en retour, d'une voix, un peu trop criarde, à ton goût. Ne te sentant, point, disposée, à lui accorder, quelques marques de rédemption, aussi, aisément. Aussi facilement, délibérément... S'il voulait te reconquérir, il fallait que ton cher Montgomery, fournisse de nombreux efforts... Parce que, les aléas de la vie, ça ne tombe pas, tout cuit, dans le bec. En particulier, le sien... Tu avais, pertinemment, parfaitement, conscience, que tu étais de loin, la femme rêvée, idéale. Toi aussi, tu avais bien des défauts. Mais, jamais, tu n'aurais osé te risquer à lui faire cocu, de la sorte. Tu remplissais, à même tes obligations. Tu faisais tout, pour l'aimer. Être à la hauteur de ses espérances. Tu faisais tout, pour le retenir. Mais, tout, n'est point toujours suffisant... Particulièrement, à ses iris chatoyants... Tu te sentais épuisée, éreinter... Tu ne savais plus comment agir, riposter... Tu endossais tes responsabilités. Mais ce poids, ne devenait que trop lourd, à porter, désormais. Tu donnais le meilleur de toi-même, chaque seconde. À chaque instant, qui s'égrenait. Toutefois, il n'allait que dans un sens, uniquement. Irrémédiablement. Et, chaque jour, davantage, ne faisait que te rappeler, éperdument, sombrement, que cet homme, t'infliger, quelques tourments. S'amusant à tes dépens... Tu te retournais, dont, pour le confronter. De cette fierté, non dissimulée. Désirant, de toute ton âme meurtrie, envoyer balayer, d'un simple revers de main, un regard inanimé, cette douceur infinie. Tendre torpeur, sombrant, dans les méandres de l'oubli. Néanmoins, que l'animosité, avait pris le pas. Bien au-devant, de ton trépas. « Je te prie, bijou... Ne commence pas... Je ne veux pas me battre, contre toi. » Achevait-il, d'une voix douce, mélodieuse. Suave. Te caressant, avec une certaine délicatesse, ta joue nacrée. À mesure, que tu fermais tes paupières, sur tes orbes ténébreuses. Hésitant, quelque peu. Devais-tu te résigner ? Devais-tu, lui céder ? Cela serait bien trop beau, pour être vrai... Tu lui montrerais, ainsi, que tu le pardonnais... Tu n'eusses le temps, de le repousser, que ton bien-aimé, poser sa tête, contre la tienne, doucement. Cependant, que ses fines lèvres, effleurèrent les tiennes. Sans nul doute plausible, pour te voler un doux baiser langoureux, passionné. « Pauvre mari, que tu es... Tu crois, réellement, être en mesure d'être pardonné, aussi aisément ? » Te risquais-tu, à lui avouer, simplement. Reculant, légèrement, ton doux visage, indigné, du sien. Lui adressant, un petit rictus, sans joie. Tu n'étais, à même, de prendre du recul. De relativiser... Lui, qui était vert de jalousie, fou de rage. Empourpré, lorsqu'un bel homme, oser s'y braver. Te toiser. T'approcher. S'interposant, en maître triomphant, dans votre dit bonheur fugace. Te sermonnant. Subissant, son lancinant courroux, dans la volée. Lui, ne s'était guère gêné, pour dévêtir, cette idiote balafrée, le premier. Le plus ironique, c'est que c'était toi, la coupable. La méchante de l'histoire ? L'amante éplorée, de votre idylle. Votre joli conte de fée, à proscrire. À blâmer ? Tu venais de l'assener d'un bon coup sur la tête. Tu le voyais assommé. Une bombe dégoupillée, qui venait d'imploser. Il marquait un léger mouvement de recul. Sous son regard circoncis, éberlué. Ses billes caramélisées, s'agrandirent, se dilatèrent. Se changeant en soucoupes. Oui... Toi aussi, tu pouvais te montrer aussi rude, qu'il l'était, à ton égard. Il ne t'avait que trop provoquer, titiller. Cela en était de trop, pour toi. Tu devais le conjurer. De cette folle trahison, le purger. Tu le vis dont ouvrir ses lèvres, pulpeuses à souhaits. Sûrement, pour se justifier. Placer quelques douces paroles censées. Mais, bien malgré toi, tu le devançais... « Tu es pathétique, mon cher Montgomery. » Consentais-tu, à lui révéler, sans ménagement. Irrémédiablement. Alors, que tu le vis, serrer son poing. Se retenant. Tentant de se raviser, vainement, pour trouver une cible. Cogner, dans le mur, le plus proche. D'un blanc immaculé. Comme il savait si bien le faire, pour exprimer son mécontentement. Alors, que les échos de colère, fusaient, dans son esprit ébranlé. Te montrant, irrévocablement, que, dans ces sombres violences, enfouis, en son être, qu'ils pouvaient, pourtant, émerger, promptement. L'envelopper, de son manteau de fumée... Tu étais allé trop loin. Tu te le savais - si bien, que, sans que tu ne t'y attendes, réellement. Au demeurant, ce dernier, pris malin plaisir, à te gifler. Ce furent que trop virulent. Bel et bien, violent, que tu ne pusses, t'empêcher, d'échapper, de tes lèvres rosées, un cri strident, stupéfait. Tu étais sonnée, à ton tour, durant quelques longs instants... Te remettant, difficilement, en place, il est vrai... Instinctivement, tu portais ta main délicate, sur ta joue rougie. Pour le moins, cramoisie. Le toisant, abasourdie. Ébahis, de cette violence incontestée. Tu venais de bafouer son orgueil, son autorité... Tu te risquais à riposter. Tentant, de tes maigres forces, à cogner. Tambouriner, à ton tour, contre sa dure poitrine imposante. Alors, que le beau brun, t'arrêter, brusquement. Capturant tes poignets. Les serrant, sans l'ombre d'un détour. Sans ambages. T'arrachant une petite moue, qui démontrait. Prônait, qu'il t'infligeait, quelques sombres douleurs. Serrant les dents d'amertume. Avant même, qu'il te plaque contre le mur d'acier. Afin de te contenir, te résigner. Ainsi, tu étais à sa merci. Totalement, impuissante. Soumise, à sa propre, cruelle volonté. Tu n'étais que poupée de chiffon. Un pantin désarticulé. Le sol, se dérobant sous tes pas. Derrière ton tracé. « Je suis désolé, Céleste... Je ne voulais pas... » Il n'eut le temps nécessaire, de terminer, que tu tentais, une fois de plus, de te délivrer de son emprise. En vain... Il n'abandonnerait, ne te lâcherait, pour autant, tant que tu n'aurais trouvé, tout semblant de raison. Tant que tu ne serais point calmée... Il te faisait mal... Autant psychologiquement, que physiquement. Tu allais être marquée, ruer de bleus, sur tes poignets engourdis, lancinants. « Lâche-moi, immédiatement... » L'implorais-tu, d'un grand désarroi. D'une voix tremblante, chevrotante, sur l'instant. Espérant, de toute ton âme, que ton mari, s'exécuterait. Mais il demeurait figer, telle une statue de marbre, de sel. Aussi raide qu'une planche de bois, un vulgaire et futile piquet. Bien malgré toi, tu l'avais réduit au silence - silence complet, qui n'était troublé, que par vos respirations sensibles, hachées. « Lâche-moi, Montgomery ! Maintenant ! » Achevais-tu, d'un ton, qui se voulait beaucoup plus froid, ferme. Songeant, certainement, qu'il le ferait. Sombre idiote... Naïve que tu es... Rien n'y faisait... Tu tentais, vainement, de retrouver tout semblant de raison, de repères. Mais ils te fuyaient, sans condition. Sans la moindre contrition... Tes yeux s'embuèrent de larmes. Menaçant, presque, de perler, le long de tes douces joues nacrées - à mesure, que, tu tentais, le tout, pour le tout... Instinctivement. Irrémédiablement, tu scellais tes lèvres rosées, sur les siennes. Vous prenants, tout deux, au dépourvu, sur l'instant. Bien, que ta dite, douce et tendre moitié, ne sût, davantage, te résister. T'agrippant, te serrant contre lui. Prolongeant ton baiser, qui devint plus intense, plus sauvage. Avant même de te porter. Alors, que tu passais, enroulais tes jambes galbées, autour de sa taille, pour trouver un appui. Te raccrocher. Néanmoins, qu'il vous dirigeait, gracieusement, tendrement, sur votre immense lit glacé.





