-  no, I don't want to fall in love. (cyr) -

no, I don't want to fall in love.☾ @cyriel rhodes.

Tu te pointes comme à ton habitude, assez tard. Tu n'aimes pas venir quand la soirée est mole, quand cela manque d'ambiance. Tu te fais désiré, comme la petite princesse que t'es. Ou que tu joues, fait semblant d'être. Oui, les apparences sont souvent trompeuses. Pour beaucoup, t'es une gamine d'un gros nom dans une multinationale. Rien de vrai, évidemment. Tu es pas une fille sans histoire, une simple fille parmi d'autres. Non, t'es la gamine d'un homme du cartel cubain, d'un boss. Un titre parfois difficile à assumer, à vivre.  Plus à vivre ou même à survivre. Tu avais manqué plus d'une fois de te prendre une balle, surtout lors du seul kidnapping qui te touchas. Mais ça...C'était une autre histoire. Tu sors donc du taxi qui te menais au Celsius, en compagnie de ton boulet de garde du corps. Que tu ne pouvais pas te défaire depuis ta chute du balcon, chez une copine. Donnant à ton allure des plus enchanteresse un léger boitement. Disgracieux à tes yeux. Mais tu étais debout, après des mois de ré-éducation. Oh oui, pas beaucoup t'avais donner raison, sur le fait que tu remarcherais. Pas après une telle chute, de telles séquelles. Et bien pourtant t'es là, Magno. Debout, dans ta belle robe pailletté sombre, tes cheveux relevés dans un chignon sophistiqué et paré de beaux bijoux. Comme toujours. Tu passes devant tout le monde, sans aucune gêne. T'es la reine, tu fais partie de l'élite, ici. Tu t'es fais un nom et il faut dire qu'ici, le patron savait bien qui t'étais. Le cartel avait mis un peu le nez dedans, un brin. Mais cela ne se savait pas ça. Tu salues brièvement le concerné, qui prend de tes nouvelles. Tu réponds brièvement avant donc d'entrer dans la salle principale et donc d'aller aux carrés VIP.
Tu croises déjà des habitués, des têtes que tu connais. Toujours. Et l'ambiance est déjà folle. Tant mieux, tu avais passé une journée pas franchement grandiose, les douleurs t'avaient fais souffrir toute l'après-midi alors oui. Boire et faire la fête, était préconisé. Tu t'assieds sans attendre sur un fauteuil confortable, jetant un bref coup d'oeil sur Tom, ton garde, qui c'était éloigné. Un petit soupire de soulagement, car oui. T'aimes pas être collé de la sorte, aussi mignon soit ce dernier. Puis ton regard balaye l'ensemble de la pièce, cherchant sans trop chercher des visages...ou peut-être un, plus que d'autres.
Tu tombes finalement sur le faciès digne d'une statue grecque du beau Cyriel. Ce mec, il te colle à la peau, depuis quelques temps. Mais tu sais clairement pas sur quel pied danser avec lui. Un coup c'est tout bien, tout beau, un coup c'est sans nouvelles. Comme en ce moment d'ailleurs. Pas de messages, silence radio depuis quelques jours. T'aimes pas être ignoré, mise de côté. Alors t'as ruminé, tu t'es occupés comme tu pouvais. Mais là, t'es un brin en colère, furax. Tu le montres pas, prenant déjà le cocktail qu'on te poses sous le nez, ton préféré. Tu te mets à discuter avec une blonde. Une fille que tu côtoies mais sans être spécialement copines avec. Les amitiés, ça va, ça viens. Toujours dans ce milieu bourgeois.
Ton regard sombre cherche un peu celui de Cyr, que tu vois un peu trop proche de filles, à danser plus loin. Tu sens la jalousie, ton côté brûlant et cubain, surgir. Tu serres le pied de ton verre de cristal entres tes doigts fins, les traits tendus. Tu coupes un peu la discussion, prétextant aller danser mais ils savent tous que t'es pas encore capable de ça. Pas vraiment seule du moins. Tu avances progressivement vers lui, le temps d'échanger quelques mots avec d'autres, avant d'arriver à sa hauteur et de dire :
"Et bien, ça perd pas de temps ici. Méfiez-vous, une nuit et il disparaît, celui là ! " Que tu lances avec ton plus faux sourire aux filles qui "discutaient" avec Cyr, les dissuadant sans doute. De toute façon, t'es quasi sûr qu'il les as dégoter dans les bombes les moins riches, leurs offrants une soirée de folie avant de faire mine de ne plus les connaître quand il s'en serra lassé.
"N'est-ce pas, Cyr ?" Que tu lui lances en prenant ton verre à tes lèvres, lui balançant un regard qui en disait long.

