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career :  avocat spécialisé dans les affaires d'accusés à tord. Plus c'est compliqué mieux c'est.
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(#) (ripley-lewis) an atypical family. { Dim 26 Avr - 16:13 }

“on est bien ici quand même.” pensa Lewis une fois qu’il était rentré du travail. La maison était si tranquille. Il était allé vérifier sur le frigo à quelle heure la garde de Ripley allait se terminer pour prévoir le repas. Bailey ne devrait pas tarder à rentrer. En attendant il profitait de la maison, du silence et calme présent. C’est si rare. Il a sorti la bouteille de vin déjà entamé du frigo et déboutonna un bouton de sa chemise. Ca y est il n’était plus au boulot dans sa tête.
Il avait passé la journée à remplir des dossiers dans son bureau. On a tous ce stéréotype que les avocats passent leurs journées au tribunal à défendre des accusés ou des victimes alors que non. Il est plus souvent enfermé dans son bureau à remplir des papiers et passer de nombreux coups de téléphone que sur le terrain. Mais ça ne le dérange pas en réalité. Il essaye de ne pas prendre trop de clients à la fois afin de ne pas faire d’amalgame entre les dossiers.
Il s’était installé sur le porche de la maison, le verre à la main, à observer tranquillement les vagues qui s’entrechoquaient quand il entendit la porte s’ouvrir, un adolescent furtif est apparu et s’est installé à ses côtés pendant quelques minutes. Une caresse dans le dos, un regard tendre posé sur cet enfant qui avait bien grandit. C’est bizarre d’avoir un adolescent alors qu’on est soi-même pas si vieux. Ils avaient tous les deux bien grandis c’est évident et il remercie tous les jours Ripley d’être resté avec lui malgré la difficulté de la situation. C’est dans ses moments-là qu’on se rend compte de qui compte vraiment dans nos vies.  Et puis l’avocat s’est retrouvé de nouveau seul.

Quelques heures s’étaient écoulées depuis qu’il avait quitté le boulot et a décidé de cuisiner en attendant le retour de sa moitié. Et puis comme ça si Ripley avait passé une mauvaise journée, il n’avait qu’à mettre les pieds sous la table et ça c’est royal. Une batterie d’ustensiles a été sorti afin de confectionner le plat préféré de Rip, des fajitas, bon en réalité c’était aussi une bonne excuse pour simplement faire cuire des aliments, couper des légumes, mettre tout ça dans un bol et bim bam boom ils se débrouillent pour composer leurs fajitas préférés. Maniaque sur certains points, il a fait presque directement la vaisselle, ne laissant donc sur le comptoir que ce qui était indispensable pour le repas.

Un bruit de porte, des pas, un sac déposé par terre et voilà la famille King-Wyatt au complet
“Hey. Alors ta journée? Tiens, assis-toi.” Il avait mis devant lui un verre de vin pour qu’il se pose quelques instants. Il imaginait très bien qu’il avait dû faire bien plus que le nombre de pas recommandés par jour. Tous les jours il rentre fatigué mais il aime son job, donc ça Lewis il comprend tout à fait.  “bailey est dans sa chambre.” il regarde son meilleur ami et laisse une pause de quelques secondes avant de continuer “tu m’avais pas dit que t’avais intercepté un sms … particulier?” effectivement au cours des derniers jours, Ripley avait eu la chance ou le malheur, ça dépend vraiment du point de vue, de voir un message suspicieux alors que Bailey avait laissé son téléphone traînait. Déjà, quel adolescent digne de ce nom laisse son téléphone ?


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(#) Re: (ripley-lewis) an atypical family. { Dim 26 Avr - 20:11 }

« Gardez un œil sur Dean, s’il y a un changement, quel qu’il soit, tu m’écris… D’accord ? » L’interne face à moi acquiesce. J’ai parfois du mal à réaliser que je ne suis plus à sa place, que je suis parvenu à gravir les échelons, à réussir mon internat et à démarrer ma résidence. Chaque pas en avant me rapproche de la titularisation, de cette opportunité que j’aurais de devenir un grand chirurgien qui ne sera plus accompagné par un autre titulaire sur l’ensemble de ses chirurgies. Tu es impatient, bien entendu, mais tu sais qu’ils sont là pour t’apporter la confiance nécessaire pour résoudre le moindre petit problème en cas d’urgence. À présent, ce sont des compagnons, tu es encore sous leur responsabilité, bien sûr, mais leur approche est différente. Ils observent, conseillent… Ils ont ce regard dans lequel tu te perds momentanément lorsque tu as besoin de te recentrer au bloc pour trouver des solutions dans le feu de l’action. Ils n’ont plus besoin de prendre le lead, je n’oublierais jamais les mots de mon mentor, le docteur Eileen Woodrow, lorsqu’elle m’a confié que je ferais un excellent chirurgien. J’en frissonne encore. « L’opération a été plus longue que prévue, prenez ses constantes toutes les heures jusqu’à demain matin. » Il hoche la tête à nouveau. Je sais qu’il est sérieux, Hawkins, il n’a jamais fait le moindre faux pas jusqu’à maintenant et même s’il n’apparait que ponctuellement dans notre service, rotation pendant les années d’internat oblige, il a cette lueur dans le regard qui me ramène quelques temps en arrière, lorsque je me trouvais à sa place. Il est temps, j’ai été discuter avec les parents de Dean, partager la bonne nouvelle avec eux. Tu aimes ce moment de partage, les voir exploser de joie. Leurs larmes te fendent parfois le cœur et te font pétiller les yeux. Tu savoures les victoires car tu sais qu’elles ne sont pas acquises… Ce sont ces moments-là que tu gardes en tête quand même la science atteint ses limites autour de certains patients. J’ai perdu mon premier patient il y a quelques moins, une expérience traumatisante. Il m’a fallu du temps pour digérer la nouvelle, arrêter de me blâmer… Tu ne pouvais rien faire, les lésions étaient trop importantes lorsque la petite fille est arrivée. Un accident de voiture, les parents sont morts sur le coup.

