événements en cours Se déroule actuellement un action-vérité, les sujets sont clôs aux inscriptions. Autres événements à venir... ‹ Un topic-commun est actuellement disponible.Un ouragan s’abat actuellement sur la ville, merci d'en tenir compte dans vos prochains RP !
mise en avantmaï - abeliya - luka
Days like these est à forum sans contexte, se passant dans une ville réelle du nom de Fort Myers, en Floride. Baignée sous le soleil une grande partie de l'année, ambiance caliente, détente, propice aux vacances réussis et aux soirées fantasmagorique, venez vous y prélasser sans prise de texte. Forum qui ne se veut pas grand, mais avec une communauté, et des membres qui se sentent bien. Pas délaissé comme sur la plupart des forums. Peu de contrainte, que de la détente et du fun.
-45%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go /1 To
1099.99 € 1999.99 €
Voir le deal

 

-  (luisa), even if we fall, we will rise up. -

DAYS LIKE THESE. :: benefit of the doubt :: les rp's
Anissa ZieglerNO TIME TO CLAIM.
NO TIME TO CLAIM.
Anissa Ziegler
infos générales
sms :  230 dollars ($) :  205
name :  still breathing (madalen).
multinicks :  leola (e. olsen).
faceclaim :  eliza taylor (lightning)
 (luisa), even if we fall, we will rise up. Tumblr_otvu9nkjv51vfam7wo1_1280

age :  trente ans.
career :  commissaire d'exposition en centre d'art moderne, nouvelle propriétaire d'une galerie d'art.
civil status :  mariée à Adam, infidèle avec Santiago.
fiche de liens :   ★★★
plus de détails
- https://dayslikethese.forumactif.com/t1011-anissa-chemically-dra

autres infos
relationships:
availability: dispo.
(luisa), even if we fall, we will rise up. Empty
(#) (luisa), even if we fall, we will rise up. { Mar 5 Mai - 14:17 }
even if we fall we will rise up@luisa herrera