T’as passé une journée de merde dans tes cahiers. T’as tenté du mieux que tu le pouvais de te plonger dans tes études, mais tu les as entendu gueuler chaque heure de cette foutu journée. T’en a marre, t’as hâte que tout ça se termine et pourtant ça n’en finit plus. Alors lorsque la nuit est tombée, t’as compris qu’un plus un fait deux. T'as mis tes plus beaux habits et t’es sorti.  Les soirées en boîte c’est le meilleur remède que t’aies trouvé. Tu danses, tu dragues, tu défonces au point d’perdre la carte mais bon tu t’sens bien mieux après.  T’es donc là au bar, un coude sur le comptoir, l'air confiant. Tu dragues avec ce sourire en coin que t'as l'habitude d'afficher aux creux de tes lèvres. Tes cheveux frisés, en bataille, ta chemise à moitié détachée, tu plaies à la gente féminine.  Elles sont là ces femmes, collées serrées, des filles qui te font les yeux doux – impatientes de connaître la suite. Tu les fais languir, sans gênes parce que toi t’aimes les torturer, les faire attendre. Tu les regardes, les unes après les autres tel des chattes en chaleur. Elles ronronnent, se collent et toi, tu restes de glace – ou presque.  

 La soirée elle bat de son plein. Tu profites des verres qu’on t’offre, de la musique mais aussi du fait que tu n’es pas seule dans la salle.  T’aurais peut-être préféré être avec une autres que celles-là, mais ça fait des jours que tu n’as daigné lui envoyer un message.  Va savoir pourquoi tu la fuis comme ça. T’peut-être peur de l’attachement envers elle, parce que tu sais que chaque fois qu’elle est dans les parages, tu l’as dans la peau. Tu n’sais pas si tes sentiments sont bien réel, mais une chose est sûre tu sais qu’il se passe un truc et ça.. Bien ça te fait peur. Parce que toi, t’es pas le mec à avoir une relation sérieuse. T’es pas le mec qui s’offre à une seule femme.  Tu serais peut-être capable avec le temps, mais pour le moment dans ta tête tout ça c’est impossible. Tu préfères profiter de ces petits moments de tendresse que vous vous offrez l’un et l’autre pour ensuite t’enfuir à l’aube, tel un vampire qui fuit le soleil.

