Ana CastelloNO TIME TO CLAIM. | (#) (1m) mon intime étranger, mon oxymore, l'amour à l'imparfait. { Ven 22 Mai - 19:18 } | mon intime étrangerpersonnage libre identité : Cole pour Ana, Marcus aux yeux du monde, choisis le prénom que tu veux, Marcus étant juste pour les besoins de ma fiche. âge, naissance, origines : entre trente-cinq et quarante ans. occupation : mal dans sa peau et dans sa vie, il passe du côté obscur en se faisant engager comme homme de main par Joseph, le père d'Ana. Ce dernier étant mort depuis peu, il se retrouve à la tête du trafic avec Ronan, le fils de Joseph mais également à la co-gérance du Saddie's avec les jumeaux. statut civil, orientation : il est marié depuis longtemps pour la forme et pour sauver les apparences. Il a toujours trompé sa femme, comme un exutoire, et la seule fois qu'il a ressenti des sentiments forts, c'était pour Ana. Il peut également avoir des enfants si tu le souhaites, d'ailleurs il en a un mais ne le sait pas. (Joey, le fils d'Ana)situation financière : plutôt bonne depuis qu'il a repris les rennes du trafic. à fort myers depuis : toujours. traits de caractère : aventurier, froid, nonchalant, tempétueux, sarcastique, tenace, volatile, affectueux, protecteur, charmant, rancunier, imprévisible, moqueur, magnétique, versatile. groupe : au choix. Ana, ton phare au milieu de la nuit. Elle t’as éclairé de toute sa lumière malgré cette lueur éteinte. Ce soir-là, alors que t’étais qu’un jeune homme coincé dans cette vie de faux-semblant, t’as été happé par ce vent de liberté de cette gamine, intrigué par cette fragilité, par ses fêlures. Alors t’as provoqué le destin, t’as pas pu t’en empêcher, toi le prédateur, le jeune loup entêté que tu étais, revêtant ton habit de scène comme à chaque fois que tu désires une femme. Jeune inconscient, tu ne te rends même pas compte que tu t’apprête à sauter dans le vide. Un vide affreusement vicieux, haletant, te coupant le souffle. Les paroles tranchante comme des lames de rasoir, la passion au creux du ventre, ce besoin urgent de sentir sa peau contre la sienne, son souffle caresser son épiderme. Cette gamine déclenche des choses en toi. Toi l’ours, toi la brute. Celui qui pète des genoux, qui démonte des mandibules, qui fait craquer tes os contre ceux des autres, qui colle des balles dans des têtes, froidement, parce que personne t’as appris à avoir d’émotions, ni tes parents qui ne sont pas des exemples d’altruisme, ni cette femme que t’as épousé pour faire plaisir à ta mère alors qu’elle ne t’excite même pas, encore moins ton patron qui t’as recueilli alors que t’étais au plus bas et qui t’as conditionné à n’être qu’une machine. Alors que putain, Ana, c’était tout l’inverse. Elle était cette tempête d’emotions vives, attrapant ta tête, ton corps et ton coeur au passage pour leur faire danser un tango endiablé. Toujours plus de passion brute, ce jeu n’en était plus vraiment un. Alors au bout de quatre ans d’une relation nocturne, mensongère, intense et non exclusive, Marcus sentit la situation lui échapper alors que d’autres mains que les siennes caressaient la peau de sa Phoebe. Et ces deux mains qui l’enlaçaient tendrement étaient les mêmes mains qui l’étouffaient. Ta colère, elle a repris le dessus, ta bestialité aussi, alors t’as tapé, froidement, sans t’arrêter, en laissant ce bourreau pour mort, le punissant d’avoir abîmé ta muse. Et puis elle est parti, avec ton coeur et sans le savoir, un bout de toi. Parce que t’as préféré lui dire la vérité édulcoré plutôt que de revoir la peur dans son regard comme ce soir-là. Parce que tu savais pas que t’avais touché au bien le plus précieux de ton boss et que ta loyauté pour lui était sans faille. Parce que dans cet acte égoïste, t’avais préféré imaginer la tristesse de celle que tu aimes plutôt que la déception dans le regard de celui que tu considérais comme ton deuxième père. Ce deuxième père qui allait vous réunir bien malgré vous.