CHAPITRE CINQ : RÉVOLTE DÉCUPLÉE.

« CE QUI COMPTE, CE NE SONT PAS LES COUPS, QUE L'ON DONNE. MAIS CEUX QUE L'ON REÇOIT ET AUXQUELS ON RÉSISTE, POUR ALLER DE L'AVANT. »


Les fins traits délicats, de ton doux regard, envoûtant, pénétrant. Empreint, d'une douceur infinie. Prônant, fièrement. Tendrement... Tu te fendais, d'un mignon petit rictus, béat. Charmant. Contemplant, t'attardant, sur le soleil couchant, dont les derniers reflets, des plus chauds, se marier, parfaitement, sur le ciel azuré. Le laissant poindre, sur l'instant... Cette petite marmaille, dont tu avais pris peine, la patience nécessaire, de t'en occuper, le temps de quelques heures, timidement, échanger. Engrener, à travers ce sablier, qui marque votre apogée, te rendais des plus heureuses, épanouies, il est vrai. Ces naïves demoiselles, aux cheveux éclatants. D'un beau geai foudroyant. De blés, dont les reflets, miroitaient, à tes orbes bleutés, émerveillés, ne te procurait que bonheur fugace. Léger. De doux moments, coincés, dans la stratosphère. Scintillant, dans le firmament, comme une fine poudre de diamant. À jamais. Des souvenirs, que tu encrais, au plus profond, de ton âme esseulée. Tel l'apanage, de ton existence salvatrice... Ce petit groupe, qui t'est, sagement, confier, c'était, d'une certaine manière, tes enfants. Tu te devais de les protéger, contre vents et marrés. Tu devais leur donner bien plus, que ce qu'elles te retournaient, tu le certifiais. Tu répondrais, toujours, présente, pour elles. Quoi qu'il t'en coûtait. Pour le meilleur, comme pour le pire. C'était une promesse, dont tu allais, allégrement, tenir. Respecter. Confortablement assise... Presque, en tailleur, sur le douillet sofa d'extérieur, tu te sentais à ton aise. Plus vivante, que jamais. Mais, ce doux moment de répit, incontesté, n'en fusse que plus passager. La sérénité n'en était, que, davantage, troublée, comme le vol éphémère d'un papillon, dont les ailes, s'enflammeraient, brûleraient, encore et toujours, de ces flammes incandescentes, par l'arrivée impromptue, de ton cher mari, qui s'assistait, gracieusement, à tes côtés. Posant, ainsi, son doux regard envoûtant, pénétrant, sur le verre cristallisé. Où, miroitait, le fin breuvage caramélisé, dont il se risquait, de jouer, sciemment. Tournant, délicatement, le liquide, au demeurant. Rituel retourner, signe de contrariété, que tu ne le lui connaissais que trop... Quelque chose le tourmentait, le froisser, tu en avais parfaitement conscience... Tu laissais, dont un soupir, s'échapper, de tes lèvres, légèrement, rosées. Emporter, virevoltant, dans la mélasse brise glacée. Cependant, que tu ouvrais la bouche, afin de placer, quelques douces paroles censées. Te risquer, à lui demander, la raison, inéluctable, de ses sentiments inavoués, sur l'instant. Mais, avant même, que tu n'eusses t'exécutait, irrémédiablement, ce dernier posait, soigneusement, sa main rugueuse, calleuse, devant ton doux visage de nacre. Expression, qui trahissait, ainsi, ton jugement, qui se voulait, abasourdis, ahuris. Te coupant, ainsi, l'herbe sous le pied. Dont le sol, s'écrouler, se dérober. Alors, que tu demeurais impuissante, à ce geste. Ce désobligeant méfait... Qu'avais-tu encore fait ? « Alors... Elle était bien, cette journée, avec les filles ? » Te soufflait-il, d'un ton, qui se voulait, étrangement, serein. Bien, que tu y décelais-là, une légère pointe d'amertume, d'indignation. À mesure, que tu te sentais, quelque peu, sonnée... Comme si, malgré lui, il t'avait lancé, une bonne dégoupillée, qui t'avais implosé, à ton doux regard hébété. « Elles ont appréciés ? » Continuait-il, d'une manière désinvolte, qui n'avait d'égale, qu'à lui seul. Néanmoins, que tu ne savais guère comment agir, comment riposter... Sans prendre la peine, de le troubler, un peu plus encore, qui, apparemment, ce dernier, ne l'était... Pourtant, tu osais t'y braver. T'interposer, en maître triomphant, comme s'il ne s'agissait-là, que d'un futile jeu enfantin, un terrain, que tu pouvais plaider. Tu étais dans ton élément. Tes orbes bleutés, se posèrent sur les siennes. Aux teintes sombres, interdites. Froides, distantes. Des yeux vitreux, qui ne daignaient, te confronter, pour autant. Comment, diable, était-il, au courant ? Alors, que tu lui en avais touché, certes, deux mots, il y a quelques semaines. Néanmoins, qu'il avait réprouvé, ta douce idée. Ta charmante intention - alors, que tu n'avais point hésiter, à bafouer, une fois de plus, son autorité. Ne demandant guère, sa permission. Planifiant, ainsi, cela, lors de son déplacement. Son voyage d'affaires, afin de ne le blessé... Ta profession, ton dur labeur, tu le gagnais, tout autant, de ton côté... Ces moyens, cet argent, si tu ne le dépensais, pour faire plaisir aux autres. Te faire plaisir, également... À quoi, pouvait-il, bel et bien, servir, au demeurant ? Qui plus est, vous n'étiez, non plus, à plaindre, sur le plan financier... « Écoute, ne le prend pas mal, amour... Mon intention n'était de te blesser, tu le sais. Seulement... » Tu marquais une légère pause. Laissant s'échapper, une fois de plus, un léger soupir. À mesure, que ton bien-aimé, osait te toiser, hautainement. Te sonder, te jauger, hargneusement. Néanmoins, que ton rythme cardiaque, s'emballait, sensiblement. Tu craignais, soudainement, sa réaction. Elle ne présageait rien de bon - rien de plus, qu'enfer et damnation. Raison, qui semblait le fuir, sans contrition... « Elles ont bien travaillé, sur leurs mouvements... Les fêtes de fin d'années approchant, je voulais, simplement, les récompenser. Leur faire plaisir. Et... » Plus tu tentais, de te justifier. De trouver grâce à ses iris chatoyants, plus tu remarquais, que tu t'enfonçais, bien au contraire... Comme si tu venais de commettre un effroyable crime, dans le fond... Pourtant, tu ne voulais te laisser intimider. Pas cette fois... « Nous avons les moyens financiers. Contrairement à certain, nous sommes loin d'être à plaindre ! De toute manière, j'ai eu l'accord de leurs