Une vingtaine de minutes de trajet pour rejoindre notre endroit à nous. Cette fabuleuse maison avec vue sur les étendues de sable qui bordent la mer. Impossible de ne pas se sentir bien ici, encore moins avec un fils aussi formidable que Bailey et un Lewis à qui j’aurais des tonnes de choses à raconter. Les gens ne comprennent pas, ils ne veulent pas faire cet effort alors qu’il n’y a finalement rien à comprendre. Nous sommes des parents comme les autres, la fraternité en plus. La porte de notre second garage se referme automatiquement derrière moi et me permet d’atteindre le rez-de-chaussée depuis le sous-sol. Cette odeur m’accompagne dans mon ascension. Tu devines immédiatement ce qu’il a préparé, il sait que tu adores les fajitas, ton plat préféré. Toujours aussi parfait. T’as le sourire jusqu’aux oreilles, idiot. « Tu es mon héros… Des fajitas après vingt-huit heures de garde, un paquet de chips et quatre biscuits à la fraise dégueulasses c’est… C’est le paradis ! » Je me glisse derrière lui pour lui masser les épaules pendant qu’il s’attarde sur cette casserole que je n’approche pas. Une règle d’or instaurée depuis que j’ai montré une fâcheuse tendance à mettre le nez dans les plats avant la fin de leur préparation. Gourmand un jour… Il me propose de m’asseoir et me sert un verre de vin. « T’es le meilleur, vraiment ! » Il me connait par cœur, depuis le temps. « J’ai réussi à retirer une méchante tumeur à un petit garçon aujourd’hui. Des heures et des heures au bloc, quelques complications mais je suis parvenu à battre le monstre qui lui pourrissait la vie. » À chaque fois que je parle de ces enfants que j’aide à aller mieux, j’ai ces étoiles qui prennent le dessus et font briller mes yeux. « Je n’ai reçu que trois snaps aujourd’hui, il a passé une bonne journée ? » Il a tendance à être ultra actif sur Snapchat. Les jeunes et leurs réseaux sociaux. « Ah oui, ce SMS… » Je grimace, déjà amusé à l’idée d’aborder le sujet. « Tu auras besoin d’un autre verre de vin, crois-moi ! » Je me mordille la lèvre inférieure, mutin et me redresse pour embarquer son verre et lui resservir un peu de vin. « J’ignore s’il s’agissait d’une fille ou d’un garçon… Mais il était question de… » Je m’approche et lui fait signe de l’index, en direction de ma braguette. « S.E.X.E » Je murmure, comme pour m’assurer qu’il ne nous entende pas.        

 
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(#) Re: (ripley-lewis) an atypical family. { Ven 1 Mai - 17:03 }
Des fajitas, du vin et de la bonne humeur c’est tout ce que techniquement Lewis avait fourni pour le retour de Ripley “s’il ne te faut que ça pour que je sois ton héros, c’est pas trop difficile pour conserver cette image, ça va.” dit-il simplement avec un sourire au coin. Il a toujours été beaucoup moins expressif que Ripley, beaucoup moins en lien avec ses émotions, mais il était content d’avoir fait ça pour son meilleur ami. C’était un besoin pour ripley que de faire attention à Ripley en même temps que Bailey. Il fait tout ça comme si c’était un merci en continue des petites actions pour le remercier d’être resté avec lui alors qu’il était absolument pas obligé de le faire. Il écoutait attentivement ce que Ripley lui disait de sa journée, il était fier de son parcours aussi. Ils étaient mal partis dans la vie tous les deux et pourtant ils ont réussi à surmonter toutes les épreuves qu’on leur a données et ils s’en sont toujours sortis encore plus forts qu’avant.  “pauvre gamin mais bon heureusement que t’étais là.” Il ne s'imagine même pas l'état des parents, il serait dans tous ces états si quelque chose devait arriver à Bailey ou même à Rip.

Eh oui ripley recevait des snaps alors que Lewis recevait des sms. “oui, il a passé des heures à la bibliothèque c’est surement pour ça que t’as pas reçu de snaps.”  Certainement, Rip était le plus cool des deux, Lewis avait refusé de télécharger Snapchat, si un de ses clients voyaient ça sur son téléphone il aurait clairement eu la honte. Il ne voulait absolument pas devoir expliquer sa vie privée à des parfaits inconnus.

Et il était temps de parler du fameux message que Ripley avait malheureusement intercepté. Il le voit grimacer et clairement Lewis retient son souffle, il ne savait pas grand-chose de cette histoire si ce n’est que le sms n’allait pas leur faire plaisir. Et puis Ripley continue sur ce sujet en versant de nouveau du vin dans le verre de Lewis. ‘oh god.’ pensa-t-il. De quoi s’agissait-il ? est-ce que Bailey allait bien ? Est-ce qu’il était déprimé ? pensait-il à s’enfuir ou carrément arrêter ses études. L’esprit de Lewis partit dans milles et une directions possibles mais il ne s’attendait certainement pas à ce sujet.
Les yeux de l’avocat s’écarquillèrent et il a fallu s’étouffer alors qu’il buvait une gorgée de vin. ”pardon? … sexe?” chuchota-t-il. Il lui fallait quelques secondes pour reprendre ses esprits.
D’un côté à l’âge de Bailey, ils avaient tous les deux déjà eu de nombreuses conquêtes, tellement qu’il en a rendu une enceinte. Alors techniquement il n’avait aucune raison d’être choqué, c’est naturel pour des adolescents et leurs hormones en feu. Mais c’est juste inimaginable pour eux de penser que leur adolescent, leur enfant, celui qu’ils ont éduqué et vu grandir parle d’un sujet si adulte.  “On a jamais la conversation en plus” oui celle du birds and the bees, celle qui est extrêmement inconfortable pour tout le monde, autant pour les parents que pour les enfants. De nos jours les adolescents peuvent se renseigner tous seuls sur comment s'opérer la bête à deux dos. Et puis, en même temps Bailey n’avait jamais réellement montré d’intérêt avant pour ce sujet. Il sait très bien que ses pères ont connus de nombreuses femmes. Mais peut-être qu’il n’était pas intéressé par les filles. Cette idée lui avait déjà traversé l’esprit plusieurs fois mais là l’idée restait dans sa tête. “fille ou garçon?” Pas que cela gène Lewis si son fils est gay, c'est juste qu'il sera plus facile pour lui de l'aider dans une des deux situations.
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(#) Re: (ripley-lewis) an atypical family. { Sam 2 Mai - 20:24 }