Tu calles ton verres de whisky et à la seconde ou tu déposes ton verre sur le comptoir de bois et que tu relèves les yeux – tu la vois. Elle dans toute sa splendeur, éclipsant toutes ces greluches qui te tournent autour, celles avec qui t’as passé la majeure partie de la soirée. T’en a plus rien à foutre d’elle. Tes yeux sont rivés sur cette beauté qui est tienne que lorsque cela vous chante. Sa robe de pailette qui brille sur ce dancefloor, t’en fait perdre tes mots. Tu places ta main en l’air pour faire taire ces pies mais surtout pour écouter ce qu’elle a a dire cette belle brune. « Et bien, ça perd pas de temps ici. Méfiez-vous, une nuit et il disparaît, celui là ! N'est-ce pas, Cyr ? » Ta langue sur tes lèvres, perplexe, tu la regardes en haussant les sourcils. « Celle-là .. elle est pire qu’une veuve noire, elle plante son venin, ne fait qu’une bouchée de vous et ensuite vous plante là comme un vulgaire machin. » Lâches-tu sur un ton plutôt convaincu. Tu n’as cessé de soutenir son regard alors que ces demoiselles elles ont foutu le camp les unes après les autres. En vrai t’en a rien à foutre, mais tu comptes bien mettre les choses aux clairs avec Magnolia.  « Qu’est-ce qui t’prends ? T’es prise d’une crise de jalousie c’soir ? » Lui demandes-tu avant de faire signe au barman pour un autre verre. Tu souris l’air incrédule. « Ça va maintenant ? T’es soulagée ? » Tu te mets à rire puis tu lèves les bras en l’air. « Bah vient dans mes bras chérie maintenant t’as eu ce que tu voulais. T'as le champ libre, profites.  »  Dis-tu en t'approchant d'elle une fois que t'eus reçu ton verre. Tu souris te mordille la lèvre - plutôt provocant et chiant. T'es pas d'humeur à te disputer, mais t'as pas l'intention d'en rester là. Toi t'aimes mettre les choses aux clairs - surtout avec Magnolia. Va savoir pourquoi. T'as besoin de le faire, t'as besoin d'elle au fond et si vous êtes en froid .. ça n'sert à rien.

@magnolia cortès

no, I don't want to fall in love.☾ @cyriel rhodes.

Visage cramoisie par la possessivité qui n'a pas lieu d'être, mais que t'arrives pas à réellement contrôler. Tu es peut-être bien une veuve noire, une mante religieuse. Tu sais pas trop quel type d'animal auquel tu pouvais te comparer mais tu avais horreur d'être snobé, mise de côté par ceux que tu pensais contrôler. Tes charmes, ton attitude,ton physique avantageux ne semblaient pas suffire. Pas toujours. Tu en as terriblement la preuve, depuis quelques temps. Avec tout ceux que tu invitais dans ton lit, dans ta vie. Le besoin de contrôle, de tout gérer, de tout avoir. Pour pallier un manque cruel dans ta vie, qui n'est autre que l'attention, la vraie famille paisible et sans problème. Tu en avais de l'attention, d'une certaine manière. Mais ton père était pas là. Comme ta mère, comme souvent ton frère même si ce dernier avait bien compris que tu avais besoin de lui. Surtout après ton accident qui avait bien failli te coûter la vie. Une vie déjà enrayée par le boulot du patriarche, de sa vie des plus complexes et lugubres.
Alors oui, tu mords, tu aboies, tu fais mine de tout contrôler, même les fréquentations d'autrui. Ce soir, Cyriel en paye le prix, en même temps...il y avait de quoi. L'ignorance était le pire pour toi, tu détestais qu'on te prennes pour une imbécile de la sorte et clairement...Il te faisait passer pour une idiote. T'en avais la certitude. Pourtant vous ne vous êtes jamais rien promis, jamais. Vous n'étiez pas ensemble, pas de faux semblants, rien. Mais tu peux pas t'empêcher d'attaquer. Et jouer.
"Et oui chéri, c'est tout moi quoi." Que tu réponds avec un immense et faux sourire, cynique à souhait tout en le fusillant légèrement du regard, avant de porter à tes lèvres d'un air agacé, ton cocktail. Un petit soupire s'échappe, alors qu'un de tes sourcils s'arquent en le regardant faire :
"Non mais tu crois que je vais me jeter dans tes bras en plus ? " Tu ricanes en le regardant presque avec dédain. Comme si t'étais aussi facile. T'allais quand même pas te jeter à son cou alors qu'il venait de draguer des midinettes sous tes yeux.
"Soulagé, j'en sais rien. Et oui, si ce soir j'ai envie de faire la jalouse, je fais la jalouse. " Tu hausses les épaules, d'un air presque innocent, l'air de rien. Tu voulais pas lui donner raison, cela serait faible de ta part. Mais tu voulais quand même lui faire comprendre que oui : t'es jalouse, t'es possessive et que cela t'emmerde qu'il aille voir ailleurs.
"Ça s'mérite de m'avoir dans ces bras, Cyr. Tu devrais le savoir depuis le temps." Ricanes-tu en le regardant d'un air amusé, avant donc de t'asseoir, ayant une crampe à cet instant même. Une moue un peu blasée et pleine de douleur que tu masques en finissant vivement ton cocktail. Tu lèves tes iris sur le visage splendide du brun, et de lui lancer :
"T'aimes te faire désirer, toi." Que tu lances en secouant la tête, n'arrivant pas spécialement à lui faire la tête, à être tant rancunière bien que c'était sans doute ton pire défaut. Tu finis par secouer légèrement ton verre dans sa direction avant de dire :
"Je te pardonne si tu le remplis. Enfin, en parti. Car c'est pas encore prêt d'être le cas." Ajoutes-tu en le défiant du regard.