parents... C'était à mes frais. Alors... Où est le problème, Monty ? » Consentais-tu, à lui demander, d'une voix douce, posée. Néanmoins, que le bel apollon, a la carrure, magnifiquement, élancée, athlétique. Imposante, s'approcher, dangereusement, de ton être. De ta frêle silhouette. Te sentant embarrassée. « Tu ne comprends pas... On devait en parler, avant. Se mettre d'accord. » Te rétorquait-il, toujours de cette voix, qui te semblait, un peu trop, tendre, à ton goût. Parce que, dans le fond, tu te savais, que, sous cette indifférence, qu'il semblait te montrer, te témoigner, n'avait rien de naturelle... Tu ne voulais guère attiser les échos, de sa fougueuse colère. Seulement, tu te savais, pertinemment, que sa délicate impudence. Son comportement, ne lui ressemblait... S'il avait quelque chose à dire... Quelques sombres tourments, à dévoiler, autant que ton beau brun, s'exécute, sans ménagement. Ainsi, ce serait fait, terminer. Vous pourriez continuer à avancer, tout bonnement... « Je t'en ai, maintes fois, parler... Mais tu as catégoriquement refusé de m'écouter. Tu n'es jamais d'accord avec mes idées... Avec ce que je fais ! » - « Espèce de sal... » Il n'eut le temps de terminer, dans sa lancée, que, de sa forte main calleuse, il la passait, promptement, fermement, derrière ta nuque. T'agrippant, resserrant, son emprise, pour t'infliger, quelques douleurs silencieuses. Tu serrais, dont les dents d'amertume. Ton doux regard, arborer, se transformer, en une peur sans nom. Désirant, ardemment, de toute ton âme, t'en défaire. Te préserver. En vain... Tu n'étais qu'un futile amas de poussière, une poupée de chiffon, qui demeurait qu'impuissante... L'essentiel, t'échappant, toujours, de tes petits doigts de fées... « Montgomery, s'il te plait... Lâche-moi. » L'implorais-tu, d'une voix tremblante, chevrotante. À mesure, que, quelques frissons, parcouraient ton échine. Tremblante, presque, apeurée. Effrayée, telle une enfant, prise dans les mailles de son filet. Alors, qu'il ne daignait t'écouter... « Arrête, tu me fais mal ! » Soufflais-tu, dans un léger murmure. Presque, difficilement. Un petit rire, pour le moins sombre, sarcastique, vint s'échapper de ses lèvres, pulpeuses à souhaits. Tes yeux s'embuèrent de larmes - larmes de douleurs, de regrets, qui ne demandaient, menaçaient, de perler, le long de tes douces joues nacrées. Quoi que tu en fasses, tu le méritais... Les minutes, semblèrent, étrangement, s'éterniser. Ton époux, ne voulait point s'arrêter... Bien au contraire, il resserrait, davantage, son étau. Te sentant médusée. « Je te fais mal ? » Te retournait-il. Te demandait-il, d'un ton, un peu trop rauque, menaçant, à ton goût... Un autre rire sombre, rocailleux, s'échapper... Quelques lancinants vertiges, te prenaient. Le sol se dérobant sous tes pas. Derrière ton tracé. Bien au-devant de ton trépas. Tes jambes galbées devenant coton. Ta frêle silhouette, fragile et incertaine, se contracta, irrémédiablement. Position de défensive. Te préparant, bien malgré toi, à quelconque impact puissant... « Et toi, tu as songé, au mal que tu me fais ? » A ces mots durs, qu'il te retournait, sans ambages. Sans ménagement, tes petites billes opaques, s'écarquillèrent. Se dilatèrent. Se changeant, pratiquement, en soucoupes. Quel tourment, lui avais-tu infligé ? Pourquoi diantre, étais-tu, autant, à blâmer ? De sa violence soumise, ce dernier t'inciter, toujours fermement, de rapprocher ton doux regard, du sien. Se voulant incompris, froid. Décontenancer. Mal-aimé... Lorsque vous fûtes surpris, par vous-même, alors que son cellulaire en vint à sonner. Durant quelques longs instants, ton mari hésitait. Ne sachant guère, s'il devait te lâcher, pour décrocher. Ou au contraire, l'ignorer, pour ainsi, de cet affront, te le faire payer... Sage décision... Finalement, il se ravisait... Sortant, dont l'appareil, a la coque d'acier. Contemplant le numéro. Prenant une posture sérieuse, sous ton air chancelant. Sans nul doute plausible, qu'il s'agissait de son travail. Sauvé par le clairon, Montgomery, te libérait, irrévocablement. Alors, que tu manquais, presque, de soupirer, de soulagement. Posant, délicatement, ta main, sur ta nuque douloureuse. La massant, consciencieusement, pour la chasser. « J'en suis capable... » Soufflais-tu, fermement. D'un ton menaçant, que tu ne te connaissais que trop peu, à ton goût... À mesure que la démarche féline, du beau brun, t'avait tourné le dos. S'étant, doucement, éloignée, de ton être, de ta frêle silhouette, pour en décocher l'appel. Afin de te laisser en retrait. Te montrant, que tu étais abstraite. Indigne, de tout intérêt. Tu ne l'importais plus guère, désormais... Pourtant, à ta mise en garde, il s'était sagement figé. Telle une statue de marbre. Aussi raide, qu'un simple piquet, une planche de bois. Te prêtant une attention, toute particulière, bien malgré lui... C'était le moment idéal, pour continuer... Le frapper, de par tes paroles sensées... « Si tu me touches, une nouvelle fois, de cette manière, je te quitte ! » Achevais-tu, d'un ton sombre, sérieux, implacable. Cependant, que ton cher mari, se retourner, une fois encore, pour te toiser. Tentant, vainement, de déceler, si tu plaisantais, t'amuser à ses dépens... Mais, lorsque tu remarquais, qu'il semblait surpris. Penaud, tu pris conscience, qu'il l'avait enregistré, dans son esprit esseulé. Sachant, qu'il avait était que trop loin, il est vrai... Tu ne pouvais plus guère le supporter. Ce poids, tu voulais le délaisser. Le délester, à jamais. Tu approuvais, d'un léger signe de tête, pour le joindre, à tes mots sifflés. Avant même de le voir disparaître, à ta vue attristée, désemparée, que tu détournais, reportais, sur les nuages de coton, flânant, délicatement. Prônant, dans le bleu du ciel, fièrement. Soupirant, de soulagement, finalement. À mesure, que tes frêles épaules, s'affaissaient, nonchalamment. Pression, non-dissimulée, retombant, tel un soufflé. Tu avais osé le lui avouer, le lui révéler. C'était fait...