« Tu me connais, la simplicité ça a toujours été mon crédo, surtout si elle est ponctuée de bonnes intentions. » Un clin d’œil qui ponctue à merveille mes propos et laisse place à une première gorgée de ce vin blanc somptueux. « T’es sûr de ne pas vouloir me laisser goûter ta préparation ? Ce n’est pas du tout par gourmandise hein, non, loin de là… Juste pour vérifier les assaisonnements. Il serait dommage de passer à côté de saveurs inexplorées… » La gourmandise, il n’est question de cela. L’odeur ne m’aide pas à renoncer, loin de là. Je meurs de faim après une journée colossale et je suis persuadé que Bailey va nous surprendre, comme toujours, en faisant preuve d’un appétit monstrueux. L’adolescence, la croissance, toutes les excuses sont bonnes et je n’ai besoin que d’une seule réflexion pour l’accepter avec tendresse : c’est le signe le plus évident de sa bonne santé. Bailey se dépense énormément au quotidien, il est constamment en mouvement, à la recherche d’un nouveau pas de danse à incorporer dans ses chorégraphies, d’une nouvelle note à atteindre vocalement, de nouvelles émotions à insuffler au gré de ses pièces de théâtre. Sa passion lui fait brûler un nombre hallucinant de calories. Un sourire on ne peut plus fier lorsque je parle de ce petit garçon à qui j’ai sauvé la vie aujourd’hui. De nombreux obstacles sont encore là, sur son chemin, mais je ne suis plus inquiet dorénavant. Tout ira bien, je l’ai affirmé à ses parents. Tu ne fais cela que lorsque tu as anticipé sur chacune des complications potentielles et que plus rien ne semble pouvoir se mettre au travers du rétablissement de ton patient, même dans les pires scénarios. « Et toi alors ? Tu as mentionné la trouvaille d’un élément nouveau la dernière fois… Une bonne piste ? » Lewis est tout aussi passionné que moi, le combat qu’il mène me rend extrêmement admiratif. Il figure parmi ceux qui osent, qui ne reculent devant rien pour dénoncer les injustices et les emprisonnements à tort de certains de nos prisonniers. Son père est un moteur, certes, mais il ne cessera jamais de se battre pour ces laissés pour compte. « À la bibliothèque ? Gros examen à venir ? » Je m’en inquiète presque, parce qu’il me prévient généralement, on évacue la pression tous ensemble avec quelques pas de danse qui nous permettent de tendrement nous moquer de Lewis et de la désarticulation qui semble s’emparer de lui dès lors qu’il est question de shaker son corps en rythme.

L’heure est à la révélation, celle qu’il attend avec impatience depuis que j’ai mentionné une découverte sur laquelle je n’ai pas placé le moindre mot. Sa réaction est exactement celle que j’attendais et je serais hypocrite si j’avouais ne pas avoir ce sourire au coin des lèvres en le voyant à deux doigts de recracher son vin. « Tu m’as parfaitement entendu, le mot qui commence par un S ! La chose que tu n’as pas pratiqué depuis mille ans, à l’exception des sollicitations de ta main droite ! » Je lui tire la langue, pouffe de rire et me jette à nouveau sur mon verre, horrifié par la pensée que notre fils en soit déjà là. On ne les voit décidément pas grandir. « Jamais et… Et je pense que l’heure est venue… » Je marque une pause, me redresse pour attraper mon cartable et me fraie un chemin parmi mes dossiers pour faire ressurgir une boite de préservatifs. « Je tiens à remarquer une chose, je n’ai pas souvenir qu’il y avait autant de gammes à notre époque… J’ai hésité entre des traditionnels et un paquet aromatisé pendant au moins deux minutes… Ne parlons même pas de ceux avec gel retardateur… Une femme est passée pile à ce moment-là et… Ouais… ELLE M’A PRIS POUR UN PRÉCOCE MON GARS !!! » J’en frissonne rien que d’y repenser. « On doit lui en donner, l’équiper… Et ne pas le faire avec des recommandations qui indiqueraient qu’il ne doit pas répéter les erreurs du passé parce qu’il n’est pas une erreur, pas du tout… Et… Ouais, tu vois pourquoi cette conversation a été beaucoup trop repoussée jusqu’à maintenant ? » Difficile de mentionner certaines choses sans faire écho à sa propre naissance. « Je ne sais pas… Le prénom m’a fait penser à un garçon… Mais aujourd’hui les prénoms ne veulent plus rien dire alors… » Je marque une courte pause et, paniqué, je reprends. « Tu crois que j’aurais dû acheter du lubrifiant avec ? »

