- spoiler alert : we all die at the end (Mael) -

mael keebler feat dacre montgomery

naissance : je suis né le 30 avril 1997, ici même à Fort Myers.

origines, nationalités : Je suis bel et bien américain d'origine américaine pure souche. Mes parents viennent tout deux d'ici, leurs parents également et sans doute que de mon côté, je vais mourir ici.

statut civil, orientation : Célibataire, chasseur de minettes et de matous… Ouais, pour moi un trou c'est un trou, tant que tu donnes du plaisir, je prends. Même si j'avoue avoir une préférence pour les demoiselles, on ne sait jamais ce qui peut arriver.

situation financière : $$$, Je ne roule pas sur l'or, mais je ne suis pas à plaindre non plus. Mon boulot me permet de vivre aisément sans toutefois avoir plusieurs zéros à la suite du premier chiffre dans mon compte en banque. Assez pour que je puisse vivre sans avoir peur de ne pas y arriver à la fin du mois et être capable de m'offrir quelques danses à dix au club de strip-tease de la ville.

occupation : J'exerce le métier d'ambulancier depuis désormais deux ans, mais également DJ au celsius nightclub, quelques fois barmans au même endroit en cas de nécessité.

situation familiale : J'habite toujours à la demeure familiale, mais dans le sous-sol de mes parents. Après le départ de mon frère et ma sœur, ils ont aménagés un petit espace à moi. Mon cocon. J'étais supposé le quitter après mes études, mais comme je n'ai pas encore de poste officiel, je préfère y rester. Il faut aussi avouer que c'est plus avantageux pour moi. Rien à payer d'autres que mes courses et encore là, j'ai toujours des plats qui m'attendent au chaud grâce à ma mère.

à fort myers depuis : Toujours, aussi bien dire que je connais toutes les petits recoins de cette ville qui m'a vu naître.

one two

Ayant été longtemps Running back dans l’équipe de football américain de mon quartier, ceci prouve que je suis quelqu’un de sportif. En fait, je me suis rendu compte qu’avec quelques abdos, que j'entretiens avec ma musculation et ma passion pour la boxe, un sourire digne d’une publicité de Colgate et une belle coiffure, j’arrivais à faire craquer les filles. De plus, je suis intelligent, donc je suis un beau parleur qui sait manipuler les demoiselles pour avoir ce que je veux. Eh oui ! Allier intelligence et beauté, j’en ai fait quelque sorte ma devise. Fêtard, si je peux continuer sur une nouvelle lancée… Je déborde d'énergie Lorsque je ne suis pas en train de bosser, je reconnais que je suis en train de me bourrer la gueule jusqu’à ne plus pouvoir tenir sur mes deux jambes, ni même prononcer mon prénom. Accro aux défis de tous genre, rares sont les fois où j'en décline un. Je suis un très grand compétitif qui n'aime pas perdre, alors le mauvais perdant en mois combattra avec vigueur et panache. Je peux également me qualifier de mystérieux. Autant j’aime faire parler de moi, autant je reste discret sur ma vie privée. Je ne donne ma confiance qu'à un petit cercle restreint. Séducteur, j’aime attirer l’attention. Sinon, je peux très bien remuer ciel et terre pour obtenir ce que je veux. J’ai très peu de limite et aucune gêne, du moins peut-être quelques exceptions, tout comme les peurs. Je n’aime pas l’hypocrisie et les faux-semblants. Si tu as quelque chose à me reprocher, fais-moi le savoir. Je suis également une bombe à retardement, jaloux à la limite du possessif, mais également très, voire trop susceptible. Malgré tout, je suis un pote digne de confiance. J'ai un sens solide de l'amitié, étant capable de prendre le blâme sur moi pour aider un proche. Cependant, inutile de me chercher des noises, puisque je prends mes vengeances très à coeur. Vous êtes avertis désormais.