CHAPITRE SIX : MENSONGES D'ETATS.

« ELLE EST AU BORD DU GOUFFRE, PRISONNIÈRE D'UNE SOUFFRANCE INTOLÉRABLE, QU'ELLE NE SOUPCONNAIT MÊME PAS... TOUT LE MONDE LA CROIT FORTE, SOLIDE ET BIEN DANS SA TÊTE. MAIS CETTE IMAGE, C'EST JUSTE POUR DONNER LE CHANGE... »


Demeurant à sa hauteur. Sagement prostrée, derrière sa carrure magnifiquement athlétique, élancée, tu passais, massais tendrement, les larges épaules carrées, quelque peu, contractées, de ton bien-aimé. À mesure que tu aperçus, entre tes orbes bleutés, que ce dernier réprimait presque, un petit éclat de rire jaune. Visiblement, contrarié, froissé... « Non mais, tu te rends compte, Ivy ? Me rire au nez, en me traitant de vieux feignant, pratiquement ! C'est réellement scandaleux et non professionnel de sa part, je trouve... » Scandait-il, d'une voix sombre, rocailleuse. Amère. Néanmoins, que tu réprimais, à ton tour, de lever tes iris au plafond, d'un blanc immaculé. Et c'était reparti... « Aaahhh, mais tu n'avais pas, à le lancer sur le sujet, en le traitant, tout autant, d'incompétent ! En critiquant ces méthodes, amour ! » Te risquais-tu à lui souffler, pratiquement, dans un murmure. Aussi léger qu'une simple brise glacée. Effleurant dont, avec une délicatesse, une douceur infinie, ses bras musclés. Comme pour lui insuffler, un quelconque réconfort. Alors, que tu sentais, pourtant, ton bel apollon se braquer, promptement... Il serait plus sage, avisé de ne le provoquer, dans ces moments, il est vrai... Toutefois, cela ne partait guère d'une mauvaise intention... Tu avais, tout bonnement, souhaiter, de toute ton âme... T'amuser, gentiment, à ses dépens... « Je commence à croire, que je devrais, peut-être, m'occuper de son cas. Faire en sorte de détruire sa réputation... » Songeait-il, sans nul doute plausible, à voix haute. Tu serrais les dents d'amertume. Secouant frénétiquement la tête, pour réprouver cette futile décision, qui ne reflétait, que tout semblant d'incompréhension interdite... Le souci étant, avec ton époux, c'est qu'il ne pouvait jamais relativiser. Se remettre en question... Si tu n'étais guère avec lui... Que tu n'allais point dans le même sens, la même direction, alors, ton beau brun prenait un malin plaisir à broyer, irrévocablement, certaines petites gens... Tu te sentais lasse, au fond de ton être, de ta frêle silhouette. Qui plus est, tu ne voulais, ne désirer, que ce kinésithérapeute, en vint, finalement, à payer cette effronterie. Son impudence... Sombre calomnie irréprochable... Impardonnable, aux billes sombres, de ta dite douce et tendre moitié... « Non, tu n'en feras rien, très cher ! » Rétorquais-tu, d'un ton qui se voulait doux, affectueux. Bien que l'on pouvait, aisément, déceler une légère pointe de fermeté. De menace invétérée. Cependant que Montgomery détourner son regard noir. Te toisant dont surpris, hébété. Ne s'attendant point à ce que tu bafoues son autorité. « C'est le meilleur kinésithérapeute qu'il soit, de toute la communauté. Certainement de la ville, même... Que c'est ton charmant paternel, qui te l'a chaudement recommandé. Et que tu as parfaitement conscience, que, si tu vas à l'encontre de ses conseils, cela serait à tes risques et périls... » Tu marquais une légère pause. Contournant délicatement le fauteuil cuivré... Fort bien douillet, afin d'être en mesure de le confronter. Lui faire face... Bel et bien décidée, à t'engager, dans cette voie tortueuse... T'engouffrant dans la brèche... Lui faire saisir l'essence même de ces quelques paroles censées. Qu'il agissait, dont, sur un coup de tête - coup de contrariété, qu'il finirait par amèrement regretter... De cela, tu en convenais. « Qui plus est, vu l'état de santé, dans laquelle tu es, je doute que tu sois en mesure de réfuter tout cela... Tu ne vas faire qu'aggraver ton cas... D'autant plus que, tu sais parfaitement, que si tu refuses d'y mettre du tien, tu ne trouveras pas d'autres professionnels, qui soit aussi doués dans sa profession, avant des mois interminables. Et... Entre tes voyages professionnels... Tes obligations, ici-même... Je ne pense réellement, que tu pourrais tenir bien longtemps, hélas... Il faut savoir te méningé, chéri. Toi aussi, tu as le droit de souffler, d'avoir des limites. » Tu te risquais dont à t'agenouiller, à même, la moquette douçâtre, du sol. À mesure qu'une certaine touche de séduction, de folle passion... D'étonnante perversion, vint se reflétait à tes orbes bleutés. Te frayant, ainsi, un chemin entre ses jambes parfaitement sculptées - effleurant, caressant doucement, son entre-jambe. Néanmoins, que le bel américain ténébreux, laisser s'échapper de ses fines lèvres, un léger soupir de plaisir. Savourant, apparemment, ton doux contact. Tentant vainement, de l'allumer, attiser son désir brulant, dans l'espoir incommensurable, inéluctable, de l'en dissuader... De revenir, ainsi, sur cette décision, à la volonté propre, déterminée, de ton époux. « Il faut bien que tu prennes soin de toi, également. » Achevais-tu, d'une voix suave, séduisante. Qui n'avait d'égale qu'à toi. Alors que ton cher Monty approcher, irrémédiablement, son doux regard envoutant, pénétrant, du tien. Espérant de toute son âme, que tu lui volerais, dans la foulée, un doux baiser langoureux. Passionné. « Mais, j'ai déjà ma femme pour le faire... » Consentait-il. Reconnusse-t-il, finalement. Se fendant d'un mignon petit rictus, béat. Effleurant dont ses lèvres des tiennes. Sans que tu daignes t'exécuter. Ainsi, l'embrasser. « C'est vrai. » Achevais-tu, mélodieusement. Avant même de t'exécuter... Lui déposant un furtif baiser. Cependant, que ton bel apollon, t'agrippait, fermement. Te serrant contre son torse musclé. Entourant ses bras, de ta frêle silhouette, pour que tu ne pusses t'échapper. De lui, te dérober... Comme la vague sensation, l'immense impression, de n'appartenir qu'à lui seul, au demeurant. N'ayant d'autres raisons, que de t'assister délicatement, sur ses jambes. Préférant, sans nul doute plausible, prolonger ton baiser, passionnément. Sauvagement... Tu posais dont tes délicates mains en coupe, sur ses douces joues nacrées. Lui démontrant que tu le protégeais, envers et contre tous. Contre vents et marrées. À jamais... Pourtant, quelque chose clochait. Tourmenter, une fois encore, ta tendre moitié, qui demeurait pratiquement obnubilait... « Que penses-tu de lui ? » Tu fronçais les sourcils, dans un semblant d'incompréhension. Demeurant interdite, hébétée, il est vrai... Réprimant, une fois de plus, un léger soupir lasse. Consentait-il à l'idée, que, quand le moment fusse venu de lâcher l'affaire... De passer à autre chose, il fallait s'en résoudre ? « En dehors de son franc-parler, donc ? » Osais-tu le lui demander. Lui souffler... Entourant tendrement tes frêles bras, autour de sa nuque, pour te