 
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(#) Re: (ripley-lewis) an atypical family. { Sam 9 Mai - 19:26 }
Lewis n'avait pas pu s'empêcher de lever un sourcil en souriant légèrement quand Ripley lui demandait s'il ne pouvait pas goutter au cas où s'il manque des épices. Il le regarde, 'dead serious'... "tu m'insultes en disant ça. T'as attendu toute la journée, tu peux attendre dix minutes comme un grand garçon." Ils se taquinent beaucoup les deux. Toujours gentiment, toujours pour faire sourire l'autre. Il était vrai que Lewis avait un don quant aux épices et à la bonne quantité pour que cela soit équilibré. C'est en ayant un adolescent à la maison que l'avocat se rend compte du calvaire que cela a dû être pour les Wyatt d'en nourrir deux en même temps. Rip et Lewis lorsqu'ils étaient adolescents faisaient beaucoup de sports et il se rappelait rentrer chez eux affamés, à chercher la moindre chose comestible, à fouiller tous les placards pour trouver un vieux biscuit qui soulagerait son besoin de nourriture pour une heure ou deux. Ils allaient jusqu'à cacher de la nourriture pour pas que les deux fassent un carnage. Bailey n'avait pas à se soucier de ça, la maison contient de gâteaux, biscuits et chips en tout genre afin d'assouvir les envies de tous les membres de la famille. Donc la réflexion de Ripley ce n'était pas que de la gourmandise, mais aussi une peur de ne pas pouvoir manger à sa faim on va dire. Seulement il devrait savoir que Lewis a l'habitude de cuisiner pour plus que nécessaire justement parce qu'ils sont trois gros mangeurs.

Son affaire, il haussa les épaules "pour l'instant rien de bien important, faut attendre encore quelques semaines. Mais oui ça va la journée a été calme c'était plus de paperasse qu'autre chose." Cela arrive des fois que des pistes ne se révèlent être importante que quelques temps après, surtout il faut vérifier tout ce qui a été dit, les sources, les événements, la chronologie et ça prend du temps. Mais c'est comme partout il faut être patient et on sera récompensé. Bien évidemment que Ripley a demandé des nouvelles de Bailey, ils n'avaient discuté que quelques minutes, mais il savait que son fils allait bien qu'il avait travaillé à la bibliothèque. Il hocha la tête quant à la question de son meilleur ami. "euh ouais mais j'ai déjà oublié pour quel cours." effectivement il avait une mémoire à très court terme quand il s'agit de choses qu'il ne comprend pas. Ça a été un vrai plaisir pour lui d'oublier tout ce qu'il avait appris dans sa scolarité qu'il ne comprenait pas, c'est-à-dire toutes les matières trop scientifiques.
Le sexe. Il s'attendait pas vraiment à ce genre de conversation avec Ripley là, enfin si, ils en parlent mais en incluant le prénom de leur gamin au milieu. L'heure était venue de parler de relation sexuelle et cela risquait d'être gênant autant pour les parents que pour l'adolescent mais c'est comme un pansement faut l'arracher d'un coup pour que ça passe plus rapidement. Un pique qui le fit rire, mais il était bien trop choqué pour pouvoir rétorquer quoi que ce soit. Il avait envie de pleurer ou de vomir, c'était un mix un peu bizarre. Il regarda Ripley qui sortait une boite de préservatif de son sac. Les yeux de l'avocat s'ouvrirent encore plus. C'était un cauchemar c'était pas possible fallait qu'on le réveille là. Il priait un dieu auquel il ne croit pas que ce soit qu'un cauchemar. Mais non. Il n'a pas pu s'empêcher de s'esclaffer plusieurs fois en l'entendant raconter son histoire, plus de goûts et formes de préservatifs qu'à notre époque cela fait longtemps que Ripley n'est pas passé dans ce rayon au supermarché c'est évident. Il aurait tellement aimé être là à voir cette scène qui semblait si grotesque. "Mais faut pas cacher tes capacités Ripley... Je sais que tu vas vite."  dit-il un gros sourire aux lèvres, le choc commençait doucement à s'effacer et il arrivait à retrouver son humour légendaire.
Il continuait à parler et à dire qu'il fallait l'éduquer sur ce qui pouvait se passer s'il n'était pas prudent et effectivement lewis approuvait tout à fait les propos de son meilleur ami. "On va éviter de parler de lui comme si c'était une erreur.. ça risque de rendre le moment un peu tendu en plus de la génance extrême. Mais oui il faut le faire. On a plus le choix là de toute façon. Un petit powerpoint monsieur le médecin ?" rajouta-il en rigolant, c'était bien évidemment une blague, il ne fallait pas non plus que la conversation se transforme en cours théorique sur le sujet. Rien de pire que ça. "clairement il s'appelle Bailey, prénom mixte." dit-il en haussant les épaules. "on verra bien s'il nous en parle." il regarda Ripley complément abasourdi par ses propos. "une chose à la fois non?" Déjà la protection avant d'autres trucs, il en aura peut-être pas besoin qui sait. Mais en tout cas cela semblait toujours irréel de parler de ça à propos de son propre enfant. "bon et du coup on fait ça quand?" Oui il fallait planifier pour qu'ils soient tous les deux présents c'est le souci avec deux parents avec de carrières professionnelles importantes.


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(#) Re: (ripley-lewis) an atypical family. { Lun 11 Mai - 23:35 }

Je l’observe du coin de l’œil, l’air indigné. Choqué, déçu. « Certes, mais j’ai passé toute la journée à alterner comme un jongleur complètement fou entre les rendez-vous de suivi des patients, les allers et retours au sein de mon service pour m’assurer que mes internes ne commettaient pas les pires atrocités sur mes petits en post-op sans oublier, cerise sur le gâteau, les quelques chirurgies qui m’ont permis de devenir le héros de plusieurs familles… » Je bombe le torse en réaction à cette dernière affirmation, comme pour illustrer la fierté que j’éprouve chaque jour en sauvant des vies. Tu ne connais pas plus grisant comme sentiment. Entrer au bloc, plein d’incertitudes, conscient qu’au moindre petit chamboulement ton patient peut perdre la vie entre tes doigts. Tes doutes s’évaporent à chaque fois que tu pénètres ton royaume, ton bloc opératoire. Une fois ton scalpel en main, pus rien n’a d’importance. Tu fais le vide autour de toi, ton patient n’existe plus humainement, les enjeux disparaissent pour ne plus laisser place qu’à un affrontement digne de ce nom entre la maladie et ton expertise. Tu retrouves ton humanité lorsque les internes se chargent de refermer le patient, lorsque tu peux abandonner le bloc et rejoindre les familles désespérées à l’idée d’obtenir des informations sur le déroulement de la chirurgie. Tu aimes leur rapporter la bonne nouvelle. Il n’est aucunement question de prétention, je ne prends pas plaisir à les informer pour qu’ils me mettent sur un piédestal. Il est plutôt question de bonheur, de joie dans sa représentation la plus sincère. Cette flamme qui anime leur regard lorsqu’ils comprennent que leur enfant est sorti d’affaire… Il n’y a tout simplement rien de plus puissant, aucune meilleure récompense pour un médecin. Tu continues à te bagarrer quotidiennement contre la maladie pour cette raison, pour continuer à apporter de la joie à des parents qui ne méritent pas de se ronger les sangs… Pas pour cela en tout cas. Tu vois ô combien tu t’inquiètes pour Bailey au quotidien sans qu’il soit malade, tu n’imagine pas ce que tu deviendrais si un médecin lui diagnostiquait quelque chose…

