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(#) take me back to the basics (eley) { Ven 6 Juil - 23:34 }
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Le nez collé contre l’épaule de l’adonis, et les doigts fermement arrimés à sa taille, Incanti subit les affres d’une peur latente. Son corps frémit sous les relents d’une angoisse enfoui au plus profond de son être. Et démunit de ses fidèles remparts, elle se montre dépouillée de tout artifice face à cet être qui la connaît désormais par cœur. — Est-ce que tu penses qu’on a encore le temps d’acheter une bouteille de tequila pour que je la vide illico avant d’y aller ? Voilà qu’elle commence à paniquer avant même d’avoir franchi le seuil du salon de tatouage. Son myocarde s’affole au fond de sa poitrine et ses doigts s’agitent de tics nerveux lorsqu’elle les passe dans sa crinière obsidienne. Malgré cet interlude anxieux, les deux acolytes reprennent leur chemin, en dépit une plainte sourde émit par la brune après l’étreinte écourtée. Son premier tatouage. Un bond dans un futur, qu’elle espère, être plus glorieux que ce à quoi elle a goûté par le passé. C’est Elio qui lui a soufflé l’idée à oreille. Il est à la manière de cette allégorie démoniaque, le petit diablotin complotant de sombres desseins sur son épaule. Sans cesse à lui narrer de nouvelles aventures rocambolesques et bien trop souvent désastreuses. Alors lorsqu’il a sous-entendu vouloir tacher son derme d’une nouvelle volute ombrée, la gamine s’est dit « pourquoi pas ? ». Or, Riley est de ceux qui prennent peur dès qu’une aiguille s’approche trop près de leur carcasse. Si bien qu’à l’intersection étant censée les amener jusqu’au tatoueur, ses pieds freinent presque comme par automatisme. — Non, c’est pas possible, j’me sens vraiment mal.. marmonne-t-elle en portant la main à sa poitrine, le palpitant au bord des lippes. Pourtant, n’ayant cure des divagations infantiles de sa meilleure amie, le garçon lui attrape le coude et tous deux reprennent leur chemin vers le point de rendez-vous fatidique. De ses prunelles charbonneuses, elle foudroie littéralement le ténébreux figurant à ses côtés. Cet être à la fois lunaire et solaire, qui flotte dans son univers sans relâche et sans qu’elle ne s’en lasse. Aussi loin qu’elle se souvienne, l’amitié entre Elio et elle remonte à bien des années. Ils sont liés comme les doigts de la main, à la fois complémentaires et difficilement dissociables. Aux opposés attractifs, une force invisible les relie depuis leur enfance. Et d’aussi loin qu’elle s’en rappel, la gamine n’a jamais considéré le brun autrement que comme son âme sœur amicale. Ainsi, c’est avec une pointe nouvelle de sérénité -bien que diffuse-, qu’elle se laisse pousser à l’intérieur de la boutique. Aussitôt, le cerveau de l’italo-mexicaine se grippe. Elle inspire intensément et s’imprègne des effluves enivrants, en flottant toujours dans le mordoré des yeux du gamin. En un hochement de tête, elle donne son feu vert et sans plus attendre le gérant les dirige à l’arrière de l’échoppe. Sous l’œil inquisiteur de l’artiste, elle extirpe alors de sa poche arrière une feuille froissée où figure un dessin aux arabesques tortueuses. Au centre, prône une fleur de lotus, tout en simplicité, en guise de symbole d’une renaissance amplement méritée. Elle expose sa trouvaille avec une fierté qu’elle peine à cacher, mais avant que les doigts du colosse ne se referment sur ce qu’elle souhaite à jamais inscrire sur sa peau, sa tête se penche derechef en direction de sa moitié. — Je le fais, seulement si je peux te broyer la main. Une moue se dessine sur ses lèvres carminées, tandis que ses longs cils ébène papillonnent dans une danse savamment orchestrée. Un stratagème guère nécessaire, visant simplement à amadouer ce gaillard aux allures nonchalantes. Riley sait pertinemment qu’il ne lui refusera nullement sa requête, aussi ingrate, soit-elle. Elle l’aime intensément et réciproquement. Alors, l’enfant tonnerre n’a guère besoin d’attendre un quelconque mouvement de sa part. Elle grimpe dans le fauteuil et s’approprie la main de l’italien sans vergogne. Les doigts étroitement entrelacés aux siens, elle ferme les yeux et attend son heure non sans une once d’appréhension.

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(#) Re: take me back to the basics (eley) { Mar 10 Juil - 11:25 }
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Âme-soeur collée à lui, ils se dirigent vers le petit salon de tatouage bien habitué à Elio. Enfin, les enfants des pays chauds tentent, en réalité, d’atteindre le salon. Voilà que la princesse de son coeur refuse d’avancer, encore et encore. Cela fait simplement rire Elio, car il n’y a rien d’étonnant, venant de Riley. Il est déjà étonné qu’elle ait décidé de le suivre dans sa quête d’art nouveau sur sa peau, il l’aurait été encore plus si elle y avait été sans se plaindre ou rechigner. Elle était toujours comme ça, Riley, il fallait la pousser encore et encore pour faire des choses dont elle avait peur, mais elle finissait toujours par le faire. Il fallait simplement garder espoir, et ne pas baisser les bras. Depuis toujours, il savait à quel point elle craignait les aiguilles. A ses yeux, il n’y avait aucune meilleure thérapie que de se faire tatouer. Suite à cela, une prise de sang sera une partie de plaisir. “Tu ne peux pas te faire tatouer en étant dans un coma éthylique Riley, et il est hors de question que tu m’abandonnes maintenant.” Il continue de la traîner en direction du salon, ignorant ses plaintes et son exagération de son état. Ce n’était qu’un tatouage, après tout, pas la fin du monde. Il fait jouer la corde sensible de leur amitié sans faille pour la forcer à rentrer dans la boutique. Ils allaient faire cela ensemble, comme tout le reste de leur vie. Depuis toujours ensemble, à jamais inséparables. C’était ainsi. Aussi sérieux que les voeux d’un mariage, pour le meilleur et pour le pire. Il la regarde dévoiler son dessin au tatoueur, la fierté qui brille dans ses yeux et qu’il ressent tout autant dans son coeur. Liés comme les doigts de la main, comme si ils étaient chacune une extension de l’autre. Âmes liées. Elle renaît, sa princesse, et il ne pourrait être plus fier d’elle. Fleur de lotus pour la tornade de feu qu’elle avait toujours été. Avec un sourire, il s’assoit à côté d’elle, ses doigts déjà emmêlés aux siens. Un peu moqueur, il lui souffle quelques mots, alors que le tatoueur prépare son matériel. “Si tu ne survis pas, je te promets de prendre l’entière responsabilité.” Il ne peut s’empêcher de rire face à son expression, même si elle risque probablement de le frapper pour cela. “Dis-toi que le mien est sur les côtes, je vais souffrir le martyre, d’accord ?” Il n’était pas petit, en plus de cela, mais il n’y pensait pas trop. La douleur n’était que temporaire, après tout. Malgré tout, même si il aime bien se moquer d’elle, son regard s’adoucit et se voile de tendresse, alors que le tatoueur leur fait signe qu’il va débuter. “Comparé à ce que tu as vécu, une aiguille n’est rien du tout. Tu es bien plus forte que ça. Et puis il faut bien souffrir un peu pour renaître, non ?” Il sait à quel point cela est important pour elle, de reprendre sa vie en main, de marquer son nouveau départ. Il est étrangement ému, d’être là pour en témoigner.

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