trouver un léger appui. Bien, qu'au fond de ton être, de ta frêle silhouette, ce dernier patienter sereinement, que tu daignes lui confessais, quelques méfaits... Troublantes vérités, qui, tu te le savais pertinemment, pouvait se retourner contre toi, d'emblée... Il fallait que tu prennes grand soin de choisir, à même, tes paroles... Que tu te préserves, irréfutablement. Sans quoi, tu allais le contrarier, le froisser. À un point tel, que tu ne saurais manifester, riposter à l'ampleur de ces coups, ses bleus délester, sur ta douce peau de nacre. Que, ouvertement, tu te verrais, une nouvelle fois, de masquer, sous tes nombreuses couches de correcteur, de maquillage. Afin de ne point éveiller les soupçons, publiquement. Que tu ne pusses en baver, davantage... « J'en conviens, que, pour l'instant, tu n'es point de cet avis. Mais, il m'a l'air plutôt sérieux, fiable. Compét... » - « Non... Je veux dire, en dehors de cela... Comment le trouves-tu... Physiquement ? » Se risquait-il à te demander, d'un ton particulièrement serein, désinvolte. Te contemplant. S'attardant sur chaque fin trait, de ton doux visage circoncis... Néanmoins que tu serrais les dents d'amertume. Dans un semblant d'agacement certain... D'embarrassement... C'était quoi, ça ? Une question piège ? Désirait-il réellement savoir ton ressenti, à l'égard de ce kinésiste... ? Tenait-il... Prendrait-il, le risque de te ruer de coups. Te cogner, irrémédiablement, si tu lui révélais de futiles sentiments, qui restaient humbles, platoniques, envers ce jeune homme ? Même si la nature de ta relation, envers ton mari, se voulait des plus complexes... Que, quelques fois, tu désirais, ardemment, courir dans les bras d'un autre, dans le fond, tu étais liée à ton époux. Depuis maintes années, de surcroît. Contrairement à lui, tu avais des principes, des valeurs - tu valais beaucoup mieux que cela, que de tomber dans le lit du premier venu... « Je ne le jaugeais pas pour cela, si c'est ce que tu crois... Il s'adressait à nous, voulait qu'on soit d'accord, ensemble, comme tout couple mariés qui se respectent, pour approuver le programme, les séances, qui te conviendrait, avec lui. Je ne pouvais tout simplement pas détourner le regard. Feignais l'idée, que j'ai l'âme d'une autiste, peut-être... Alors que ce n'est le cas... J'aurais eu l'air plus d'une timbrée, qu'autre chose... » Lui confessais-tu, sans ménagement. Sans le moindre ambage... Tentant de rester la plus neutre possible. « Je le regardais seulement pour approuver vos choix. Rien de plus... » Lui certifiais-tu, véhément. Après tout, tu étais là pour le soutenir... Tu demeurais, avant tout, son trophée. Sa femme objet. C'était bien là, tout ce qu'il lui importait... « De toute manière, il peut se vanter d'avoir toutes celles qu'il désire... Pourquoi se contenterait-il, seulement, d'une femme mariée, telle que moi ? » Confessais-tu, d'un ton sincère, de surcroît. En effet, ce n'était rien de plus qu'une belle élucubration. Un fantasme... Une ombre, une simple pensée, dont l'idée, ne faisait que lui effleurer, son esprit embrouillé. Emporter par son côté possessif, vert de jalousie, qui plus est. « Et bien, il faut l'admettre, tu es une belle femme, bijou. Ça ne m'étonnerait pas, que... » N'étant point d'accord, avec ces quelques propos, qui t'embarrassait davantage, tu te risquais de lui couper l'herbe, sous le pied... L'embrassant, ainsi, fougueusement. Chassant sciemment... Balayant, d'un simple geste, un regard inanimé, ses sombres pensées... Quittant sa nuque délicate, de tes petits doigts de fées, pour effleurer, caresser, son torse musclé, à travers le fin tissu, de sa chemise de soie. Ton bel amant, te serrait, une fois de plus... Ne pouvant réprimer un nouveau petit soupir léger, de plaisir. Bien que surpris... « Tu m'appartiens, bijou. Ne l'oublie pas. » Ajoutait-il, tendrement. Bien que tu y décelais, là, un léger ton possessif, menaçant. Qui n'eusse de cesse, que de t'arracher quelques frissons, qui parcouraient ton échine. Dans le fond, tu n'aimais guère cela... Qu'il se revendique, en maître triomphant, comme ta propriété. Même si tu le concevais, d'une certaine manière, cela s'avérait... Demeurait que troublante vérité... Toutefois, tu ne voulais le voir s'empourprer, le froisser... Te faire broyer, briser, à jamais... Cette mascarade, tu devais la jouer, bien malgré toi... « Je t'appartiens. » Consentais-tu, finalement. Approuvant, machinalement, d'un léger signe de tête... D'un regard tendre, satisfait, ton bien-aimé, desserrait son étau. Te laissant le loisir de te libérer, si c'est ce que tu désirais... Tu lui déposais un furtif baiser, sur son nez en trompette, sur ses lèvres. Te dérobant délicatement, de ta moitié. Te remettant, ainsi, à sa hauteur, avant même de t'engouffrais, de ta démarche gracieusement dansante, vers la salle d'eau. Remettant, soigneusement, certaines mèches de cheveux, furibonds. Filasses, en place, néanmoins que tu remarquais, à travers les pâles reflets du miroir, ton charmant, séduisant époux, se tenir, derrière ton tracé. T'entourant, une fois encore, de ses bras. Se voulant protecteur, affectueux, de surcroît. Caressant, affectueusement, ton abdomen plat. Te déposant de doux baisers, dans le creux de ton cou délicat. Point faible. Ton rythme cardiaque s'emballait. Cogner, inlassablement, dans ta cage thoracique. Ton souffle s'hachait... Bien que tu voulusses lui dire non. Réfuter tes folles pulsions... Ton corps, lui, montrait le contraire. Bien malgré toi, tu commençais à devenir mouillée... Il devait s'arrêter... Tu devais te contrôler... « Tu me rends fou de désir, ma fleur empoisonnée. » Soufflait-il, presque dans un murmure. Te faisant subir le doux... Le même traitement lancinant, troublant, de ta poitrine, par de tendre caresses... Collant dont son torse musclé, contre ton dos. Alors que tu laissais s'échapper, involontairement, un léger soupir, de contentement. De plaisir certain. Frémissant, contre tes lèvres rosées. Comment pouvais-tu le repousser ? « Monty... » Avouais-tu, d'un autre murmure délicat. Presque suppliant... Passant instinctivement, tes doigts de fées, délicats, sur ses bras. Fermant tes paupières, sur tes orbes ténébreuses. « Et si l'on essayait de le concevoir, cet enfant ? » Tu aurais presque, pusse te figer, telle une statue de marbre... Aussi raide qu'un vulgaire piquet, une simple planche de bois soufflée... Ah, c'était dont cela ! Naturellement... Quelle sombre idiote, vile créature naïve, que tu étais... Cela aurait été bien trop beau, pour être vrai... Une fois encore, ce n'était guère pour attiser ton désir. Te faire plaisir... Agissant, encore et toujours, comme le parfait égoïste, lui se voyait, déjà, formant une belle et heureuse famille. Vivant, ainsi, son propre conte de fée. À mesure