« La paperasse… Je compatis, tu vois le cartable là-bas ? Il est blindé de dossiers que je dois compléter ici, faute de temps à l’hôpital ! Puisque tu as passé la journée à en faire, tu ne veux pas t’occuper des miens par hasard ? En contrepartie, je t’apporte le café tous les matins au boulot avant d’entamer mes opérations au bloc et… Et j’te masse le dos quotidiennement pendant une semaine ! » Il a parfois mal au dos, Lewis. Pas parce qu’il se fait vieux, plutôt parce qu’il passe le plus clair de son temps à traiter des dossiers, penché au-dessus de son bureau. La position n’est pas idéale, elle ne lui rend pas service et j’ai constaté qu’il en souffrait plus régulièrement qu’auparavant. Tu sais aussi qu’il bosse comme un acharné, et pas seulement sur l’affaire de son père. Il ne lâche rien, Lewis. Un putain de requin lorsqu’il s’attaque à quelque chose. Tu adores cela, tu sais qu’il n’abandonnera jamais rien ni personne et quelque part, ça te rassure. Pour votre fils, bien-sûr, mais également pour toi. Un grand sourire fend mon visage, un poil provocateur mais plutôt mignon, pour le prendre par les sentiments même si je suis quasiment certain que ça ne fonctionnera pas. Tu ne peux pas lui en vouloir, c’est de bonne guerre entre vous. Vous adorez cela, vous taquiner, vous embêter… Lorsque l’un d’entre vous ne répond pas favorablement à ce genre de provocations, c’est qu’il se trame quelque chose de sérieux. « Ta collègue… Tu sais… LA collègue… N’a pas pu te venir en aide ? » Je me mordille la lèvre, l’œil moqueur. N’allez pas croire que je n’ai pas remarqué leur petit manège, à tous les deux.

Et puis LA fameuse conversation, cette surprise inattendue sur le téléphone de notre fils. Les quelques informations captées par hasard sur son portable et ce détour par le supermarché pour acheter une boite de préservatifs en attendant de pouvoir discuter de tout cela. Des conseils, je pourrais lui en prodiguer des dizaines, mais tout est nettement moins facile lorsque tu fais face à ton propre fils. Je redoute cette conversation, son regard gêné, le nôtre doublement plus embêté et les silences qui viendront rendre la situation encore plus étrange. J’ignore comment introduire le sujet, le terme introduire est ici plutôt bien employé, puisqu’il sera justement question de ne pas s’introduire partout de manière trop imprudente au risque de se réveiller avec des démangeaisons, une grossesse ou je ne sais quoi d’autre. Frisson désagréable, effroi sur le visage de mon compagnon de vie et premier rire, hilare, qui précède une blague que j’aurais pu voir venir à des kilomètres à la ronde si je ne m’étais pas concentré sur cette boite de capotes. Tu as opté pour le paquet le plus grand, avec une vingtaine de protections pour ne pas avoir à retourner en acheter de sitôt. « Si ma vie sexuelle ne se résumait pas à ma main… Je trouverais probablement quelque chose de cinglant à te répondre mais… Tu sais quoi… » Ma vie sentimentale est un désert aride, et cela depuis des années. « J’vais te dire une bonne chose… Puisque je ne serais même plus capable d’estimer à quand remonte la dernière fois que… Tu vois… Je ne m’avance même pas en affirmant que je risquerais d’arriver avant même d’être parti ! » Métaphore tout juste maquillée pour parler performances et, clairement, ça n’aura rien de très glorieux, au grand dam de la personne qui partagera cela avec moi. Lewis a digéré la nouvelle, son humour est un signe encourageant, presque trop, d’ailleurs. Il enchaine les vannes et, forcément, j’ai très envie de rebondir à mon tour. « Le powerpoint c’est so’ 2018… J’devrais peut-être enregistrer une série de Tik Tok ! » Il nous arrive d’en tourner quelques-uns Bailey et moi, lorsque la fièvre du samedi soir nous gagne et qu’il a envie de se mesurer aux restes de son vieux père. Revenons-en à nos moutons, avec un premier degré qui se doit malgré tout d’être de mise. « Fille, garçon… Peu importe… Ça n’a jamais été une question pour moi. Je ne veux pas qu’il puisse penser qu’on ne l’acceptera pas s’il sort avec un garçon… Chaque chose en son temps. » Nous sommes d’accord là-dessus. « Quand ? Jamais ? » Je ne suis pas du tout en train de me dérober, pas du tout. « Ce soir, juste après le diner ? J’étais sur le point de dire pendant mais… Mais j’ai peur que ça nous coupe l’appétit ! »