Elle ne voit pas le temps passer, ces derniers temps, Anissa. Elle voit les jours s’envoler, l’un après l’autre. Elle a beaucoup à faire, en ce moment – et beaucoup à penser. Alors les heures s’enchaînent, sans qu’elle ne vienne vraiment à le remarquer. Ses journées ont toujours été remplies, elle a toujours été du genre à courir partout, mais c’est encore différent, depuis qu’elle a enfin accepté de reprendre la galerie d’art de son père, dont elle ne voulait pas au départ, après sa mort. Maintenant, An, après ses journées de travail, elle passe souvent à la galerie, pour la réaménager, passer un coup de balai, ranger tout ce qui peut traîner. Et quand elle ne le fait pas, elle fait en sorte de rejoindre Santiago, de passer un peu de temps avec lui, pour pallier toutes les fois où ils ne se voient pas, où ils ne peuvent pas être ensemble, parce qu’elle est toujours mariée. Elle fait tout pour qu’entre eux, ce soit presque normal, même si ça ne l’est pas. Pour que Santiago n’ait pas non plus envie de changer d’avis, de laisser tomber, parce qu’elle sait, que c’est dur. Elle essaie désespérément d’être sur tous les fronts, Anissa, même si ça lui fait du mal, à elle aussi. Elle pourrait tout arranger, sans doute. Il suffirait qu’elle prenne son courage à deux mains, et qu’elle demande le divorce. Parce que quand elle rentre à la maison, après sa journée de boulot, son moment à la galerie, parfois son rendez-vous clandestin avec Santiago, il y a encore Adam – Adam auprès duquel, il faut jouer la comédie, constamment. Elle ne sait pas si elle est aussi douée pour faire semblant, pourtant, Anissa. Elle se doute qu’il sent combien elle est distante, un peu ailleurs, même s’il n’en dit rien. Lui aussi, il semble se tenir à l’écart, préférer rentrer tard. Et dans le fond, elle rêverait que les choses continuent d’être aussi simples, qu’ils rentrent tard en se voyant le moins possible, sans avoir besoin d’avoir de discussions sérieuses et compliquées – même si un jour, il faudra bien qu’elle se bouge. Combien de temps est-ce que Tiago tiendra ? Pendant combien de temps est-ce qu’elle-même, s’en sortira ? Elle aussi, ça la rend malheureuse. Elle est tout le temps sur ses gardes, et surtout, elle souffre toujours de partir, de laisser Santiago. Il lui manque, bien plus intensément, qu’il ne l’a jamais fait avant. C’est peut-être aussi pour cela qu’elle s’occupe tant, Anissa. Qu’elle fait sans cesse en sorte d’avoir quelque chose à faire. Au moins, elle n’a pas besoin de penser à tout ce qui est compliqué – et elle ne voit pas le temps passer. Elle en oublie de profiter des choses, des gens. Elle ne voit plus que ses collègues, son mari, son amant. Paradoxal, quand on sait qu’elle prétend ne plus lui parler, depuis des mois. Ils s’étaient disputés, c’est vrai, avec Santiago – ils s’étaient éloignés, des mois durant, parce que plus rien n’allait, parce qu’elle le repoussait, parce qu’elle vivait mal le fait de l’aimer, le fait que lui semble en aimer une autre. Mais trois petits mots ont changé la donne, résolu tous leurs conflits. Sauf que cela, tout le reste du monde l’ignore. Ils mentent, à tous ceux qu’ils aiment, tous ceux qui les aiment. Mais ce n’est pas contre eux – et elle espère, Anissa, que le jour où ils sauront, ils ne leur en voudront pas. Peut-être aussi, qu’elle a peur du jugement. Parce que c’est elle, la connasse, dans l’histoire. L’infidèle. Et elle a entraîné Santiago dans ses bêtises, alors même qu’il est sans conteste la personne la plus droite et honnête qu’elle connaisse. Elle y pense encore, Anissa, la culpabilité lui rongeant l’âme, lorsqu’elle arrive en vue du parc, où elle doit rejoindre Luisa. Elle culpabilise toujours un peu plus, quand elle voit un de ses amis – mais Luisa, c’est encore différent, parce qu’elle est la sœur de Santiago. Elle a été témoin, plus que d’autres, des réelles tensions entre son frère et Anissa. Et elle est probablement celle, qui mériterait le plus la vérité. Elle le sait, elle le pense, An. Et en son for intérieur, elle se dit que tout s’arrangera, bientôt. « Hey. » fait-elle à Luisa, une fois qu’elle l’a repérée, la serrant dans ses bras avant de s’asseoir sur le banc, à ses côtés. Ça fait des lustres qu’elle n’est pas allée dans un parc – et voir tant d’enfants, un instant, ça lui serre le cœur, remémorant la fausse couche, le bout de vie qu’elle attendait et qui n’est jamais né. Elle évite les discussions bébés avec Adam, maintenant, mais qu’est-ce qui l’attend de ce côté-là, maintenant, dans cette situation, hein ? Ce n’est plus seulement qu’elle n’est pas prête à retenter une grossesse, c’est aussi qu’elle est pratiquement sûre de ne pas vouloir d’enfant avec Adam, aussi triste cela puisse-t-il être pour lui. « Romy s’amuse bien ? » demande-t-elle en souriant à son amie, cherchant la petite des yeux, parmi la foule de jeunes enfants. « Comment tu vas ? » Elle est heureuse de la voir, regrette que ça remonte à ce point – regrette aussi, que sa liaison impacte autant ses autres relations. Mais elle se dit qu’elle va pouvoir se rattraper, aujourd’hui, Anissa. Et elle est ravie de passer un moment avec Luisa et sa fille, comme toujours.
Revenir en haut Aller en bas
InvitéInvité
Anonymous
infos générales
plus de détails
-
(luisa), even if we fall, we will rise up. Empty
(#) Re: (luisa), even if we fall, we will rise up. { Dim 10 Mai - 1:00 }