que tu avalais ta salive, avec une certaine difficulté. Ton doux visage de poupée, arborait pratiquement... Se changer en grise mine... Faible, blême. Éreintée... Tu n'étais guère certaine, sur ce coup, de pouvoir répondre à ses caprices complices du destin. La violence de ses envies. Siphonnée, symphonie... Déconcertant, concerto, tu jouais sans toucher le Do. Son talent sonnait faux... Tu avais sombré, noyé ton ennui, dans sa mélomanie. Tu souhaitais, de toute ton âme damnée... De tuer tes phobies, dans la désharmonie. « On ne peut pas... Pas maintenant... Il faut que tu te prépares, pour l'arrivée des associés. Et tu les connaît, dans ces moments... Ils sont très ponct... » - « Mon père peut très bien s'en charger tout seul... Il n'a pas toujours besoin de moi, tu sais ? » Tentait-il de t'insuffler un quelconque réconfort. Néanmoins que tu te réprimais, une fois de plus, un soupir, pour le moins exaspérer. Signe de contrariété... Bien entendu, c'était toujours à ses conditions, comme il l'espérait... Pas sûr, en revanche, que son géniteur puisse apprécier la raison, le geste... Même si c'était pour devenir un futur grand-père gâteux... Il avait de grands desseins pour lui. Montgomery se devait, avant tout, de s'y tenir. S'y engager. Quoi qu'il puisse lui en coûter... Tu te retournais dont, pour le confronter. Te risquer a le lui rappeler, dans la volée... Posant, ainsi, ton regard intense sur le sien. Tentant vainement, d'évanouir la violence de tes sentiments, qui, tu craignais, pouvais te trahir, à tout instant... « Et puis, c'est pour la bonne cause, Madame Applewhite. » Achevait-il, d'une voix mélodieuse, cristalline. Envoûtante. Tentant de te faire faillir, défaillir, au demeurant... Te soulevant, irrémédiablement, pour te poser délicatement... Affectueusement, sur le rebord de marbre, de la vasque - posant ses mains calleuses, rugueuses, sur tes jambes galbées, pour t'inciter à les enrouler, autour de sa taille élancée... De tes mains délicates, tes maigres forces, tu t'apprêtais à le repousser... Lui avouais que tu ne pouvais point faire cela... Que tu ne te sentais guère préparer. Lorsque vous furent, brusquement, interrompu, par l'arrivée impromptue, par le baromètre... L'homme de main de ton mari... S'arrêtant piteusement, sur le seuil de la pièce chauffante. Se raclant, ainsi, la gorge, pour se déclarer... Se préparant, sans nul doute plausible, de son vaillant discours, lui révéler... « Vous n'avez jamais appris à frapper à une porte, Monsieur Wiggins ? » Demandait ton beau brun, d'une voix rauque, froide... Cependant qu'on y décelait une légère touche hargneuse, dédaigneuse, à l'intention du teint blafard, épuisé, de son employé, qui, irrévocablement, lui présentais ses plus humbles excuses. Comme un petit chien, bien dressé. L'informant que les étrangers, associés, étaient finalement arrivés... Et qu'ils l'attendaient, patiemment, en compagnie de son père... Tu remarquais ton bel apollon s'empourprer, hébété. Ne sachant guère s'il devait trouver une cible, pour cogner... Ou, se précipiter... Fuir, en tout hâte... Étant la personne se trouvant la plus proche de ce dernier, tu craignais quelque peu, sur l'instant, que tu te fasses rouer de coups volontaires, non-refréner... Ce qui t'incitait, insidieusement, à te braquer... Te mettre, irrévocablement, sur la défensive. Bien que, finalement, après quelques longues secondes, qui parurent étrangement s'éterniser, à tes orbes bleutés, ce dernier se ravisait... Soupirant de lassitude. « Je veux que tu sois prête pour moi, ce soir. Que tu sois marquée. » Achevait-il d'une voix ferme, en t'adressant un regard sombre, noir. Autoritaire... À mesure que tu te sentais quelque peu, interdite, pantoise... Tu le vis dont disparaître, à ta vue médusée... Alors, que l'homme aux cheveux grisonnant... À l'allure d'un roquet, lui emboîtais le pas. Te laissant ainsi... Là... Tu avais toujours été de nature docile, avec Monty. Mais ces quelques paroles censées, te braquer, irrémédiablement... Tu n'avais pour habitude, qu'il t'ordonne de jouer, de cette manière, avec toi-même, pour rester à sa disposition... À ses moindres désirs brûlants, ardents - fantasmes insatiables. Impartiales... Un rappel sans équivoques, que tu te devais de tenir, au fond de ton être, de ta frêle silhouette... Cela ne te choquait qu'à moitié, il est vrai... Les relations charnelles, fusionnelles, les jeux de séductions, c'était ta spécialité. Cela devait rester convivial, consenti, certes... Hors... Pour lui, ce n'était guère ce que tu souhaitais... Cet homme avait fini, malgré toi, par te contrarier. Te répugner... Bien que, physiquement, il s'entretenait. De cela, tu le certifiais... Mais, au fil des années égrenaient, tu ne savais plus guère supporter, tolérer l'idée, de lui rester irrévocablement soumise... Inlassablement, le combler. Lui ne faisait rien, pour trouver grâce à tes billes bleutées... Point de bouquet, de diner aux chandelles... Dans une atmosphère dense, romantique. Un peu bohème, coincée à jamais, dans la stratosphère. Lui et seulement lui, prônait, comptait... C'était tout ce qui subsistait, contribuer, à son bonheur fugace... Visiblement, lui-seul, le méritais... Cela t'horripilait... Quelques frissons parcouraient ton échine, néanmoins que tu te soulevais, gracieusement... Retombant, délicatement, sur le carrelage de bois craqueler... Tu te surprisses dont, à faire le guet... À vérifier si tu pouvais te frayer un chemin, un tortueux tracé, jusqu'à ton petit sac à main, pour le moins, luxueux. Guettant, instinctivement, qu'il ne pouvait y demeurer, encore, promptement, ton mari... Les minutes défilèrent, avant même que tu daignes agripper l'objet de décoration, brusquement... Qui reflétait, ainsi, ta personnalité... Te ramenant, machinalement, en retrait, dans la salle de bain, où tu t'y enfermais. Tu posais ton sac sur la vasque. Jouant fébrilement avec la fermeture Éclair... Profitant de la situation, pour infiltrer ta main délicate, dans la brèche, pour y sortir un étroit écrin métallisé... Sortant, ainsi, une de tes pilules contraceptives, que tu portais à tes lèvres rosées. L'avalant, sans grande difficulté. C'était mal, tu le savais. Si ton mari l'apprenait, il te le ferait amèrement regretter... Mais, une équipe de football, ce n'était point ce qui te faisait vibrer... Le rôle de la mère parfaite... La maman poule, ce n'était guère ta tasse de thé... Point avec lui, en tout cas... Tu avais d'autres projets à concrétiser, il est vrai... Tu t'apercevais dans le miroir encastré. Quelque peu attristée, de ce que vous vous infligiez. Car, oui... Bien malgré toi, tu te maudissais. Toutefois, tu ne pouvais consentir à fonder une famille, avec un mari violent - des enfants, que tu ne saurais guère préserver, tu te le savais...