 
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(#) Re: (ripley-lewis) an atypical family. { Ven 15 Mai - 18:36 }
La paperasse, leurs deux métiers adoraient les dossiers, les papiers, les autorisations en tout genre "écoutes je veux bien, mais pas certain que ce soit bien rempli quoi." dit-il en souriant. Il était certain qu'il ne s'agissait pas du même type de papiers à remplir, ils n'avaient certainement pas le même type de vocabulaire, légal ou médical ce sont deux champs totalement différents.
Bien évidemment qui lui parlait de Rory "non elle m'aide sur le dossier de mon père pas les autres, elle est journaliste pas mon assistante." dit-il tout simplement. Ripley savait bien qu'il passait trop de temps avec Rory, que ce n'était pas que professionnelle qu'il y avait bien plus. Mais il ne savait pas réellement quoi faire avec ses drôles de pensées qu'il pouvait avoir de temps en temps, elle était fiancée et il ne pouvait rien faire contre ça. Alors, il fallait rester professionnelle même s'ils se voient même quand ils n'en ont pas besoin, travailler c'est un prétexte autant pour elle que pour lui pour se voir, mais ça malheureusement Lewis ne le sait pas.
Ils parlaient ensuite du manque de relations sexuelles qu'ils ont tous les deux depuis quelque temps. Un enfant ça prend du temps et de l'énergie, Lewis ne saurait même pas par où commencer pour trouver une jolie femme avec qui passer la nuit. "en même temps c'est normal j'ai envie de te dire. Et puis y a aucune honte à avoir si ça arrive." et oui la précocité est malheureusement un fléau qui peut toucher n'importe quel homme sans forcément avoir de raison (enfin si ce n'est pas à chaque fois.) et c'était évident que remonter en selle allait être la première fois un grand coup de galop et une chute et puis après les fois suivantes plutôt des balades tranquilles dans un champ. Bon l'avocat espérait que cela ne se passerait pas sinon il risquait de devoir réconforter et aider son meilleur ami et il n'a pas forcément envie de ça, il n'est pas vraiment très doué avec ses émotions. Aider sa famille c'est le maximum qu'il arrive à faire, il faut toujours qu'il soit rationnel. C'est un vrai problème pour lui.
Il avait proposé un powerpoint explicatif, mais apparemment cela ne plaisait pas au chirurgien. "excuse-moi d'être vieux, enfin un boomer comme il me dit souvent." C'est vrai que Lewis est loin d'être au courant de ce qui se passe sur la toile, les nouvelles applications à la mode ou même les tendances vestimentaires. Il savait bien évidemment ce qu'est tiktok il a vu les deux en faire de temps en temps, Ripley qui venait lui montrer fièrement et c'est vrai que ça le faisait rire.

Garçon ou fille, est-ce que c'était vraiment un problème pour les deux, pas réellement. "Je pense qu'on ne peut pas faire plus acceptant que nous.. Au vu de notre "couple" " il fit bien évidemment les guillemets avec ses doigts. Il faisait référence aux nombres de fois par semaines où on lui demandait s'il était en couple avec Ripley. Il répondait que non la plupart du temps et puis des fois ça l'amusait de dire que oui. Les gens sont naturellement beaucoup trop curieux et ont besoin de mettre des étiquettes sur tout, les gens et leurs relations. Une relation si particulière et en aucun cas il ne voudrait rien changer quoi que ce soit avec Ripley, leur histoire est dramatique, pleines de rebondissements et clairement digne d'être convertie en une telenovela espagnole.
Hors de question que ce genre de conversations soient faites autour d'un bon repas qu'il venait de préparer ! "en plus on va manger des fajitas, une forme plutôt cylindrique on va dire..." rien que d'imaginer de parler de sexe avec son fils pendant un repas ça lui donne la nausée. C'était mieux de faire ça après mangé, pendant qu'ils font la vaisselle ou avant qu'ils se dispersent tous les trois dans leurs chambres ou leurs bureaux pour travailler. Il n'y a que les weekends où ils passent au moins une soirée ensemble, ils choisissent un film, bon ça peut prendre une vingtaine de minutes juste pour trouver UN film, mais ensuite ils passent un bon moment en famille, affalés sur les canapés avec du popcorn et des confiseries en tout genre. "du coup après le repas, je propose qu'on se concentre sur le consentement, la protection en tout genre et la communication." il fit une pause pour réfléchir quelques instants. Qu'est-ce qu'il aurait aimé entendre alors qu'il était adolescent à propos de ce sujet... Mhh effectivement les capotes auraient été plutôt pas mal, même s'il n'a jamais attrapé quoi que ce soit mais bon ... si ça peut éviter d'être père tôt... Le consentement c'est un sujet qu'il faut désormais parler, même s'ils savent tout le temps que Bailey est très respectueux avec tout le monde. Et puis la communication avec le / la partenaire, mais aussi avec eux. Il faut qu'il parle à ses pères quand il en a besoin, même quand le sujet est gênant. "t'en penses quoi? T'aurais aimé qu'on te dise quoi toi à son âge?"

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(#) Re: (ripley-lewis) an atypical family. { Lun 18 Mai - 21:48 }