RPS EN COURS :
www prénom
www prénom
www prénom

RPS TERMINÉS :
www prénom
www prénom
www prénom

(1) Depuis mon plus jeune âge, je déplace de l'air. Je ne tiens jamais en place, une vraie pile électrice avec une impulsivité grandissante. Un voisin m'a pris sous son aile pour me faire pratiquer des sports de combat de tout genre dans l'espoir de canaliser mon agressivité. Chose qui a bien entendu fonctionné, puisqu'au lieu de me battre avec les gamins de mon école ou de mon quartier, je faisais vriller mes poings sur le punching bag de ce voisin qui m'a consacré tant de temps au grand plaisir de ma mère, qui me trouvait beaucoup trop turbulent. (2) La leucémie, ce foutu cancer qui te traîne à la peau. C’est à mes huit ans, que j’ai appris alors que je revenais de l’école, que l’une de mes sœurs était atteinte de ce cancer du sang. Sous le choc d’apprendre cette horrible nouvelle, j’ai disparu pendant trois jours. Je vous épargne les retrouvailles, lorsque j’ai retourné à la maison. Une mère en pleure et un père qui m’en a fait voir de toutes les couleurs avec ses reproches qui me disaient égoïste et je vous épargne le reste. (3) C’est vraiment à partir de ce moment que je crois que ma vie à changée… C’est dès ce jour que j’ai commencé à me rebeller à devenir peu à peu cette personne que je suis aujourd’hui. J’en voulais à tout le monde que ma sœur soit malade. Le traitement ne fonctionnait pas, la leucémie gagnait du terrain. J’avais peur, j’étais affolé de perdre ma sœur. Je suis donc devenu le petit caïd du bac à sable. Ce petit garçon impoli qui cherche la bagarre à l’école, bien vite calmé par encore une fois un grand frère. À ce moment-là, je le détestais, mon frère. Il m’empêchait de vivre mes émotions, le libre expression. Mais dès que je faisais un truc de travers, je recevais ses représailles, sois disant vouloir faire de moi un homme et que je devais respect aux autres. (4) Maddie, Maddie, Maddie… La copine d’un de mes potes du lycée. Bon, copine est peut-être un grand mot, en fait, je ne sais pas trop comment il se compare eux deux. Tout ce que je sais, c’est que j’ai été ce petit con qui a ruiné leur couple. En fait, pour dire vrai, je ne sais même pas s’il l’a déjà aimé. À la façon dont il nous parlait d’elle, ça ne me surprendrait même pas que non, ou alors il se donnait un genre pour ne pas qu’on se moque de lui. Bref, peu importe. Le fait est que j’ai lancé un défi à mon ami d’enfance. Prendre la virginité de cette Maddie dans un lieu insolite, n’importe lequel. Quelque part où un couple normal ne couche pas ensemble pour la première fois, pour ensuite la larguer. Et il lui a fait ce con. J’étais certain qu’il allait se défiler. Mais non, il l’a baisé sur un banc d’église et lorsqu’il est venu nous voir par la suite, il s’en est vanté, nous disant même que le prête les a surpris. (5) Première et accessoirement dernière petite copine. Je devais avoir quatorze ans, un truc comme ça. Elle était riche, je faisais partie de la classe des "moins que rien" selon son paternel. Je l'aimais, mais ça faisait plusieurs fois que le père de ma copine venait me voir pour me proposer de l'argent pour que je laisse sa fille. Que je quitte sa vie pour ne plus jamais lui parler, lui adresser ne serait-ce qu'un seul regard. Il prétextait que je n'étais pas assez bien pour elle, pas assez sophistiqué, que je n'avais pas de bonnes manières et que jamais je n’aurais d’avenir sérieux avec sa fille. Qu’elle était prédestinée à vivre de grande chose, qu’elle irait loin dans la vie et que moi, je n’en faisais pas partie. J’ai refusé à mainte et mainte reprise de la quitter. Je l’aimais, j’en étais réellement amoureux, malgré notre jeune âge. Mais c'était vraiment beaucoup d'argent. J’ai dû faire la pire bêtise de ma vie, puisque sous l’influence de son daron, ses menaces et tout ce qu’il était en mesure de faire, j’ai accepté son offre. Il était content le bourge, je lui donnais raison. Je n’étais pas assez bien pour sa fille. Depuis, je ne lui ai plus adressé la parole. (6) Ma rupture n'a pas été facile, malgré les apparences. J’ai resté cloîtrer comme un Ermite pendant deux semaines. J’ai même négligé mon apparence pendant ces jours-là, oubliant même de me doucher. J’étais en mode larve, tout simplement. Des boîtes de pizza, des cannettes de bières vides jonchaient le sol. Un de mes potes m’a sortie de force de mon appartement, voulant que je vois des gens, que je pense à autre chose. Alors nous sommes allé à une fête, la dernière de l’été, celle avant la rentrée. C’est en revenant le soir après cette soirée, nous avons pris la voiture même si nous avions bu. Nous étions là comme des cons assis en train de parcourir les kilomètres qui nous séparaient de nos appartements, bouteilles de bière à la main, chantant à tue-tête des vieux tubes à la mode. Et nous l’avons heurté, cette pauvre fille. De plein fouet! Sous le choc ! Elle ne bougeait plus. J’ai voulu sortir pour aller voir si elle allait bien, mais mon pote m’en a empêché. Délit de fuite à mon actif. En date d’aujourd’hui, je ne suis plus en contact avec ce dit pote et je ne sais même pas ce qui est arrivé de cette femme. (7) Les jours suivants, j’ai complètement dérapé. Je ne savais pas où donner de la tête. Drogue, alcool, fête, sexe, tout y passait. J’avais plusieurs choses à oublier et j’avais besoin de m’évader, puisque j’étais littéralement en train de me noyer. Je ne me reconnaissais même plus, j’étais devenu une toute autre personne. Même un jour, j’ai appelé mon ex, simplement pour entendre sa voix. Je n’ai pas parlé, juste écouté jusqu’à ce qu’elle raccroche me traitant de noms. Ça m’a fait du bien, énormément de bien. C’est comme si une cicatrice venait de se refermer à ce moment. J’ai pu commencer à m’envoyer en l’air avec d’autres, avoir du plaisir avec d’autres. Hommes comme femmes, ils y passaient tous. Les fêtes, je n'en ai pas manqué une. Ça m’amuse cette vie. Je sais que je plais. J’excite les femmes, même les hommes et tant qu’ils sont capables de me donner du plaisir, je prends ! S’ils n’y arrivent pas ? Ils n’entendent plus jamais parler de moi. ( Dix-neuf ans, âge où j’ai rencontré mes potes, une bande mixtes complètements loufoques avec qui je ne pouvais que m’entendre. Ceux-là, on se comprend sans ne rien dire. On est des gamins sans cervelle, toujours près à se donner les pires défis pathétiques. Tout ce qui nous passe par la tête est autorisé, absolument tout et si on refuse de réaliser ce défi en question, une conséquence nous pendait au bout du chemin. Nous sommes peut-être des gamins aux yeux de certains, mais nous sommes toujours loyaux les uns envers les autres. Toujours là pour sortir nos potes de la merde dans laquelle il se sont fourré. Nous ne nous connaissons peut-être pas tous énormément, surtout que deux demoiselles sont arrivées il y a peu dans le groupe, mais je sais qu’avez eux, c’est pour la vie. (9) Oui, je savais que c'était pour la vie, puisque lorsque Ilian et Lola ont quitté la Floride pour voyager, voir du pays, nous avons tous gardé contact. Au point où je suivais religieusement les réseaux sociaux pour voir les photos qu'Ilian postait. Pour ne serait-ce qu'avec de leurs nouvelles. Savoir qu'ils allaient bien. C'était ma façon à moi d'être avec eux, malgré leur distance. (10) Je maîtrise la boxe depuis de nombreuses années. Ça me permet de me garder en forme et d’extérioriser la violence, la haine, la rancune que je peux porter aux autres. Ce qui veut également dire que si tu me fais chier, je n’hésiterai pas à riposter même si en général, je ne suis pas quelqu’un de violent. N’importe quelle demoiselle semble en mesure de me rendre doux comme un agneau, même s’il m’arrive de m’énerver pour un rien. Mais, j’ai tendance à provoquer le moindre mec susceptible. Ce qui me fait bien rire, je dois l’avouer. (11) Aujourd'hui, je demeure avec mes deux meilleurs potes dans un appartement. Pour moi, ça pourrait être la fête tous les jours, mais je crois aussi qu'Ilian (qui est revenu de son périple autour du monde, il y a six mois) et moi sommes en train de rendre fou notre pote. Il faut avouer que nous prenons beaucoup de choses en compétitions et ça fait partie de nous. Fêtes, alcool, sexe, drogue, sport, compétition, défi, c'est ce qui nous correspond le mieux. À oui et j'oubliais... une loyauté à toute épreuve.