********************************************************


    « Le vent est à l'est, la brume se lève. Quelque chose se prépare et arrivera, tôt ou tard. Je ne saurais dire ce qui nous attends. Mais ce qui va se produire, est arriver avant... »


Dernière édition par Céleste Applewhite le Ven 24 Avr - 19:26, édité 1 fois
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(#) Re: CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. { Jeu 23 Avr - 16:29 }
ohlalalala blake. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3752850380 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3752850380 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3752850380
au vu du métier, il nous faudra absolument un lien. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 4034935494
bienvenue. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 513614543
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(#) Re: CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. { Jeu 23 Avr - 16:31 }
oh tiens comme on se retrouve. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1489064067
blake est tellement une déesse. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3266392369
bienvenue. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 987335449
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(#) Re: CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. { Jeu 23 Avr - 16:36 }
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Magnolia Cortèsadministratrice - she's like the wind
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Magnolia Cortès
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age :  jolie rose loin d'être fanée, vingt-trois perles de la rosée.
career :  fille du crime, n'ayant pas besoin d'un quelconque travail pour vivre. Mais elle compte quand même utiliser son temps à quelque chose, monter son propre business, mais légal.
civil status :  coeur en perdition, constamment à s'amouracher des mauvais, des néfastes.
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(#) Re: CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. { Jeu 23 Avr - 16:38 }
la jolie blake, très bon choix !M
bienvenue sur DLT, j'espère que tu t'y plairas CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 359304427 .
La belle est à toi pour sept jours, hésite pas en cas de besoin !

Toutefois, je te demanderais de changer ton pseudo, seul les pseudos composés de la sorte 'Prénom Nom" sont acceptés, par soucis d'esthétisme sur le profil, sinon ça devient vite illisible. Merci bien !
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Santiago HerreraTHE TIME OF A SONG.
THE TIME OF A SONG.
Santiago Herrera
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age :  trente-quatre ans (25/10).
career :  paléontologue, il travaille au musée de miami, mais il donne aussi des cours de paléobiologie à l'université d'edgewood à Fort Myers.
civil status :  en couple avec Anissa, en secret car elle est mariée.
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(#) Re: CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. { Jeu 23 Avr - 16:40 }
Bienvenue, bonne chance pour ta fiche CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2961434307
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Anissa ZieglerNO TIME TO CLAIM.
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Anissa Ziegler
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age :  trente ans.
career :  commissaire d'exposition en centre d'art moderne, nouvelle propriétaire d'une galerie d'art.
civil status :  mariée à Adam, infidèle avec Santiago.
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(#) Re: CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. { Jeu 23 Avr - 16:54 }
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(#) Re: CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. { Jeu 23 Avr - 17:31 }
blake, omfg, cette perfection CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 259980146
puis cette fiche déjà si garnie et si bien écrite, pffiou CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3752850380 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 600476436 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2027323689
tu me garderas une place pour un p'tit lien? CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1489064067  CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3241807394
même si tout semble à montrer qu'elles n'ont que des différences? CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2870705767  CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2309857830
ouais, j'me permets de poster ici alors que j'suis même pas encore validée CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1706596449
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Tom SmithDECEPTIVE APPEARANCES.
DECEPTIVE APPEARANCES.
Tom Smith
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age :  29 ans, fleur de l'âge
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(#) Re: CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. { Jeu 23 Avr - 19:21 }
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(#) Re: CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. { Jeu 23 Avr - 19:31 }
    @Johnny Cabrera : Oh, gosh, Isaac, il est tellement rarissime, sur un forum ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3361148976 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1111937533 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1589353388 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3752850380 Puis, ce pseudo, aussi... CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1249295312 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 600476436 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2154759055 J'approuve totalement ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1249295312

    Au vu du métier, et plus si affinités, (heu, t'en fais pas, ça reste très platonique, petit chat, ahah ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2098816712 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 4105087769 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1617334537 ) pour sûr, qu'il nous en faudra un, qui déchirera tout, trésor ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3911204997 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2492299469 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2349772220 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2098816712 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3936331515

    Merci petit ange. T'es cutie comme tout ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2098816712 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2550768268 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3241807394 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3266392369





    @Cecília Vilaró : Ahahah, c'est écrit qu'on ne doit plus se séparer, en fait ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2492299469 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2861079265 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3241807394 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3968208847

    Haaann, mais, entre Heard et là, Exposito, mais, comment que je me meurs, devant tes choix tellement canons et parfaits ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 741096738 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2550768268 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1111937533 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 600476436 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3752850380 Puis, ce vava, ce gif de profil, mon dieu ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2154759055 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 4243568497 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3752850380

    Encore mille grâces, ma sublime petite déesse, t'es si charmante, si adorable, si parfaite. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1617334537 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3241807394 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 311489188 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2201480436 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3968208847





    @Lou Plummer : Haaann, merci beaucoup, magnifique petite marguerite ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1617334537 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3266392369 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3968208847