even if we fall, we will rise up


C'était peut-être ça, le but ultime de la vie, finalement : s'affaler sur un banc et profiter pleinement du soleil. Les yeux clos, visage tourné vers le ciel, tu laissais les rayons chauds du soleil venir caresser ton épiderme. Un week-end de libre. T'avais vu avec Evie. C'était elle qui tiendrait les rennes du Goofy-Foot, te laissant pleinement le temps de profiter de ta fille. C'était pas toujours évident de jongler entre ton business et ta vie de famille... mais tu y arrivais grâce à tes amis, ta famille et puis, celle du papa de la petite, toujours présente dans la vie de Romy, malgré les déboires de son père. Tu grimaçais légèrement, chassant l'image du brun de ton esprit. Ça te faisait toujours le même effet. Cette colère qui montait, te tordant malicieusement la gorge... et surtout, ce pincement au fond de ton cœur, bien plus douloureux que n'importe quelle colère que tu avais envers lui. La rancœur de côté, tu n'avais jamais réellement tourné la page. Une rupture par quelques mots prononcés par un gamin que tu connaissais à peine à l'autre bout du téléphone. Et paf, des années d'amour, de projets, jetées à la poubelle, comme ça, en une fraction de seconde. Il t'avait quitté comme on lâche une nana qu'on ne connait pas, comme on renvoie une conquête d'un soir chez elle au petit matin après s'être enivré de ses charmes toute la nuit. Tu t'étais sentie rabaissée, Luisa, par cette rupture... mais pas du genre larmoyante, t'avais vite repris pied. Pour toi, pour ta fille surtout, pauvre bambin, à l'époque. Et malgré tout, il restait un bon père. Peu présent, mais aimant. C'était peut-être ça, le pire. De le retrouver un peu, au travers de l'attitude qu'il avait envers votre enfant. Peut-être que l'homme que tu avais aimé était encore là, sous ce masque de parfait connard qu'il avait décidé d'adopter...
Finalement, tu préférais penser à autre chose... à quelqu'un d'autre surtout. De la nuit dernière, dans les bras d'un autre. Premier homme depuis le père de Romy. Ta mère t'avait réclamé la petite, juste une soirée. T'avais accepté. Et, pas vraiment décidée à gâcher une soirée de libre. Tu l'avais appelé. Lui. Tu t'émancipais. Tu t'offrais à un autre que celui qui t'avait un jour promis amour et fidélité. T'étais un peu paumée, Luisa, fallait bien l'avouer. Il te plaisait, ce garçon, c'était certain, mais étais-tu prête à réellement le laisser entrer dans ta vie ?... Tu n'en savais rien. T'étais qu'une gamine, Luisa. Apeurée à l'idée de souffrir à nouveau. Tu te la jouais intouchable, mais t'étais toute tremblante sous tes sourires malicieux. "Hey.". Tu sursautais légèrement, ton regard s'ouvrant sur une bouille que tu connaissais bien. Anissa. Pas si surprenant de la voir ici, puisque vous aviez convenu un peu plus tôt dans la journée de vous y retrouver. Une accolade franche et voilà qu'elle s'asseyait à côté de toi. Ton regard qui se posa instinctivement sur ta fille un peu plus loin, avant de glisser à nouveau sur la blonde. "Romy s’amuse bien ?". Tu fouillais dans ton sac, avant d'en ressortir un petit sachet. Tu répondais sans tarder; "Oh tu sais, les gosses, tu leurs donnes un caillou et c'est la folie !". Tu te moquais gentiment, mais finalement, tu n'étais pas si loin du compte. Tu ne comptais plus le nombre de jouets hors de prix que Romy entassait dans son coffre à jouets, les délaissant au profit de trucs qu'elle avait pu ramasser dans la rue, comme une branche d'arbre ou une feuille. Les enfants, un vrai mystère. Au moins, ta fille avait de l'imagination. Tu sortais un biscuit du sachet en plastique, croquant à pleines dents. "Tu veux un Pépito ?". T'étais trop gourmande, Luisa. Heureusement, tu étais assez active, et pas de nature à stocker toutes tes entraves à une alimentation saine et équilibrée. "Comment tu vas ?". Tu haussais légèrement les épaules, un léger sourire sur le coin de tes lèvres. "Tranquilou !". Nouveau croc dans ton biscuit fourré au chocolat. Une merveille. "Et toi ? Tout va bien ?". Ouais, parce que Anissa, elle t'importait beaucoup. Une figure majeure dans ta vie. L'un des premiers visages qui t'avait souri lors de ton arrivée à Fort Myers...
Revenir en haut Aller en bas
Anissa ZieglerNO TIME TO CLAIM.
NO TIME TO CLAIM.
Anissa Ziegler
infos générales
sms :  230 dollars ($) :  205
name :  still breathing (madalen).
multinicks :  leola (e. olsen).
faceclaim :  eliza taylor (lightning)
 (luisa), even if we fall, we will rise up. Tumblr_otvu9nkjv51vfam7wo1_1280