source.gif La médecine demande une rigueur qui ne s’arrête pas à la sortie des blocs opératoires. Les dossiers sont essentiels, ils permettent un suivi des patients. D’ancrer durablement chaque détail, chaque traitement, le moindre petit détail digne d’intérêt. Ce sont eux que nous prenons soin de numériser et de rendre accessible depuis une base de données de plus en plus étendue. Tu milites activement pour que chaque hôpital soit potentiellement capable de récupérer les informations nécessaires sur un patient qui se présenterait dans des conditions extraordinaires, pour un trauma quelconque. Nous sommes bien trop souvent confrontés aux limites de notre profession, à l’absence de connaissances nécessaires pour la prise en charge efficace, dépourvue de mauvaises surprises. Ces dossiers sur lesquels j’ai accumulé un retard monstrueux ne souffriront pas de mon absence de rigueur. Tu as pris l’habitude de toujours te balader avec ton portable sur lequel tu enregistres des tonnes de mémo lorsque tu vagabondes dans les couloirs de l’hôpital. Une manière assez personnelle de m’assurer que toutes les informations seront encore là, bien au chaud, dans ma tête, au moment de compléter la paperasse de chacun de mes petits patients. Lewis utilise également l’enregistrement pour préparer ses affaires, pour notifier ses avancées avant de pouvoir les coucher sur papier. Il est impressionnant lorsqu’il balance des tas de questions les unes derrière les autres comme le ferait une Anna Lise Keating remontée comme jamais. Tu as retenu de ses remarques à ce sujet qu’il parvenait à faire le tri entre les questions utiles sur le papier mais peu enclins à révéler les informations nécessaires et celles qui méritent d’être utilisées au Tribunal pour marquer des points. Nous travaillons de la même manière, finalement. J’anticipe comme lui, lorsqu’une chirurgie se prépare. « T’es un amour… Mais il faut que je me bouge les fesses. Tu n’as pas un discours inspirant, une punchline de coach sportif à me balancer pour que la motivation afflue soudainement en masse ? » On ne sait jamais, je ne cracherais pas dessus. « Une journaliste. Raison de plus pour trouver quelques excuses supplémentaires… Tu sais, pour la contacter, la voir en dehors de l’enquête, tout ça, tout ça… » Je marque volontairement un arrêt très ouvert parce qu’il n’a pas besoin que je lui fasse un dessin pour comprendre où je veux en venir lorsque je parle de Rory. Il faudrait être aveugle pour ne pas voir qu’une tension sexuelle inonde la pièce lorsqu’ils sont tous les deux. Si j’ai pu le voir, tout le monde peut le voir. Je suis généralement le dernier à réaliser les choses.

Le sexe, notre sexualité. Il est grand temps d’avoir LA fameuse conversation avec Bailey. Un moment qui s’annonce d’une gênance particulièrement élevée sur l’échelle qui lui est dédiée… Tellement élevée qu’elle mérite bien l’invention d’un tel terme : gênance. Comme toujours, rien ne me vient à l’esprit. J’ignore sous quel angle aborder le sujet, quoi dire et ne SURTOUT PAS dire. Ce sont des choses qui me viennent naturellement, lorsque je me retrouve la tête dans le guidon et qu’il faut pédaler quoiqu’il arrive. J’imagine que ce soir ne fera pas office d’exception et je suis prêt à m’aventurer là-dedans. Prêt, ce n’est pas le terme que tu utiliserais en premier pour qualifier l’état d’esprit dans lequel tu es. Mais tu veux être présent, lui faire comprendre que Lewis et toi ne le jugerez jamais quoi qu’il fasse, que vous serez toujours là pour l’écouter s’il a besoin d’aide, s’il a envie de parler ou des doutes sur quelque chose qui pourrait être très gênant à aborder hors contexte. Nous sommes deux garçons à l’ouverture d’esprit extraordinaire, rien qui ne puisse nous mettre mal à l’aise en théorie. La pratique sera surement bien différente de cette affirmation. « Aucune honte… Mouais, si tu es avec quelqu’un de confiance qui ne prendra pas la fuite parce que t’as été en deçà… Tu t’imagines toi, ramener ton plus beau coup d’un soir dans un hôtel ou à la maison si elle est déserte… La tension monte et… Rien… Non… Ma fierté ne s’en remettrait pas ! » Un powerpoint, non mais franchement. « Tu es définitivement un boomer… Je ne peux plus rien pour toi, vieillard ! » Rictus taquin interrompu par une gorgée de vin extrêmement plaisante après une telle journée.

Des fajitas, une forme phallique, une conversation qu’il est hors de question de tenir pendant le repas et une allusion qui, maintenant qu’elle s’est glissée dans mon esprit, me laisse dans un état de frustration immense. « Je te déteste… Maintenant, dès que je vais manger des fajitas, attraper ma crêpe fermement… J’vais m’imaginer gober une queue… OU PIRE… Imaginer notre fils en train de faire… NOPE… NOPE, I CAN’T… UNSEE, UNSEE ! » Je secoue la tête dans tous les sens, comme si cette méthode allait me permettre de tout oublier. « Après le repas, avec tes trois axes, ça me parait bien. Je te laisserais démarrer avec grand plaisir. J’serais ton sidekick, pour une fois ! » Je suis le plus doué d’entre nous pour exprimer mes émotions. Un trait essentiel pour certaines conversations. Une facilité que j’ai pu mettre en œuvre lors de certaines de nos discussions avec Bailey pendant que Lewis me soutenait. À chacun notre manière de nous exprimer, lui le fait différemment. Nous ne sommes pas complémentaires pour rien. « À son âge ? Je me serais enfui plutôt que d’avoir cette conversation ! » Aucun doute là-dessus. Lewis connait ma mère, elle a toujours été très ouverte et… Littérale dans son approche. Elle était le genre de maman qui n’avait aucun tabou et aucune limite lorsqu’elle se lançait dans les fameuses GRANDES conversations. « J’aurais aimé qu’on me laisse une porte ouverte en cas de besoin, sans trop me forcer la main. Qu’on me laisse écouter sans prendre la parole à tout prix… Quelque chose du genre… Avec des capotes en prime, parce qu’on sait tous que c’est soi-disant LA HONTE d’aller en chercher au distributeur ou dans les commerces en pleine journée. » La preuve, ma propre expérience quelques heures plus tôt. Une pause puis une autre interrogation. « Tu crois qu'il l'a déjà fait ? J'veux dire... S'il l'avait fait on l'aurait remarqué non ? »