    @Magnolia Cortès : Haaannn, mille grâces, petite fraise des bois, t'es adorable ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 741096738 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3936331515 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2098816712 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3911204997 Mais... Que dire de ta sublime Poala ?! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1589353388 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2027323689 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3752850380 Puis, que j'aime ce vava, ce gif... CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2550768268 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1111937533 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3266392369 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3241807394 Tu vends du rêve en boîte ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1249295312

    Merci beaucoup, magnifique petite fée des eaux, t'es un amour. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2098816712 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3936331515 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1617334537 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3911204997 Et, ça, pour m'y plaire, ne t'en fais dont pas, il n'y aura aucun souci ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2492299469 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 4276983841

    Encore merci pour tout, et promis, je modifie le tout, dans les plus brefs délais, petit chat ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1249295312 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1034664387 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3246758062 Navrée, d'ailleurs, pour cela... CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 4243568497





    @Santiago Herrera : Ce pseudo + Morley = Comment que j'adore ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1589353388 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2027323689 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3752850380

    Merci du fond du cœur, petit padawan, t'es chou. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1617334537 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3241807394 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3968208847





    @Anissa Ziegler : Haaann, mille grâces, joli blonde. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3968208847 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1617334537 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3241807394 T'es adorable. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3911204997 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3266392369 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3426822617





    @Selena Larryson : Haaannn, mais, oooohhh ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 601185043 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3685221395 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1111937533 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3752850380 Mais, tant d'amour, de compliments, de mots doux, je ne sais que dire, devant tant de beauté incontestée, de douceur infinie. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1111937533 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1589353388 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2027323689 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 600476436 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1249295312 T'es carrément un rayon de soleil, à toi toute seule. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3241807394 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 600476436 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1249295312 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3936331515 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2098816712 Tu n'as de cesse, que de m'éblouir ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3911204997 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1589353388 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2027323689 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3752850380 Puis, en plus, avec la magnifique, divine Robbie, holala ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2027323689 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3266392369 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2550768268 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1249295312

    Haaann, je suis vraiment heureuse de voir que, déjà, le début t'en plaise, mon sublime petit corail, des fonds marins. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1617334537 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3241807394 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2492299469 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3968208847 Je n'ai eu encore le plaisir de consulter, ta jolie fichounette, mais promis, je vais aller remédier cela au plus vite ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2586565632 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1034664387 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3911204997 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2640317635 Hors de question, que tu me files sous le nez, comme ça ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1966318026 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1589353388 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1111937533 Surtout, quand on est aussi charmante, sublime, adorable, comme tu l'es, ma toute douce ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 600476436 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2154759055 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3477817003 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3936331515 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3463756588

    Puis, franchement, pour le lien... Comment je peux te refuser cela, en fait ? *_* Tu me mets, déjà, totalement, à tes jolis petits pieds ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2550768268 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3911204997 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2027323689 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3426822617 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1249295312 Malgré leur différence, franchement, il n'y a aucun souci. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1617334537 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2861079265 Je ne peux que t'aimer, déjà, en fait ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 600476436 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3477817003 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3426822617 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3911204997 Donc, promis, je ferais tout pour qu'on se trouve un liendelamortquidéchiretoutetoùongouverneralemonde, ahah ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 4276983841 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2492299469 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3911204997 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3266392369 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3968208847

    Haannn, mais, tu sais que tu peux te le permettre, beauté divine ! :must: CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1617334537 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3266392369 Parce que, toute cette avalanche d'amour, je ne peux que te l'as retournée, honnêtement ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3911204997 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 124203032 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3426822617 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1249295312 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2098816712 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3936331515




    @Tom Smith : Haannn, mille grâces, petit choupinet. C'est adorable. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3968208847 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1617334537 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3241807394
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Ripley WyattNO TIME TO CLAIM.
NO TIME TO CLAIM.
Ripley Wyatt
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age :  Trente-quatre ans, la trente-cinquième année se profile sur l'horizon et le compteur ne cesse de s'alourdir.
career :  Chirurgien titulaire en pédiatrie.
civil status :  Célibataire, l'amour n'a pas été une priorité pendant des années, les études et la paternité ayant pris le dessus sur tout le reste.
address :  485 Fort Myers Beach
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(#) Re: CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. { Jeu 23 Avr - 23:40 }
Ton personnage est tellement développé. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3060453359
J'ai adoré parcourir ta fiche, vraiment. Tu nous a concocté une Céleste de folie. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 259980146

Bienvenue parmi nous. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 311489188
Au plaisir de se dégoter un petit lien. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 4034935494
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(#) Re: CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. { Ven 24 Avr - 19:06 }
    @Ripley Wyatt : Haaaannn, mille grâces, sublime et douce petite perle de nougat ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3361148976 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2201480436 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3968208847 T'es trop un ange, sérieux ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1111937533 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3911204997 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3426822617 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2027323689 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1617334537

    Je suis réellement ravie, déjà, que ma petite fleur empoisonnée te plaise, petit chat. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2492299469 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1617334537 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2201480436 Vraiment, ça me touche. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3241807394 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3936331515 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2098816712 Encore merci pour tout. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3426822617 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2578978395 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2201480436 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 831292468 Puis, je te retourne, déjà, le compliment, avec la tienne, que je prends plaisir à dévorer. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1589353388 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2550768268 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 600476436 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2027323689 Puis, cette plume, tellement fluide... J'adore ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3911204997 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2154759055 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3477817003 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3752850380 Ripley est un personnage super intéressant, je trouve. CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1617334537 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3266392369 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2492299469 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2098816712 Well done ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 1928719165 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2640317635 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3911204997

    Merci infiniment, douce petite crème, et pour le lien, ça sera carrément avec grand plaisir ! CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2492299469 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 4276983841 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3241807394 CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3936331515
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Emrys WintersTHE TIME OF A SONG.
THE TIME OF A SONG.
Emrys Winters
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age :  trente-quatre années récemment fêtées, elles sont longues et tu n'as pas eu le temps de réellement en profiter. la trentaine semblait loin et maintenant voilà quatre ans que tu baignes dedans.
career :  chanteur et guitariste du groupe the snash. tête connue et reconnue dans la foule, parolier à tes heures perdues et il y en a beaucoup, en témoigne les piles de textes au fond des tiroirs.
civil status :  célibataire, tu l'aimais, elle était belle, mais t'as fait le con et aujourd'hui il n'y a que quelques histoires d'un soir et pas grand chose de plus. tu regrettes chaque jour depuis cette rupture.
address :  WINKLER, #200, un magnifique loft.
fiche de liens :  ♡♡♡
bloc-notes :  skeeterjulian ✩ u ?
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(#) Re: CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. { Ven 24 Avr - 19:15 }
pfiou j'ai pas encore pris le temps de me plonger, mais le personnage a l'air tellement complet et développer, c'est fou CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 3752850380
askip j'suis fière quand j'fais des fiches assez longues mais à côté c'est rien du tout Arrow
bienvenue par ici CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. 2309857830
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(#) Re: CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit,. { }
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