(f/m) type de lien âge, statut, métier. (libre)
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris.

(f/m) type de lien âge, statut, métier. (libre)
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris

@"prénom nom" feat avatar
TYPE DE LIENS Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.

@"prénom nom" feat avatar
TYPE DE LIENS Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.

@Mael Keebler puis-je ? spoiler alert : we all die at the end (Mael) 2201480436

@Lexie Donovan évidemment que tu peux. Avec plaisir spoiler alert : we all die at the end (Mael) 1600328761

Tu as une petite idée ? Une envie particulière ?

@Mael Keebler je peux te proposer plusieurs choses vue que j'ai pas mal de choses libres, déjà la miss est séparée de son fiancé depuis quelques mois maintenant et elle était un peu en mode : je profite maintenant, je me tape plein de mecs et essaie d'oublier.
Elle aurait pu finir quelques soirs avec Mael ? spoiler alert : we all die at the end (Mael) 2201480436

Ou autrement partir sur un lien d'amitié, vue qu'ils ont presque le même âge, ils pourraient être amis depuis longtemps ou lui l'être de son ex ? spoiler alert : we all die at the end (Mael) 364800810

spoiler alert : we all die at the end (Mael) 364800810

si besoin de liens spoiler alert : we all die at the end (Mael) 2366463274

» Effet mer (Mael)
» ▸mael's phone