Ton verre entre les mains, t’écoutes ce que la brunette a à dire.  Tu hausses les sourcils en écoutant tout ce qui sort d’entre ses lèvres et tu regardes ensuite ces filles qui t’entourent foutre le camp avec un certain dégout. Tu n’peux t’en empêcher, mais tu t’mets à rire lorsqu’elle te répond: «Et oui chéri, c'est tout moi quoi.» Tu secoues la tête, faisant bouger ta tignasse frisée, amusé.  T’ouvres grand les bras et tu l’invites à venir y faire un tour, mais tu sais pertinemment qu’elle ne se prêtera pas au jeu. Tout pour te faire chier. Tu sais qu’elle prend d’ailleurs un malin plaisir à te torturer sur un peu tout en fais. Sauf que voilà, t’as l’habitude et bien que parfois elle arrive à te faire sauter un plomb – pas ce soir. Tu l’admires, elle et sa splendeur qui te fascine toujours autant chaque fois que tes yeux se posent sur sa silhouette. Ses traits durcit par cette jalousie imminente - tu l’apprécies quand même.  « Ça s'mérite de m'avoir dans ces bras, Cyr. Tu devrais le savoir depuis le temps. » Finit-elle par te dire avec un sourire sincère et prenant place au bar. Un sourire s’accroche à tes lèvres. C’est plus fort que toi. « Je sais tout ça, j’suis pas si idiot que t’oses le croire. » Lâches-tu faussement blasé.  

Tout près d’elle, tu finis par appuyer un de tes coudes sur le comptoir du bar.  Tes yeux rivés sur elle, tu n’peux la lâcher du regard. Même si elle possède un sacré caractère, tu l’aimes bien et surtout t’arrives pas à te lasser d’elle. C’est vrai que t’as parfois besoin respirer,  besoin d’air, mais tu reviens aussitôt au galop. T’as besoin d’elle, comme t’as besoin de la détester d’autre jour. Putain comment ça peut-être lourd tout ça. Sauf que ce soir, t’en à rien à faire. Tu passeras la soirée avec elle, parce que son sourire te charme chaque fois. C’est probablement la seule femme qui puisse te faire autant d’effet, te garder que pour elle. La seule femme que tu retournes voir comme si elle était ta drogue. «T'aimes te faire désirer, toi » Tu secoues la tête amusé à ton tour. Tu te mets à rire et approches ton visage du sien. « Non.. Toi je sais que tu me désires. » Elles, ces autres filles t’en sais rien, tu t’en doutes mais sans plus. Si Magnolia n’était pas arrivé tu aurais probablement partagé ton lit avec l’une de celle-ci. Sauf que maintenant tout ce qui compte c’est de faire sourire ta brunette préférée.

« Je te pardonne si tu le remplis. Enfin, en parti. Car c'est pas encore prêt d'être le cas » Tu passes ta langues sur ta lèvres et la défi toi aussi du regard. « Bien.. » Dis-tu en levant le vras en l’air et demande au serveur de lui offrir à boire. « Tant que madame voudra un verre,  vous pourrez la servir. Pour ce qui est de l’addition, ce sera toujours sur ma carte.» Tu te retournes vers Magnolia et tu lui dis. « Maintenant madame la reine est-elle sa satisfaite ? » Lui demandes-tu en t’approchant elle. Tu passe une mains dans son dos, approche ton visage du siens. « Maintenant que t’as fais fuir tout le monde et que tu m’as pour toi seule, tu veux bien venir danser? » Tu frôles le bout de ton contre son oreille, tu respires l’odeur de son parfum et glisse une main dans son dos pour le lui caresser.  « Tu peux emporter ton verre sur la piste tu sais .. » Dis-tu finalement en glissant ta main dans ses cheveux.

no, I don't want to fall in love.☾ @cyriel rhodes.

Jeu malicieux auquel tu t'adonnes depuis quelques semaines déjà, avec Cyriel. Tu sais pas trop comment décrire la relation que vous aviez, et même si vous en aviez une. Oui, sans aucun doute mais elle était assez particulière. Tu ne te caches pas que toi aussi, tu avais d'autres garçons dans ton lit et que lui inversement. Une bien drôle de situation que vous acceptiez car vous ne vous étiez jamais rien promis. Mais est-ce que des mots suffisaient ? Est-ce que juste par envie, par besoin d'être l'un envers l'autre, vous étiez capable de tout stopper pour le bonheur de l'autre ? Tu sais pas, même si dans le fond, cela te fais rêver d'imaginer construire quelque chose. Pourquoi pas avec lui, même si tu es loin de te douter de l'histoire, du poteau rose. Une bien triste situation, alors qu'il te prenait dans ces filets les plus obscurs. Tu daignes à laisser un petit sourire en coin se dessiner, le regardant donc demander au serveur de t'offrir tout ce qui te plairas en consommation. Tu aurais pu être impressionné, si tu avais pas autant d'argent que lui. Même plus à l'heure actuelle. Tu demandes un double martini au barman, avant donc de reporter ton attention sur le brun à la chevelure folle, croisant tes bras contre ta poitrine généreuse :
"Je le sais bien." Te moques-tu légèrement en lui faisant un clin d'oeil malicieux, avant donc d'aller t'asseoir, verre à la main. Tu grimaces un peu face à la douleur, mais t'essaie de rien montrer. Tu poses ta pochette à côté, avant de le voir te suivre de prêt, comme une abeille à sa ruche. Tu sais que tu as cassé sa petite soirée de dévergonde et que tu l'avais rien qu'à toi. C'était pas plus mal, cela t'aurais profondément emmerdé de le voir draguer devant toi. Et pas toi. Oui, une certaine jalousie, une possessivité qui t'étais propre, grandissait. Naissait.
" C'est parfait, monsieur. Je suis à peut-prêt satisfaite." Déclares-tu en prenant des grands airs, jouant à son jeu au maximum. Tu gardes un petit sourire en coin, pendant que ton regard parcourait les alentours. Tu observes, telle une lionne à l’affût, sans trop savoir quoi. Pour pas trop donner de l'importance au brun ? Possible oui. Tu finis par sentir ces doigts sur ton dos légèrement dénudé, ayant presque un frisson en le sentant faire. Tu écoutes sa proposition tout en portant à tes lèvres ta boisson pour en prendre une bonne gorgée, avant de répondre :
"Pas longtemps, tu sais bien que depuis...l'accident j'ai du mal." Réponds-tu alors, tournant le visage pour lui faire face, n'ayant que très peu d'espace qui vous séparais. Tu regardes d'encore plus prêt ces traits, te mordant légèrement la lèvre inférieur en ayant une furieuse envie de goûter à ces lèvres, encore.
"Si je t'avais pour moi toute seule, on serait pas ici à l'heure actuelle" Dis-tu avec défi, taquinerie. Oh oui, tu l'aurais déjà embarquer chez toi pour passer une nuit de folie, comme cela vous étais déjà arrivés. Tu glisses ta main sur la sienne pour qu'il stoppe ces caresses, avant donc de te relever avec lenteur, terminant ton verre avant donc d'aller vers les danseurs du carré VIP, prenant place avant donc de danser avec lenteur mais une sensualité sans fin. Tu l'appelles du regard, attendant à ce qu'il daigne à te rejoindre.