age :  trente ans.
career :  commissaire d'exposition en centre d'art moderne, nouvelle propriétaire d'une galerie d'art.
civil status :  mariée à Adam, infidèle avec Santiago.
fiche de liens :   ★★★
plus de détails
- https://dayslikethese.forumactif.com/t1011-anissa-chemically-dra

autres infos
relationships:
availability: dispo.
(luisa), even if we fall, we will rise up. Empty
(#) Re: (luisa), even if we fall, we will rise up. { Dim 17 Mai - 16:19 }
even if we fall we will rise up@luisa herrera

Elle ne sait plus vraiment ce que c’est, une vie normale. Elle, elle a l’impression que les choses ont basculé, un jour de mars 2018, quand son père a poussé son dernier souffle. Que l’impression s’est confirmée après sa fausse couche, quelques temps après. Et que tout n’a cessé d’empirer, depuis. Elle ne sait plus ce que c’est, qu’une vie normale, Anissa, parce que plus rien n’est comme avant. Elle regrette constamment le passé, la vie telle qu’elle était, auparavant – mais finalement, certaines choses ont changé, sans qu’elle puisse vraiment regretter qu’elles l’aient fait. Est-ce qu’elle devrait regretter Santiago ? Peut-être pas, mais elle devrait regretter la façon dont les choses se sont passées, elle devrait regretter de ne pas avoir demandé le divorce, de s’être jetée sur lui comme elle l’a fait, avant de le planter, paniquée par sa première infidélité. Elle devrait regretter d’avoir merdé, et de ne pas en faire sa priorité – et elle regrette, An, mais elle ne change rien. Elle promet qu’elle fera ce qui doit être fait, elle promet qu’elle quittera Adam, demande juste un peu de temps, parce qu’elle a peur de le blesser, peur de sa réaction, peur de beaucoup trop de choses sans qu’elle n’y mette un nom. Mais en attendant, Anissa, elle est toujours mariée, toujours infidèle. Comme si elle n’avait plus aucune considération, pour les vœux qu’elle a prononcés, il y a des années – comme si elle s’en foutait. Mais ce n’est pas le cas, c’est parce qu’au contraire, elle ne s’en fout pas, même si ça ne justifie pas ce qu’elle fait, Anissa. Santiago aussi, en pâtit. Santiago aussi, il a des sentiments. Santiago, il attend. Patiemment. Ou, en tout cas, il ne se plaint pas, il ne râle pas, il attend, c’est tout. Il vient quand elle appelle, il se rend disponible à ses disponibilités. Et il accepte d’être dans l’ombre, d’être le secret. Il ne dit pas toujours ce que ça lui fait, mais elle s’en doute, la blonde. Parce qu’elle le connaît, et parce qu’elle a mal, elle aussi, chaque fois qu’elle s’éloigne de lui, chaque fois qu’il lui manque, chaque fois qu’elle pense à lui, tout en étant auprès d’un autre. Chaque fois qu’elle rêverait d’être à ses côtés, de s’endormir dans ses bras – chaque fois, son cœur lui fait mal. Alors non, elle ne sait plus ce que c’est, une vie normale. Pas plus qu’elle ne se souvient, ce que c’est, une vie où elle n’a pas mal. Elle a l’impression de ne faire que survivre depuis deux ans, et pourtant, maintenant, elle a moins mal qu’avant. Santiago, il lui fait du bien, et sans doute aussi, qu’il la sauve d’elle-même. Mais ce n’est pas assez. Où sont passés ses rêves de vie normale, d’un joli mariage et d’une petite famille, dans une belle maison ? Des après-midis au parc ou à la plage, des lectures dans le jardin, des brunchs en famille ? Tout s’est envolé, mais tout n’est pas impossible. C’est simplement elle, qui met tout en suspens. Surtout ses rêves d’enfants. De toute façon, étant