 
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(#) Re: (ripley-lewis) an atypical family. { Sam 23 Mai - 16:00 }
Les deux hommes savent très bien que la paperasse ce n'est pas forcément une activité très passionnante mais c'est important pour les clients ou les patients. En effet un dossier bien construit montre que l'on fait attention à la personne que l'on a en face, que ce soit quelqu'un de malade ou quelqu'un qui demande notre aide. Si un dossier est mal fait cela ne peut très bien pas passer tout court au tribunal et lui faire perdre son affaire donc forcément qu'il était très méticuleux sur sa paperasse aussi chiant que cela puisse être.  "un discours inspirant?"  répéta-t-il, il prit quelques secondes pour réfléchir à ce qu'il allait bien pouvoir dire, il s'appuya sur le comptoir et regarda Ripley droit dans les yeux avec un air grave.  " il n'y a que les perdants qui cherchent des excuses pour ne pas faire le travail Ripley Wyatt ! Et guess what... YOU ARE NOT A LOSER. Donc ce soir, tu vas bouger tes fesses, tu vas remplir ces maudits dossiers et ensuite t'auras le droit de faire autre chose, genre dormir paisiblement... Okay?"  Bon c'était simple, mais en même temps c'est difficile d'improviser un speech comme ça. Il le sait bien en général pour son travail, il prend du temps pour écrire, corriger et tester ses défenses afin de convaincre les jurés, c'est difficile mais ça en vaut la peine et il aime avoir ce don d'orateur, mais ce soir c'était un peu naze, on va mettre ça sur le coup de la fatigue après une journée de boulot.
Ripley continuait de parler de Rory et Lewis haussa les épaules avant de dire "hmmm oui mais pas certain que son FIANCE soit d'accord." il avait bien évidemment très accentué le fait qu'effectivement et malheureusement Rory est fiancé donc il n'allait rien se passer malgré ce que Ripley sous-entend. Il aurait réellement aimé que cela ne soit pas le cas et effectivement il aurait tenté quelque chose avec la belle blonde, mais les circonstances sont différentes. Et puis il avait pas mal de dossier autre à faire et clairement avoir Rory avec lui ce n'est pas forcément une bonne solution, elle a plus tendance à le distraire plus qu'autre chose, il pourrait passer à côté de choses importantes et ça il en est hors de question.
La conversation avait dévié sur le sexe, après avoir parlé quelques instants des sms de Bailey ils avaient fini par parler de leurs situations actuelles et du manque cruel d'action à ce sujet. Ripley avait peur d'être précoce quand il recommencera à avoir des rapports sexuels; mais Lewis n'y croyait pas une seconde et se voulait rassurant " et qui te dit que ça ira comme ça, peut être que ça ira comme sur des roulettes. Après tout, ta main c'est quand même de l'entraînement. Et le Jour J tu seras prêt. AU PIRE si tu veux te retenir un peu plus longtemps je t'autorise à penser à moi." C'était presque un sacrifice ce que proposait Lewis, penser à lui pendant l'acte pour faire monter la sauce moins rapidement, mais si ça ce n'est pas une preuve d'amour pour celui qu'il considère comme son frère. T Techniquement c'était Ripley qui aurait plus à faire que Lewis dans une telle situation. " Après si la personne en question tiens à toi aussi, elle s'en fichera aussi hein. Un minimum de respect." Il prit la bouteille et servit de nouveau un peu de vin à son meilleur ami. " et puis au pire, je sais comment faire accuser quelqu'un pour un crime." dit-il en levant un sourcil avant de boire une gorgée du délicieux liquide.
Il n’a pas pu s’empêcher de ne pas rire quand il le traita de vieillard. Il était évident que Lewis n’était vraiment pas branché réseaux sociaux, il avait déjà du mal à répondre à des messages parce qu’il est trop occupé par son boulot ou sa famille alors en plus perdre du temps sur de nombreux réseaux sociaux comme twitter, facebook, linkedin ou encore tiktok…

Effectivement il n'aurait peut-être pas dû parler du fajitas comme une forme cylindrique alors qu'ils parlaient de sexe.  "sorry not sorry". il rigole avant de parler de son plan d'attaque pour parler de ce sujet à leur adolescent  "ok... Bon va falloir que je prenne des notes pour organiser ça par contre parce que sinon je vais dire de la merde et faudra recommencer donc ... non." en soi ça ne le dérangeait pas de parler de ça avec Bailey, même si c'est un sujet un peu tabou et particulièrement gênant, c'était pour le bien de l'adolescent, mais aussi pour les deux parents qui seront rassurés à partir du moment où ils auront instruit l'adolescent sur ce sujet.  "Après en général nos portes sont toujours ouvertes pour quoi que ce soit, il le sait bien, on ne l'a jamais vraiment forcé à parler de quoi que ce soit... enfin à part là, mais là c'est une question de santé, on va éviter les IST."dit-il en regardant son meilleur ami avant de reprendre une gorgée de son verre. Ca donne soif de parler de ce genre de choses, enfin plutôt c'est mieux d'avoir un peu d'alcool dans le sang pour parler de ce genre de choses.  " Bon je pense qu'on part sur de bonne base, ça va le faire Rip. Ne t'inquiète pas." Il était venu de l'autre côté du plan de travail pour poser sa main sur l'épaule de son meilleur ami et gentiment serrer. Un geste tendre qui se veut rassurant et plein d'amour.  " aucune idée. Je ne crois pas au mythe qu'après l'avoir fait ça se voit sur ton visage ou dans ton comportement. Après .. c'est mon avis" Effectivement il n'avait jamais vraiment vu la différence entre le comportement de ses potes avant et après avoir perdu leur virginité alors effectivement pour lui c'était un mythe, est-ce que c'est réellement écrit 'had sex' sur le visage de quelqu'un. Pas réellement. Après il était loin d'avoir la science infuse à propos de ça, ou sur n'importe quel sujet qui est lié à la médecine ou à la psychologie à vrai dire, mais c'était surtout parce qu'il espérait réellement que Bailey n'ai encore rien fait et que leur intervention de la soirée soit utile au maximum." Je savais bien qu'un jour il fallait qu'on lui en parle mais j'espérais que ça se passe quand il aura genre ... la trentaine."


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