- come here. (a):
(six) alias cole. Elle déambulait, courrait presque, dans la boîte de nuit, pieds nus, son pseudo garde du corps ayant du mal à suivre la cadence. Euphorique, elle riait aux éclats, se déhanchant au rythme de la musique. Accolé au bar, ses yeux épient la salle avant de se poser sur elle, la détaillant du regard. L’espace d’un instant, il l’enviait; elle avait l’air si libre de ses mouvements, de ses pensées, libre férocement comparé à lui, à l’orée de sa vie ayant déjà fait beaucoup trop de compromis dans sa vie. Mais ce qui le frappait et contrastait avec sa liberté, c’est qu’elle soit si jeune et déjà abîmée. Il s’en rendait compte alors qu’elle s’arrêtait un instant, grimaçant et se touchant la tête, titubant quelques pas. N’écoutant que son instinct, il s’avance dans la foule pour l’attraper et la jeter par-dessus son épaule afin de l’emmener prendre l’air. Lorsqu’elle lui a demandé son nom, il a répondu Cole, alors elle a rit, de ce rire si cristallin qu’elle avait et lui a répondu qu’elle s’appelait Phoebe, l’interrogeant sur le fait de pouvoir disparaître et de balancer des boules de feu avant de vomir à côté de lui. Officiellement aux yeux l’un de l’autre ils étaient Phoebe, fille d’un soir et Cole, un videur consciencieux. Officieusement, ils étaient Ana, fille de truand et Marcus, homme de main du patron de cette planque. (sept) passion & double vie. « C’est la dernière fois que ça arrive. » qu’elle lui répétait, encore et encore, dans ces draps froissés. Mais c’était plus fort qu’elle, plus fort qu’eux. Comme si l’univers était crée de sorte à ce qu’ils se retrouvent dans ce lit, encore et encore. C’était une attraction puissante, presque animal entre eux. Ne pouvant s’empêcher de repousser toujours plus loin les provocations, la langue acérée. Repoussant les limites de ce petit jeu excitant, grisant même, se cachant dans les moindres recoins, son père n’acceptant certainement pas que sa fille fréquente quelqu’un de plus vieux qu’elle. Et puis, au fil du temps, ce petit jeu malsain se refermait lentement sur eux, sans savoir vraiment quand ni comment. Les confidences sur leurs vies sur l’oreiller se faisant de plus en plus fréquentes, pansant leurs blessures mutuelles. Quatre ans durant avec ce sentiment brûlant d’appartenance au creux des entrailles, ne pouvant se résoudre à le laisser partir. Il n’y avait pas d’exclusivité pourtant, alors chacun vivait sa vie avec le coeur un peu lourd du poids de l’autre. (huit) Elle regarde ses mains pleines de sang, le regard complètement paniqué, son propre visage tuméfié. C’était inévitable. Ana savait que cette histoire allait mal se finir. Elle avait tenté d’enfouir ses sentiments pour Cole dans les bras d’un autre. Un homme de bonne famille, quelqu’un qui rendrait son père fier. Elle s’était éloigné de lui, six mois durant, mais en vain. Tout la ramenait toujours à lui. Ce soir-là encore. Et son petit ami, loin d’être fou, avait découvert le pot-aux-roses. Le coup était parti comme ça, brutalement, son poing s’écrasant contre la face de la jeune femme, la laissant complètement sonnée. Et ça Cole, il l’a pas supporté. Le fait de voir ce type poser ses sales pattes tout les jours sur Ana le rendait furieux mais le voir abîmer son visage le faisait rentrer dans une rage indéfinissable. Alors il fit sauter la porte, l’attrapa et tapa, encore et encore, sans pouvoir s’arrêter, ses os craquant contre les siens. Parce que c’était son job, Parce que c’était lui, toute cette violence, qu’Ana le veuille ou non. Et puis l’homme était là, inerte, et Cole recula, les vêtements pleins de sang. Il avait battu cet homme quasiment à mort et elle était morte de peur, terrorisée de voir à quel point il pouvait aller loin. (neuf) désillusions. Une lettre. Voilà comment s’était terminé quatre ans d’un passion intarissable. Elle sent encore son cœur se briser à mesure qu’elle lit le courrier où il lui dit la vérité : il ne s’appelle pas Cole. Il est marié à une autre femme. Son souffle se faisant court, les larmes coulants abondamment sur ses joues, l’impression de crever à petit feu. Parce qu’elle a donné sans condition à un homme qui n’existe pas. Parce que tout a reposé sur du vent. Toute sa vie. Alors elle est parti, loin, poursuivre ses études, encouragé par son père. Ce même père qui, officieusement, ayant découvert la vérité grâce à son fils Ronan, à fait faire cette lettre à Cole, lui expliquant que c’était dans son intérêt s’il ne voulait pas finir en prison pour l’agression de cette homme. Ce qui n’était prévu dans ses plans, c’est qu’Ana porte le fruit de son amour avec Cole au creux du ventre.
Suggestion d'avatars : tom hardy (), charlie hunnam (), milo ventimiglia, taylor kinney, matt czuchry, luke mitchell... je te laisse le choix. (a) Informations supplémentaires : eh coucou, merci d’avoir pris le temps de lire mon petit bout d’idée. (a) concernant les exigences, elles ne sont pas énormes, hormis peut-être une petite réponse par semaine au niveau des rp, histoire de ne pas faire du sur-place, et un engagement sincère, j’aimerai vraiment quelqu’un qui s’inscrit avec la convictions qu’il va rester. Sinon, quelques petites choses à savoir : tout au long de leur relation, ils se sont connu sous le nom de Phoebe et Cole (ouiiiii c’est bien un hommage à Charmed. , à voir dans ma fiche de présentation d’ailleurs. (a)). Au bout du compte, «Marcus» a appris l’identité d’Ana et le lien qu’elle avait avec son patron mais Ana elle, ne connaît toujours pas celle de Marcus, sachant seulement qu’il lui a menti. Marcus ne sait absolument pas qu’Ana a eu un enfant de lui, il ne sait pas non plus que c’est Ronan (le frère jumeaux d’Ana) qui a dénoncé leur relation à son père. Bref, c’est une belle histoire biiiiien compliquée. si jamais tu as la moindre questions ou des points à éclaircir, envoies-moi un petit message, je répondrai avec plaisir. (a)
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