donné la situation, c’est trop compliqué – voilà pourquoi, ça ne pourra pas continuer longtemps. Ne serait-ce que parce que cacher tout ça devient difficile et pesant. Comme maintenant. Auprès de Luisa, elle doit encore prétendre qu’entre Santiago et elle, ça ne va pas. Qu’ils ne sont plus meilleurs amis, ni quoi que ce soit – alors qu’au final, ils sont plus que ça. Elle ne peut pas dire à Luisa combien elle est heureuse avec son frère, elle ne peut pas parler de quoi que ce soit à son sujet. Non, l’homme de sa vie, aux dernières nouvelles, c’est Adam. Celui qu’elle a épousé, celui auquel elle est toujours mariée, celui qu’elle trompe. Mais quand même, en rejoignant Luisa, en voyant toutes ces familles, tous ces enfants, elle songe à cette envie, soudainement si intense, d’avoir une vie normale. Une vie heureuse. Une vie saine. Elle en est loin, pourtant, présentement. Mais elle n’y pense plus, An, ce n’est pas le moment. Elle préfère se concentrer sur son amie de toujours, et sur sa fille qui s’amuse, un peu plus loin. « Je vois ça ! Au moins, t’as pas de mal à l’occuper, t’es tranquille. » plaisante-t-elle, lâchant un léger rire, observant au loin la petite. Est-ce qu’elle-même, sera mère, un jour ? Est-ce qu’elle aurait simplement le courage de se relancer là-dedans, après la fin si brutale de sa première – et dernière – grossesse ? En attendant, Anissa, elle se contente de sourire en voyant les enfants des autres, oubliant la peine dans son cœur. En attendant, elle est heureuse de connaître la petite de Luisa, si adorable, à l’image de sa maman. « Ouais, envoie. » répond-elle dans un rire, en voyant la brune attraper un gâteau dans le paquet. Ça l’amuse, mais elle s’amuse toujours, en compagnie de Luisa. Elle ne sait pas si c’est parce qu’elles se connaissent depuis presque toujours, ou pas. Si c’est parce qu’elle s’est toujours sentie bien, parmi les Herrera. C’est une des raisons pour lesquelles elle a peur, de ce qui se passe entre Tiago et elle – elle n’arrête pas de se dire, que si ça ne marcherait pas, ça compliquerait tout le reste. « Tant mieux. » Elle sourit, heureuse de l’entendre, de la voir comme ça. Toujours enthousiaste. Luisa lui retourne la question, et même si c’est une question banale, Anissa, en répondant, elle pense toujours à ce qu’elle ne dit pas. « Ouais, ouais, tout va bien. J’ai beaucoup de boulot alors j’rentre plus tard en ce moment. Adam aussi, cela dit. » Alors ils ne se voient pas autant qu’avant, et ça l’arrange. Et dans le fond, c’est peut-être pour éviter son mari, qu’elle rentre plus tard. « Mais, et toi ? Quoi de neuf ? » Peut-être qu’elle a des choses plus intéressantes à raconter. Elle est toute ouïe, Anissa, en tout cas. Curieuse d’entendre les dernières nouvelles de son amie.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
infos générales
plus de détails
-
(luisa), even if we fall, we will rise up. Empty
(#) Re: (luisa), even if we fall, we will rise up. { }
Revenir en haut Aller en bas
 
- (luisa), even if we fall, we will rise up. -
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» luisa's phone
» no, I don't want to fall in love. (cyr)
» someone who will be there for you when you fall apart (ripley)
» (1f) maybe we could find new ways to fall apart
» Oh my love, if it's all I can do, I'll take the fall 4 U (Gabriel)
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
DAYS LIKE THESE. :: benefit of the doubt :: les rp's-
Sauter vers: